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[hellrick]

Accept : Je ne suis resté que pour quelques chansons tant j'ai eu l'impression d'assister au show d'un AC/DC du (très) pauvre. Statique, peu entraînant, des compos sans grand intérêt, j'en était resté à Metal Heart/Balls to the Wall, je crois que j'ai bien fait, il n'y a pas grand chose d'autre à voir.

Ah dommage, à Mons il y a 2 ans c'était bien fun, mais bon faut dire qu'ils avaient jouer tous leurs hits à la suite plus les nouveautés les plus entrainantes (Teutonic Terror et Stalingrad notamment)

Therion : Il y a à boire et à manger dans la discographie de Therion, et ça se sent sur scène. Une première partie mollassonne, pendant laquelle le groupe parait particulièrement hautain, des compos sans intérêt (notamment celles qui appartiennent au futur opera rock du groupe), puis après que j'aie fait une petite pause, une seconde partie de concert orientée vers les premiers albums du groupe qui donne la pèche et le sourire. Ca m'a réconcilié avec le groupe!

J'ai été voir la setlist, j'espère qu'ils feront un meilleur concert au PPM parce que c'est pas top comme programme

[Rick Blaine]

Accept : Je ne suis resté que pour quelques chansons tant j'ai eu l'impression d'assister au show d'un AC/DC du (très) pauvre. Statique, peu entraînant, des compos sans grand intérêt, j'en était resté à Metal Heart/Balls to the Wall, je crois que j'ai bien fait, il n'y a pas grand chose d'autre à voir.

Ah dommage, à Mons il y a 2 ans c'était bien fun, mais bon faut dire qu'ils avaient jouer tous leurs hits à la suite plus les nouveautés les plus entrainantes (Teutonic Terror et Stalingrad notamment)

Peut-être que la fin était mieux, mais le début du set était franchement morne.

Therion : Il y a à boire et à manger dans la discographie de Therion, et ça se sent sur scène. Une première partie mollassonne, pendant laquelle le groupe parait particulièrement hautain, des compos sans intérêt (notamment celles qui appartiennent au futur opera rock du groupe), puis après que j'aie fait une petite pause, une seconde partie de concert orientée vers les premiers albums du groupe qui donne la pèche et le sourire. Ca m'a réconcilié avec le groupe!

J'ai été voir la setlist, j'espère qu'ils feront un meilleur concert au PPM parce que c'est pas top comme programme

Je ne suis pas très expert en Therion, mais j'ai vraiment aimé la dernière demi-heure du set. Par contre le reste n'était pas follichon effectivement.

[Profondo Rosso]

The Jezabels hier soir à la Maroquinerie

Dès le départ et l'absence de bassiste à l'arrivée du groupe (basse programmée) on comprend un peu le problème qui courra tout au long du concert. Vu que le dernier album a un côté elctro pop bien plus prononcé dans la prod le groupe se sent obligé de restituer tous les effets en concert. Donc un paquet de son préprogrammé pour le synthé, boite à rythme ajoutée à la batterie et voix parfois doublée ça casse complètement le rendu live surtout sur les nouveau titres qui font complètement artificiel.Dommage car la chanteuse assume à fond son côté Chrissie Hynde avec un look blouson cuir coupe garçonne du plus bel effet et est bien voix (mais là aussi c'est tellement noyé d'effets que l'on en profite pas autant qu'on pourrait)et le guitariste part dans des envolées à la The Edge puissante mais c'est tellement propre et identique aux versions album que le soufflet retombe malgré la force des morceaux. C'est surtout le cas sur les nouveaux titres du pourtant très bon nouvel album, The Brink si épique sur disque ne décolle pas, No Country ressemble à du rock FM il n'y a bien que le single The Look of love qui fonctionne. Les plus anciens morceaux moins dépendant de la prod à l'origine fonctionnent bien mieux et le frisson passe quand même bien dès qu'ils jouent des titres du premier EP comme Dark Storm ou A Little Piece, Endless Summer du premier album très efficace aussi. C'est un peu le même problème qu'à Garbage sur scène et comme eux le salut vient de l'energie de la chanteuse Hayley Mary qui hurle et arpente la scène comme une furie et dont le jeu de scène aura bien fait rire (la fille bourrée qui se réveille en fin de soirée pour se trémousser et minauder 5 mn quand le DJ passe son morceau favori sauf que là on en a pour 1h30 ).

Setlist


The Brink
Endless Summer
Long Highway
Time To Dance
Look Of Love
Hurt Me
Beat To Beat
City Girl
Mace Spray
A Little Piece
No Country
The End
Dark Storm
Encore:
Psychotherapy
Easy To Love

[wontolla]

Sixto Rodriguez, tournée européenne 2014 - Bruxelles

Assisté hier soir au deuxième concert de Sixto Rodriguez à l'Ancienne Belgique.
Le premier, programmé le 3 avril était sold out dès la première heure de réservation. Il en fut de même pour celui d'hier... mais j'ai pu obtenir une place.
Après une mise en bouche (tonitruante) de Bird (inconnu pour moi au bataillon) de 25 minutes (20h à 20h25), enlèvement de leurs instruments et mise en place de ceux pour le concert Rodriguez.
Il est arrivé, soutenu par un mec très costaud. On sent que Sixto à plus de septante ans !
Mais, pour la salle, bienveillante (pour reprendre le vocabulaire utilisé par un blogueur (cf. infra en mode spoiler) pour le concert de l'avant-veille), oui bienveillante... c'était le messie qui arrivait en personne.
De fait l'émotion nous étreint. On sent que nous sommes passé pour beaucoup par le documentaire Searching for Sugar Man.
Emotion oui... mais la voix n'est plus ce qu'elle était. Les spectateurs sont acquis fait et cause, malgré cela. Et la sono à fond (trop, beaucoup trop) tente de couvrir la voix qui n'est plus qu'un souvenir. Mais le public encourage, scande après une heure de concert alors que Rodriguez s'en va: "We want more, we want more, we want more" ! Sixto revient, dix minutes pour trois morceaux et s'en aller soutenu par son équipe...
Alors une expérience qu'il fallait vivre, mais le Sixto attendu n'est plus... Il restait au retour, à brancher les écouteurs et à me remettre dans les oreilles le Sixto d'il y a quelques décennies et de rentrer à la maison le coeur rempli d'une émotion: la voix, l'instrumentation...

Du concert je garde quand même un souvenir palpable, un teeshirt à défaut d'une voix...

Spoiler (cliquez pour afficher)

Source.
04/04/2014
Sixto Rodriguez, honorable prestation
Jeudi soir, à l’AB, l’émotion était palpable, la bienveillance aussi. Le public a retenu son souffle pour un chanteur affaibli.

Paris est loin. Oubliée sa piètre prestation que l’on disait alcoolisée. C’était il y a presque un an. Un bail pour celui qui, depuis, n’a quasi jamais cessé de tourner. En juin 2013, quelques mois après la sortie du remarquable documentaire oscarisé de Malik Bendjelloul, “Searching for Sugarman”, le chanteur folk américain Sixto Rodriguez foulait les scènes de la capitale française – Cigale puis deux Zénith. Pas vraiment une première pour celui dont les chansons connurent un succès inattendu en Afrique du Sud mais dont l’auteur ne fut mis au courant que sur le tard. Originaire de Detroit, l’auteur compositeur interprète de deux uniques enregistrements folk sortis aux débuts des années 70, “Cold Fact” et “Coming from Reality”, opérait un retour très médiatique.

Jeudi soir (*), à l’Ancienne Belgique, le public retient son souffle quand le septuagénaire fait une lente entrée soutenu par deux femmes aux allures de mama – souffrant d’un glaucome, sa vue a considérablement baissé. Y’a même un malabar qui lui amène son chapeau. C’est dire l’attention dont il fait l’objet. De la part des spectateurs aussi. On avoue avoir eu peur de se trouver devant une foule venue observer un phénomène de foire. Il n’en sera guère question. L’émotion est palpable, la bienveillance aussi. Et Sixto assurera honorablement sa prestation. On ne va pas dire que sa voix est restée intacte, on relèvera qu’elle surprend positivement. Cela doit certainement provenir de la demi-douzaine de tasses vers lesquelles il se dirige entre chaque morceau, histoire de se rincer le gosier. “Qu’es-tu en train de boire Sixto  ?” ne manquera pas de questionner, intrigué, un spectateur. “Potion secrète” sourira, en coin, l’intéressé. Suivi d’un “tea with honey”. Ah, c’est donc cela, au fur et à mesure que se succèdent les morceaux, il huile ses cordes vocales au “tea with honey”. On en prend bonne note.

La vingtaine de chansons qu’il aligne tout au long d’une heure trente de concert ne sont pas toutes du même niveau. Il y a des reprises, “Love me or leave me” de Nina Simone, “I’m gonna live till I die” de Frank Sinatra pour lesquels les puristes pourront toujours émettre quelques réserves. Plus étonnant le “Blue suede shoes” de Carl Perkins, popularisé par Elvis Presley. Il s’attaque aussi à un bon vieux rock’n’roll, “Lucille” de Little Richard, qui voit notre homme hausser la voix. On qualifiera les interprétations où il s’accompagne seul à la guitare de dispensables. Le public acclame les plus connues (“I Wonder”, “Sugar Man”, “Crucify your Mind”). Mention toute spéciale à son “band”, qui mêle l’Amérique (guitare) à l’Angleterre (batterie) et à la Nouvelle-Zélande (basse). Accompagnement irréprochable.

Avec tout le respect qu’on lui doit, on se demande quand même ce qui amène Rodriguez, qui semble affaibli, à courir les scènes ainsi. Tout en ayant passé un bon moment, on ressort d’une telle prestation habité par la nostalgie du temps révolu.

Marie-Anne Georges

(*) Le concert du 3 avril ayant très rapidement affiché complet, une deuxième date avait été rajoutée, remplissant la jauge tout aussi vite. C’est ce soir qu’elle prend place.

[hellrick]

PPM FEST 2014 (le dernier à Mons )

En vrac: Saxon, Rage et Therion clairement au-dessus du lot. Des groupes très fédérateurs, surtout Saxon qui a mis tout le monde d'accord, de la gothic lolita de 15 ans au papy au cheveux blancs en passant par le gros hardcoreux tatoués qui pogote non stop chacun a dansé, chanté, hurlé avec Biff. C'était top. Rage un peu pareil aussi. Therion a fait un super show très opératique et grandiloquent mais fort bien joué et accueilli, d'une durée quasi égale à la TA.

In Extremo et Finntroll très plaisants aussi, l'assurance d'une bonne ambiance avec slam à la pelle et gigues dans la salle.
Masterplan sympa mais ils resteront toujours dans la D2.

Un peu déçu par Amorphis, son trop fort et choix de morceaux qui ne me convient qu'à moitié (je suis définitivement plus fan de leur période mélodique / calme / jazzy / etc.). Trop death et bourrin pour beaucoup alors qu'ils ont des titres magnifiques. Dommage.

My Dying Bride parti après 45 minutes même si c'était pas déplaisant. Mais fatigué et puis pas spécialement le truc pour faire la fête en fin de journée.

Pain correct mais très linéaire et aucun show, mieux vaut se passer un tit best of. En plus sur scène c'est moins dance qu'en studio donc moins festif.

Le reste était sympa mais rien dont je suis vraiment fan (Evergrey, Pagan's Mind, etc.).
Je suis arrivé fin d'après-midi, 7 bonnes heures de musique par jour ça suffit à mon âge. Et puis il faisait beau.

SET LIST SAXON (du tube et encore du tube )

Sacrifice
Power and the Glory
Heavy Metal Thunder
Battalions of Steel
Broken Heroes
Solid Ball of Rock
To Hell and Back Again
Crusader
Hammer of the Gods
20,000 Ft
Night of the Wolf
Strong Arm of the Law
Wheels of Steel

Denim and Leather
Princess of the Night

SET LIST THERION

The Rise of Sodom and Gomorrah
Invocation of Naamah

Rock Opera excerpts
Overture
End of the Dynasty
Who's Your God?
Onda Toner
Sad End

Ginnungagap
Son of the Sun
Gothic Kabbalah
Wine of Aluqah
Flesh of the Gods
Muspelheim
Son of the Staves of Time
Poupée de Cire, Poupée de Son
To Mega Therion
The Khlysti Evangelist

[Rick Blaine]

PPM FEST 2014 (le dernier à Mons )

Quel est l'avenir du fest du coup??

[hellrick]

PPM FEST 2014 (le dernier à Mons )

Quel est l'avenir du fest du coup??

Probablement un déplacement vers Charleroi ou Bruxelles...Moins de monde que l'année dernière mais on espère une nouvelle édition quand même. N'empêche le PPM fest et le Troll & Légendes qui partent pour l'année de la culture c'est...no comment
(au fait Mayan aussi était bien, j'avais oublié d'en parler)

quelques souvenirs:

[gnome]

quelques souvenirs:

J'aime bien ça...

[hellrick]

quelques souvenirs:

J'aime bien ça...

Therion sera la tête d'affiche du prochain Metal Female en octobre, je pense y aller si ça te dit

[gnome]

Ca va être difficile, j'ai déjà pas mal de choses en octobre et je n'ai pas encore mes gardes...

[Profondo Rosso]

Russian Red ce soir au Café de la danse

Déjà vu la belle Lourdes Hernández alias Russian Red dans cette salle il y a deux ans et là ambiance complètement différente. A l'image de la pop folk élégante et envoutante du disque précédent le concert avait été un charmant moment sensible, calme et intimiste. Avec le nouvel album Agent Cooper, l'artiste a conservée son écriture pop étincelante mais s'est écarté du ton feutré des deux premiers album (plus folk pour le premier et pop arrangée entre Phil Spector et Belle and Sebastian sur le second) pour un rock plus nerveux et laissant parler l'électricité tout en conservant ce sens de la mélodie qui tue. La transformation se ressent rien qu'au look de Lourdes il y a deux ans attifée du robe longue de godiche là elle déboule teinte en blonde et dans une courte robe noire n mousseline des plus sexy. C'est en grande majorité le nouvel album Agent Cooper qui sera joué. Début de concert époustouflant où toute la flamboyance des nouvelles composition s'affichent avec une Michael P superbement réinventée en live avec ses couplets mi chantés/mi chuchotés et son refrain au ralenti qui se retient d'exploser. Son timbre doux et cassé fait merveille sur la mélancolique Stevie J, revisite parfaitement le single Casper où elle décale constamment son chant et et accentue la différence entre les couplets rentre dedans et et l'envolée vocale du refrain (avec de superbe harmonies de ses musicies). Le côté un peu new wave de l'album où les synthés sont très en avant s'atténue en live respirant les grands espaces américains avec ce magnifique son de guitare, on pense autant à Feist (en plus rock et à qui au l'a comparé sur le premier album) qu'à une version au féminin de Chris Isaak sur la somptueuse Neruda (qui fait penser à la mélancolie de Wicked games) mais aussi Tim B. On a quand même quelques titres des deux premier album comme The Sun the trees bourrées d'improvisation vocale dans un tourbillon de guitare, le rappel sur I hate you but I love you ou Everyday Every Night.

Il n'y a que la fin du concert qui fait retomber un peu le charme Lourdes sortant de sa bulle pour communiquer et plaisanter un peu avec le public (amorphe le Café de la Danse et sa majorité de places assises a encore frappé). Du coup rappel un peu décevant qui conclu sur une reprise dépouillé de Bitch de Meredith Brookks (alors qu'elle avait d'abord annoncé Loving Strangers la chanson de Room in Rome finalement pas jouée argh !), en 2012 elle avait repris All my little word des Magnetic Fields pour conclure c'était d'un autre niveau. Un très beau moment en tout cas j'espère qu'elle repassera en France (et dans une meilleure salle à la Maroquinerie ça aurait été grandiose) sur cette tournée. Au passage comme la dernière fois on se serait cru à Madrid tout la communauté Erasmus espagnole de paname dans la salle on se sentait intrus en tant que fan français

Une petite idée de ce que ça donne

[Profondo Rosso]

San Fermin hier soir à la Maroquinerie

La joyeuse armada vient défendre son merveilleux premier album sur scène et offre un show porté par un fièvre qu'on avait pas ressenti depuis les première prestations live d'Arace Fire. Ils déboulent à 8 sur scène, l'auteur-compositeur Ellis Ludwig-Leone discètement sur le côté au clavier qui laisse l'espace à ses sbires pour se déchaîner un avec un chanteur, une chanteuse (pas la même que sur disque et lors de live 2013 smble t il) un saxo, une trompette pour les cuivre ainsi qu'un bassiste et un batteur à la rythmique. Une heure de folie furieuse où les deux chanteurs donne le ton, le chanteur avec son timbre ténébreux rappellant les Magnetic Fields amènent l'intensité et le ton ténébreux des titre les plus posés à l'interprétation scotchante (Metuselah et ses harmonies vocales magiques, Casanova et Torero) tandis que la chanteuse amène une folie exubérante qui s'envole sur le single Sonsick totalement survolté où elle s'envle dans les aigus, empoigne le portable d'un spectateur qui filmait et arpente la scène avec avant de lui rendre et ou le groupe bondit dans tout les sens. Quand les deux chanteur marient leur voix et que les cuivres partent en improvisation déchaînée on part dans des trips free jazz, comédies musicales et expérimentaux ou planent l'ombre de Sufjan Stevens et nous achèvent définitivement avec une triomphale Daedalus. Fabuleux concert où ils auront joué deux inédits prometteurs du prochain album t annoncé leur retour à Paris en juillet au Point Ephemère, bonne claque j'y retournerais certainement.

Un petit aperçu de ce que ça donne

[hellrick]

festival Zik'en stock

Le rendez-vous annuel des keupons du nord...la plus belles concentrations de crêtes au mètre carré depuis 1977
Bref, on y va le samedi seulement même si la veille il y avait du lourd (les Wampas, Casualties et Cockney Rejects entre autre).

Pas mal de monde. Du punk bien bourré qui te raconte sa vie, que tu comprends rien de toutes façons à ce qu'il essaie de te raconter puisque le seul moment où il arrête de picoler c'est pour tirer sur son joint. On arrive dans l'après midi mais la plupart tiennent à peine debout. Gros pogo non stop donc replis stratégique en fin de chapiteau parce que c'est du brutal avec de nombreux débuts de bagarre. On est trop vieux pour ces conneries. Bref, les groupes heureusement sont bons.

Two Tone Club: du ska pas très original mais plaisant aux oreilles, sympa.

Pigalle: toujours très bon. François change d'instrument, alterne morceaux rentre-dedans (Il boit du café) et ballade (Le chaland)...le public s'en fout et pogote comme en 77, slamme de partout, s'écrase sur scène et sur les musicos. L'anarchie complète. Très bon concert quand même.

Elmer Food Beat: comme d'hab c'est pas très finaud mais c'est la fiesta. Les pogos tournent doucement au pugilat avec la sécurité, on braille les refrains tous en coeur et le groupe s'éclate en bondissant partout comme au temps de leur gloire. Très fun!

les $heriff. Là ça devient la pagaille générale comme ils disent. Le chapiteau est soumis à rude épreuve, c'est l'enfer sur terre. Le groupe n'enchaine plus les 30 morceaux comme il y a 20 ans mais délivre quand même une dose d'énergie hallucinante. Les mecs sortent du pit esquintés de partout c'est la folie furieuse. Punk's not dead mais à ce rythme ça va pas tarder. Dans le nord de la France ils sont vraiment tarés. Bon concert et bonne set list.

Set list Pigalle (environ 75 minutes)
Pigalle
L'Amour forain
Il boit du café
Marie la rouquine
Ce soir, c'est ç'ui qui dit qui y'est
La Goutte d'or
La tentation était telle
L'arrêt du bus 51
Brève rencontre
Les Lettres de l'autoroute
Chez monsieur Mohamed
Chez Rascal et Ronan
L'éboueur
Partir
N'oublie pas
Le Chaland
La Patate

Dans la salle du bar-tabac de la rue des Martyrs
Faut pas que tu changes

Set list Elmer Food Beat (environ 75 minutes)

Yasmina
Roland l’crados
Marie à la mer
Couroucoucou roploplo
Les filles c’est fait pour faire l’amour
Electroménager
La caissière de chez Leclerc
L’infirmière
Je n’en peux plus
Est-ce que tu la sens ?
Les traversées sont solitaires
Caroline
Le plastique c’est fantastique

Daniela
La grosse Joecelyne
Elmer Food Beat


Set list les $heriff (environ 75 minutes)

C’est pas Verdun
Les Deux Doigts dans la Prise
Fanatique de Télé
A la Chaleur des Missiles
Pas de Doutes
Panique à Daytona Beach
Bon à Rien
Attention à Toi
Trois, Deux, Un, Zéro
Condamné à Brûler
Jouer avec le Feu
Arrête d'Aboyer
Pendons les Hauts et Courts
N'Insiste Pas
Pile ou Face
Idée Fixe
A Coups de Batte
Je Suis Pas Menteur
Arrête de Parler
Que Passa ?

L’essayer c’est l’adopter
Ne Comptez Pas sur Moi
La Saga des Sheriff
Dam Dam Dam

[gnome]

Je ne savais pas qu'Elmer food beat existait encore...

[hellrick]

Je ne savais pas qu'Elmer food beat existait encore...

ils se sont reformés voici 4 ans après une loooooooooongue interruption. Je les avais déjà vus il y a 2 ans au festival de Baudour. Un nouvel album est sorti l'an passé, ils n'en ont joué qu'un extrait, une ode au vibromasseur...ouf! ils n'ont pas changé et ne font toujours pas dans la chanson à texte