bocina a écrit : ↑5 févr. 24, 23:25
Purée c’est pas possible quand est ce qu’ils vont arrêter ce bordel ils veulent tout franchiser ou quoi. Des vraies machines à recycler.
Il y a déjà 5 films, une série télé, un jeu vidéo, et certainement plein d'autres choses que je'ignore... La franchise Evil dead, c'est pas nouveau non plus hein !
Mais je te ratrappe sur la conclusion, à ceci près que si ça exploite, c'est que c'est rentable...
bocina a écrit : ↑5 févr. 24, 23:25
Purée c’est pas possible quand est ce qu’ils vont arrêter ce bordel ils veulent tout franchiser ou quoi. Des vraies machines à recycler.
au contraire ça ne me paraît pas être une évolution de carrière incohérente, son premier film n'est pas particulièrement personnel et singulier alors c'est un bon candidat potentiel à une énième variation sur le film de Raimi..
Mosin-Nagant a écrit : ↑6 févr. 24, 12:53
C'est quasi systématique : un réalisateur étranger fait un bon film dans son pays et Hollywood l'embauche pour lui demander de faire pareil aux USA.
On sait tous comment ça se termine, en général...
L'histoire d'Hollywood est jonchée de réalisateurs européens qui y ont réussi. On ne regarde ça qu'à travers notre prisme franco-français, Babylon A.D est un mauvais exemple puisqu'il est produit à l'américaine par des sociétés françaises.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Paul Verhoeven et bien d'autres ont réussi, effectivement. L'exemple caricatural de Kassovitz, c'était plus pour la blague qu'autre chose. Mais, depuis les années 2000, on ne compte plus les jeunes réalisateurs prometteurs qui se sont cassé les dents face à l'ogre américain.
Dernière modification par Mosin-Nagant le 6 févr. 24, 14:12, modifié 1 fois.
You know my feelings: Every day is a gift. It's just, does it have to be a pair of socks?
C'est sur qu'il faut s'adapter à un mode de production totalement différent notamment en France où les réalisateurs sont quasi tout puissants
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
C'est aussi ce qui fait notre force, le "final cut" du réalisateur. Aux USA, c'est des moyens financiers gigantesques et une multitude d'exécutifs (parasites) qui gravitent autour d'une production et qui bloquent souvent le bon fonctionnement d'un tournage (histoire de justifier leur salaire mirobolants). En France, un bon producteur fait souvent défaut. C'est un fait. Ce qui laisse, assez souvent, le réalisateur en roue libre... Mais Outre-Atlantique, c'est vraiment de l'abus de pouvoir érigé en marque de fabrique.
You know my feelings: Every day is a gift. It's just, does it have to be a pair of socks?
J'ai déjà eu ce débat, ce n'est ni noir ni blanc. Un réalisateur paranoïaque est aussi toxique qu'un producteur despotique. J'en veux pour preuve les Bustillo/Maury qui font des mauvais films quelque soit le côté de l'Atlantique où ils sévissent
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Alexandre Aja, Julie Delpy,
Jean-Jacques Annaud,
Michel Gondry
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Rockatansky a écrit : ↑6 févr. 24, 14:30
J'en veux pour preuve les Bustillo/Maury qui font des mauvais films quelque soit le côté de l'Atlantique où ils sévissent
Dur mais juste.
Mais eux aussi ont vécu un enfer, avec leurs expériences aux US. Non seulement les projets avortés avec Dimension Films et ce taré de Bob Weinstein, que celui qu'ils ont réussi à concrétiser (Leatherface), même s'ils renient le film puisqu'il a été remonté à leur insu.
Bref, je souhaite le meilleur à Vaniček parce qu'on sent que le mec a un vrai talent pour la mise en scène, mais je crains un peu pour son avenir...
Dunn a écrit : ↑6 févr. 24, 14:49
Aja oui, les autres ont pas fait de carton !
As-tu déjà entendu parler de Eternal Sunshine of the Spotless Mind ?
Dernière modification par Flol le 6 févr. 24, 14:58, modifié 1 fois.
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Rockatansky a écrit : ↑6 févr. 24, 14:30J'en veux pour preuve les Bustillo/Maury qui font des mauvais films quelque soit le côté de l'Atlantique où ils sévissent
Le pitch de leur dernier m'intriguait vaguement, un thriller horrifique montagnard je me disais pourquoi pas ("Shining", "Phenomena", "Randonnée pour un tueur".. "Vertige"?), mais certains retours de ce "Mangeur d'âmes" à Gérardmer me font peur. Enfin, réponse dans les salles de cinéma début Avril.
