Je devais être dans la bonne humeur du moment pour apprécier cette histoire poussiéreuse de deux fauchés en pleine débrouille pour gagner trois sous, et qui font affaire avec un rancher véreux.Jeremy Fox a écrit :et Pocket Money, je n'ai pas tenu plus de 3/4 d'heure qui m'ont paru durer une éternité.
Les Westerns 2ème partie
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- Alphonse Tram
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Re: Re:
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- « Il y aura toujours de la souffrance humaine… mais pour moi, il est impossible de continuer avec cette richesse et cette pauvreté ». - Louis ‘Studs’ Terkel (1912-2008) -
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The Westerner / Le cavalier du désert - W. Wyler, 1940
Je comprends mieux les réticences de J. Fox au rachat du dvd. C'est pas terrible
Un antagonisme entre fermiers et éleveurs, lesquels sont soutenus par un "juge" frapadingue interprété par Walter Brennan. Quasiment un premier rôle, et la seule bonne idée du film. Par moment, ça vire au burlesque.
Entre les éleveurs et les fermiers : Gary Cooper. Interprétation honnête mais qui ne relève pas l'intérêt général : je me suis ennuyé.
La vf est abominable, digne d'un épisode des feux de la rampe.
Je comprends mieux les réticences de J. Fox au rachat du dvd. C'est pas terrible
Un antagonisme entre fermiers et éleveurs, lesquels sont soutenus par un "juge" frapadingue interprété par Walter Brennan. Quasiment un premier rôle, et la seule bonne idée du film. Par moment, ça vire au burlesque.
Entre les éleveurs et les fermiers : Gary Cooper. Interprétation honnête mais qui ne relève pas l'intérêt général : je me suis ennuyé.
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Re:
A sauver aussi (si j'ai bonne mémoire malgré l'avoir vu il y a à peine 3 ans), la séquence au tout début voyant une chasse à l'homme devant des champs de maïs en feu, splendidement photographiée. C'est bien dans ce film ?Alphonse Tram a écrit :The Westerner / Le cavalier du désert - W. Wyler, 1940
Je comprends mieux les réticences de J. Fox au rachat du dvd. C'est pas terrible
Un antagonisme entre fermiers et éleveurs, lesquels sont soutenus par un "juge" frapadingue interprété par Walter Brennan. Quasiment un premier rôle, et la seule bonne idée du film. Par moment, ça vire au burlesque.
Entre les éleveurs et les fermiers : Gary Cooper. Interprétation honnête mais qui ne relève pas l'intérêt général : je me suis ennuyé.
Dernière modification par Jeremy Fox le 29 mai 08, 17:19, modifié 1 fois.
- Alphonse Tram
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Re: Re:
Echanges de coups de feu devant un champ de maïs, départ de la charette au galop, quelques plans avec un fermier qui s'enfuit dans le champ avant d'être rattrapé par les cowboys, sur une musique guillerette. On pourrait prendre cette séquence pour un gag, mais en fait le fermier va se faire pendreJeremy Fox a écrit :A sauver aussi (si j'ai bonne mémoire malgré l'avoir vu il y a à peine 3 ans), la séquence au tout début voyant une chasse à l'homme devant des champs de maïs en feu, splendidement photographiée. C'est bien dans ce film ?
Rien de palpitant. Pas de feu.
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The Gunfight at Dodge city / Le Shérif aux mains rouges - J. Newman, 1959
C'est période de ré-elections à Dodge city. Masterson (Joel Mc Crae) arrive en ville et y trouve son frère, le marshall du coin, en opposition déclarée avec le Shériff du comté, une pourriture qui va faire tuer le marshall. Finalement, c'est Masterson qui est élu, et il commence à nettoyer la ville... La chasse à l'insigne est ouverte !
Un western "urbain" et plutôt politique. Au début, j'ai cru qu'il manquait une bobine car l'ouverture est abrupte, sur une discussion entre deux personnages inconnus. Etrange... et puis le générique arrive !
Bon western pour moi. Peut être la forme y est-elle pour quelque chose (scope couleur, bonne vf), et j'aime beaucoup Joel McCrae. Il n'était plus tout jeune, et son jeu est sobre.
C'est période de ré-elections à Dodge city. Masterson (Joel Mc Crae) arrive en ville et y trouve son frère, le marshall du coin, en opposition déclarée avec le Shériff du comté, une pourriture qui va faire tuer le marshall. Finalement, c'est Masterson qui est élu, et il commence à nettoyer la ville... La chasse à l'insigne est ouverte !
Un western "urbain" et plutôt politique. Au début, j'ai cru qu'il manquait une bobine car l'ouverture est abrupte, sur une discussion entre deux personnages inconnus. Etrange... et puis le générique arrive !
Bon western pour moi. Peut être la forme y est-elle pour quelque chose (scope couleur, bonne vf), et j'aime beaucoup Joel McCrae. Il n'était plus tout jeune, et son jeu est sobre.
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Dernier visionnage de la fournée westerns du 13 mai 2008 :
Day of the outlaw / La chevauchée des bannis - A. De Toth, 1959
Une bande de hors la loi déboule dans une petite ville enneigée du fin-fond du Wyoming.
Rien d'original à priori, sauf la personnalité du chef de la bande, incarné par Burl Ives. Un ancien soldat qui conserve quelques valeurs humaines suffisantes pour tenir d'une main de fer sa bande en l'empéchant de boire ou de saccager la ville, ce qui nous vaut quelques très beaux moments de tensions. (spoiler)Il ira même jusqu'au sacrifice en éloignant le groupe de la ville, dans un final en plein blizzard assez étonnant. (/)
Gros rôle donc pour Burl Ives, et belle confrontation avec Robert Ryan qui traine une fois de plus une trombine de taciturne (c'est très personnel mais dans tous les films où je l'ai vu joué, il tire toujours une sale tronche ).
Top récap de la fournée :
1) Man with the gun
2 ex) Day of the outlaw & Man of the west
4) Gunfight at Dodge city
5) The westerner
Day of the outlaw / La chevauchée des bannis - A. De Toth, 1959
Une bande de hors la loi déboule dans une petite ville enneigée du fin-fond du Wyoming.
Rien d'original à priori, sauf la personnalité du chef de la bande, incarné par Burl Ives. Un ancien soldat qui conserve quelques valeurs humaines suffisantes pour tenir d'une main de fer sa bande en l'empéchant de boire ou de saccager la ville, ce qui nous vaut quelques très beaux moments de tensions. (spoiler)Il ira même jusqu'au sacrifice en éloignant le groupe de la ville, dans un final en plein blizzard assez étonnant. (/)
Gros rôle donc pour Burl Ives, et belle confrontation avec Robert Ryan qui traine une fois de plus une trombine de taciturne (c'est très personnel mais dans tous les films où je l'ai vu joué, il tire toujours une sale tronche ).
Top récap de la fournée :
1) Man with the gun
2 ex) Day of the outlaw & Man of the west
4) Gunfight at Dodge city
5) The westerner
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Re: Les Westerns (Part 2) !!
Whispering Smith - Leslie Fenton
J'aurais aimé être aussi enthousiaste que Classik mais je n'ai rien vu de ce qui ferait la singularité de ce petit western de série honnête mais vraiment pas transcendant. Et comme j'ai beaucoup de mal avec Alan Ladd dans un rôle de ce genre pour lequel je le trouve vraiment peu crédible.
J'aurais aimé être aussi enthousiaste que Classik mais je n'ai rien vu de ce qui ferait la singularité de ce petit western de série honnête mais vraiment pas transcendant. Et comme j'ai beaucoup de mal avec Alan Ladd dans un rôle de ce genre pour lequel je le trouve vraiment peu crédible.
Dernière modification par AtCloseRange le 17 juin 08, 16:16, modifié 1 fois.
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Re: Les Westerns (Part 2) !!
Itou pour moi; et il y a un problème avec les films dans lesquels a tourné Ladd: les directeurs photo utilisent plein de subterfuges pour que cet acteur paraisse plus grand qu'il n'etait; ça fait pas du tout naturel; il est à noter qu'aujourd'hui, on fait preuve de moins de coquetterie: quand Dustin Hofman est dans un film, il fait tout à fait sa taille!!AtCloseRange a écrit :Whispering Smith - Leslie Fenton
J'aurais aimé être aussi enthousiaste que Classik mais je n'ai rien vu de ce qui ferait la singularité de ce petit western de série honnête mais vraiment pas transcendant. Et comme j'ai beaucoup de mal avec Alan Ladd dans un rôle de ce genre de rôle pour lequel je le trouve vraiment peu crédible.
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Re: Les Westerns (Part 2) !!
Au contraire de vous deux, outre trouver ce western admirable (mais vous le savez depuis le temps puisqu'il fait même partie de mon top 100 ), j'aime énormément Alan Ladd qui, dans le western, me semble très à l'aise et possède une filmographie quasiment sans aucune faute de goût : La maitresse de fer et Les loups dans la vallée de Gordon Douglas, Shane de George Stevens, Drum Beat et The Badlanders de Delmer Daves.
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Re: Les Westerns (Part 2) !!
Je sais qu'il est de bon ton de ne pas dire du mal des personnes de petite taille mais les 1m25 d'Alan Ladd dans un western, j'ai l'impression qu'on est chez Djamel Bensalah... J'y peux rien.
D'ailleurs le film est plutôt honnête. C'est la critique de Classik qui faisait que j'en attendais beaucoup.
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Re: Les Westerns (Part 2) !!
je n'ai vu que ces deux la et ils ne sont franchement pas terribles je trouve...Jeremy Fox a écrit : La maitresse de fer The Badlanders de Delmer Daves.
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Re: Les Westerns (Part 2) !!
Fort bravo ( John Sturges - 1953 )
Encore un très bon western signé Sturges.
Le scénario s'il ne présente rien d'original sous le soleil, présente par contre une gallérie de personnages bien écrits qui parvient à dépasser le cadre stéréotypé dans lequel ils évoluent ( l'officier intransigeant, la "femme fatale", l'intellectuel froussard etc... ). L'histoire d'amour parvient même à fonctionner, ce qui est toujours bon à prendre tandis que la menace indienne gronde en arrière fond.
Elle sera même le coeur du récit pour une dernière demi-heure époustouflante où tous les gentils sont cernés par une horde d'indien, uniquement protégé par une ridicule crevasse dans le sol. S'en suit une succession de scène d'action où la tension monte de seconde en seconde pour finir par vous couper le souffle dans la séquence anthologique où les indiens balisent le terrain pour mieux ajuster leurs flèches. Tout ce final est vraiment un modèle de réalisation ( qui était plutôt pépère jusque là ) et fait rentrer ce western dans les très bonnes surprises.
l'homme qui n'a pas d'étoile ( King Vidor - 1955 )
Encore un cran au dessous que ce très film de King Vidor ( Cinéaste que je connais par 2 de ces muets les chefs d'oeuvres La foule et Show People ). Des couleurs magnifiques, des décors naturels majestueux, un cadrage précis et une histoire dense et riche développé avec beaucoup de finesse et de subtilité qui permet au film de tenir au moins de 80 minutes sans rien sacrifier.
Les personnages sont ainsi finement écris avec leur part d'ombre, de mystère et de noirceur. Pas une once ici de manichéisme, mais des êtres forts et vivants qui doivent apprendre à évoluer avec les autres ou avec leurs temps. Même le personnage féminin est réussi: un femme d'affaire indépendante et sensuelle qui n'a pas peur de montrer ce qu'elle veut. Cette modernité dans les pulsions et la sexualité des personnages étonnent quand même grandement aujourd'hui, on est vraiment au délà du sous-entendu et je me demande comment la censure a laissé passé ça.
Au casting, on sent une gros engagement de Kirk Douglas pour rendre crédible son personnage, s'il en fait tout de même un peu trop pour le rendre sympathique, son interprétation est excellente comme celle de Jeanne Crain. Par contre, William Campbell manque vraiment de nuance dans son jeu, ne devant connaître que 2 expressions. Ca demeure le seul défaut à mes yeux de ce très beau film ( et en commettant aussi la compression très limite du dvd )
Tornade ( Allan Dwan - 1954 )
J'exprimais juste au dessu mes réserves sur le Dwan des années 50 mais cette autre production RKO vient heureusement rééquilibrer la balance.
C'est un très joli film qui, s'il ne manque pas de défaut, fonctionne pour sa réalisation simple, efficace, uniquement au service de son histoire et de ses personnages. L'intrigue, sur une sempiternelle affaire de vengeance ( il y a de quoi avoir les boules le héros quand même ), transforme son gentil héros initial en un meurtrier violent et sombre prêt à tout pour avoir ses victimes. Comme l'interprétation est à la hauteur ( sans se fouler non plus ) et surtout que la photo du grand john Alton fait une nouvelle fois des miracles ( quel final ! ), on passe un bon moment.
Après, comme je le disais, ça n'écarte pas tous les défauts comme un Yvonne de Carlo en sœur jumelle certes mignonne(s) mais finalement inutile et à la psychologie un peu limite. Même chose pour quelques facilités dans le scénario mais c'est moins gênant que dans la reine de la prairie
Encore un très bon western signé Sturges.
Le scénario s'il ne présente rien d'original sous le soleil, présente par contre une gallérie de personnages bien écrits qui parvient à dépasser le cadre stéréotypé dans lequel ils évoluent ( l'officier intransigeant, la "femme fatale", l'intellectuel froussard etc... ). L'histoire d'amour parvient même à fonctionner, ce qui est toujours bon à prendre tandis que la menace indienne gronde en arrière fond.
Elle sera même le coeur du récit pour une dernière demi-heure époustouflante où tous les gentils sont cernés par une horde d'indien, uniquement protégé par une ridicule crevasse dans le sol. S'en suit une succession de scène d'action où la tension monte de seconde en seconde pour finir par vous couper le souffle dans la séquence anthologique où les indiens balisent le terrain pour mieux ajuster leurs flèches. Tout ce final est vraiment un modèle de réalisation ( qui était plutôt pépère jusque là ) et fait rentrer ce western dans les très bonnes surprises.
l'homme qui n'a pas d'étoile ( King Vidor - 1955 )
Encore un cran au dessous que ce très film de King Vidor ( Cinéaste que je connais par 2 de ces muets les chefs d'oeuvres La foule et Show People ). Des couleurs magnifiques, des décors naturels majestueux, un cadrage précis et une histoire dense et riche développé avec beaucoup de finesse et de subtilité qui permet au film de tenir au moins de 80 minutes sans rien sacrifier.
Les personnages sont ainsi finement écris avec leur part d'ombre, de mystère et de noirceur. Pas une once ici de manichéisme, mais des êtres forts et vivants qui doivent apprendre à évoluer avec les autres ou avec leurs temps. Même le personnage féminin est réussi: un femme d'affaire indépendante et sensuelle qui n'a pas peur de montrer ce qu'elle veut. Cette modernité dans les pulsions et la sexualité des personnages étonnent quand même grandement aujourd'hui, on est vraiment au délà du sous-entendu et je me demande comment la censure a laissé passé ça.
Au casting, on sent une gros engagement de Kirk Douglas pour rendre crédible son personnage, s'il en fait tout de même un peu trop pour le rendre sympathique, son interprétation est excellente comme celle de Jeanne Crain. Par contre, William Campbell manque vraiment de nuance dans son jeu, ne devant connaître que 2 expressions. Ca demeure le seul défaut à mes yeux de ce très beau film ( et en commettant aussi la compression très limite du dvd )
Tornade ( Allan Dwan - 1954 )
J'exprimais juste au dessu mes réserves sur le Dwan des années 50 mais cette autre production RKO vient heureusement rééquilibrer la balance.
C'est un très joli film qui, s'il ne manque pas de défaut, fonctionne pour sa réalisation simple, efficace, uniquement au service de son histoire et de ses personnages. L'intrigue, sur une sempiternelle affaire de vengeance ( il y a de quoi avoir les boules le héros quand même ), transforme son gentil héros initial en un meurtrier violent et sombre prêt à tout pour avoir ses victimes. Comme l'interprétation est à la hauteur ( sans se fouler non plus ) et surtout que la photo du grand john Alton fait une nouvelle fois des miracles ( quel final ! ), on passe un bon moment.
Après, comme je le disais, ça n'écarte pas tous les défauts comme un Yvonne de Carlo en sœur jumelle certes mignonne(s) mais finalement inutile et à la psychologie un peu limite. Même chose pour quelques facilités dans le scénario mais c'est moins gênant que dans la reine de la prairie
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Re: Les Westerns (Part 2) !!
Etant fan de b-movie (et donc de b-westerns), je suis une inconditionnelle des grands classiques de Gene Autry et Roy Rogers, les fameux cow boy chantants à la voix si envoutante. Il y a une forme de naïveté qui se dégage de ces vieux westerns des années 30/40, qui me touche. Bien sûr, la réalisation est souvent loin d’être parfaite, et le scénario peut parfois sembler caricatural (mais bon, on parle de b-westerns quand même !! ). Ces films sont parfois hilarants et certains sont, je crois, à l’origine de l’humour que l’on retrouve dans les grands westerns de notre 2e moitié de siècle. Si certains veulent s’essayer au genre, je leur conseille Gunsmoke Ranch, de Joseph Kane. Le film est très court (52 mn) et s’avère parfois désopilant, tout en réussissant à préserver l’action et le spectaculaire. Pour les curieux, j’ai retrouvé ce film sur www.orpheane.com, où vous pouvez le voir gratuitement en streaming.
Vous trouverez d’ailleurs sur ce site, quelques très bons b-westerns avec Roy Rogers et Gene Autry, dont les voix vous charmeront certainement
Vous trouverez d’ailleurs sur ce site, quelques très bons b-westerns avec Roy Rogers et Gene Autry, dont les voix vous charmeront certainement
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Re: Les Westerns (Part 2) !!
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Re: Les Westerns (Part 2) !!
Dans le Sturges vu il y a qqles mois, j'avais particulièrement aimé la mise en place du personnage de Holden utilisé dans une séquence qui montre sa dureté voire son sadisme. Pas courant. Dans la suite, ses joutes verbales (très réussies) avec Eleanor Parker, la découverte de son petit jardin (au sens litteral : il cultive un lopin) et finalement son cœur d'artichaut qui se fait rouler par la vilaine traitresse le rendait très humain et soudainement proche de nous. Le final que tu soulignes est aussi très bon.bruce randylan a écrit :Fort bravo ( John Sturges - 1953 )
Encore un très bon western signé Sturges.
Le scénario s'il ne présente rien d'original sous le soleil, présente par contre une gallérie de personnages bien écrits qui parvient à dépasser le cadre stéréotypé dans lequel ils évoluent ( l'officier intransigeant, la "femme fatale", l'intellectuel froussard etc... ). L'histoire d'amour parvient même à fonctionner, ce qui est toujours bon à prendre tandis que la menace indienne gronde en arrière fond.
Elle sera même le coeur du récit pour une dernière demi-heure époustouflante où tous les gentils sont cernés par une horde d'indien, uniquement protégé par une ridicule crevasse dans le sol. S'en suit une succession de scène d'action où la tension monte de seconde en seconde pour finir par vous couper le souffle dans la séquence anthologique où les indiens balisent le terrain pour mieux ajuster leurs flèches. Tout ce final est vraiment un modèle de réalisation ( qui était plutôt pépère jusque là ) et fait rentrer ce western dans les très bonnes surprises.