Les grandes pertes du cinéma.
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
- ed
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Plus récemment, on peut aussi considérer que la carrière de certains cinéastes (encore vivants) est un gâchis, et que la perte se trouve dans la potentialité des grandes oeuvres qu'ils n'ont pu réaliser. Je pense principalement ici à Michael Cimino, à Coppola (Megalopolis !!!) voire à Terry Gilliam...
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- A mes délires
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- A mes délires
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Tel que cela se présente, j'ai le sentiment que le site de référence pour cette discussion devrait être findagrave.
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- Euphémiste
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Ne connaissant pas beaucoup les oeuvres de la majorité de ceux que vous avez présenter...
La plus grande perte pour moi est Murnau.
En effet, il faudrait différencier... si je ne me trompe pas Keaton ne s'est jamais adapté au parlant, ce qui explique qu'il ait disparu... par contre, pourrait-on dire qu'il aurait pu a l'instart de Chaplin continuer a faire des films muets a l'époque du parlant...
La plus grande perte pour moi est Murnau.
En effet, il faudrait différencier... si je ne me trompe pas Keaton ne s'est jamais adapté au parlant, ce qui explique qu'il ait disparu... par contre, pourrait-on dire qu'il aurait pu a l'instart de Chaplin continuer a faire des films muets a l'époque du parlant...
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Keaton a surtout signé un mauvais contrat chez les gros studios, et, en perdant le contrôle de son travail s'est retrouvé à rater sa arrière à cause des tocards.someone1600 a écrit :Ne connaissant pas beaucoup les oeuvres de la majorité de ceux que vous avez présenter...
La plus grande perte pour moi est Murnau.
En effet, il faudrait différencier... si je ne me trompe pas Keaton ne s'est jamais adapté au parlant, ce qui explique qu'il ait disparu... par contre, pourrait-on dire qu'il aurait pu a l'instart de Chaplin continuer a faire des films muets a l'époque du parlant...
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Chaplin étant la personnalité cinématographique la plus connue dans le monde et étant surtout son propre producteur, il pouvait se permettre de faire un film muet alors que les productions commençaient à être sonore (Les Lumières de la ville), faire un film mi-sonore, mi-muet (Les Temps modernes) ou une comédie politique (Le Dictateur) ou une comédie noire (Mr Verdoux).someone1600 a écrit : par contre, pourrait-on dire qu'il aurait pu a l'instart de Chaplin continuer a faire des films muets a l'époque du parlant...
Ceci étant dit, Keaton a lui eu beaucoup moins de chance, tant son Mécano de la Général (grosse prod de l'époque) n'avais pas rapporté assez aux yeux des studios et qu'il s'engagea dans un gouffre que fut la MGM.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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D'une certaine manière, Orson Welles, puisque sa carrière en tant que réalisateur a été bien compromise. Il avait tant de projets... restés à l'état de projets
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Henri-Georges Clouzot : bien que décédé à l'âge de 70 ans, il a réalisé son dernier film pour le cinéma à 61 ans, et encore avec des difficultés (LA PRISONNIERE, 1968)... ayant eu, les années précédentes déjà, de gros soucis de santé (L'ENFER qui n'a jamais abouti), il a finalement une filmo de 11 titres, ce qui n'est pas énorme...
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- Euphémiste
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J'ignorais ca... je suis pas un gros connaisseur de la carriere de Keaton il faut dire... ce que j'aimerais palier un jour.Kevin95 a écrit :Chaplin étant la personnalité cinématographique la plus connue dans le monde et étant surtout son propre producteur, il pouvait se permettre de faire un film muet alors que les productions commençaient à être sonore (Les Lumières de la ville), faire un film mi-sonore, mi-muet (Les Temps modernes) ou une comédie politique (Le Dictateur) ou une comédie noire (Mr Verdoux).someone1600 a écrit : par contre, pourrait-on dire qu'il aurait pu a l'instart de Chaplin continuer a faire des films muets a l'époque du parlant...
Ceci étant dit, Keaton a lui eu beaucoup moins de chance, tant son Mécano de la Général (grosse prod de l'époque) n'avais pas rapporté assez aux yeux des studios et qu'il s'engagea dans un gouffre que fut la MGM.
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- cinephage
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Dans la catégorie acteurs de génie, les disparitions prématurées de James Dean, Patrick Dewaere et River Phoenix marquent l'histoire du cinéma en négatif.
Au vu de ce qu'on avait vu de leur talent, qui sait combien de films bouleversants ils auraient pu enrichir de leur présence...
Au vu de ce qu'on avait vu de leur talent, qui sait combien de films bouleversants ils auraient pu enrichir de leur présence...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell