Lew Ayres (1908-1996)
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Lew Ayres (1908-1996)
Bel acteur rencontré dans deux films, dont les rôles, la prestation et le charisme m'ont séduit, à savoir LA CAPTURE, de John Sturges (The Capture, 1950), et LA DOUBLE ENIGME, de Robert Siodmak ( Dark Mirror, 1946).
Dans le premier, il est confronté à une injustice, ainsi qu'à Teresa Wright, mais saura vite l'amadouer!
C'est un film sur la culpabilité, et ce besoin quasi-inconscient de devoir payer toute sa vie pour rattraper des fautes dont on est pas forcément responsable, du fait d'avoir été manipulé.
Dans le deuxième, il est un psychiatre qui doit analyser la personnalité de jumelles, celles-ci étant incarnées par une seule actrice, Olivia De Havilland. Excellent Film Noir sur fond de psychanalyse, trés en vogue à l'époque, dont la prestation d'Olivia est saisissante.
Connaissez-vous d'autres films de cet acteur charismatique?
Dans le premier, il est confronté à une injustice, ainsi qu'à Teresa Wright, mais saura vite l'amadouer!
C'est un film sur la culpabilité, et ce besoin quasi-inconscient de devoir payer toute sa vie pour rattraper des fautes dont on est pas forcément responsable, du fait d'avoir été manipulé.
Dans le deuxième, il est un psychiatre qui doit analyser la personnalité de jumelles, celles-ci étant incarnées par une seule actrice, Olivia De Havilland. Excellent Film Noir sur fond de psychanalyse, trés en vogue à l'époque, dont la prestation d'Olivia est saisissante.
Connaissez-vous d'autres films de cet acteur charismatique?
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Je ne sais s'il faut y déceler l'effet qu'aurait eu le rôle sur l'acteur, mais ce dernier revendiqua son statut d'objecteur de conscience durant la seconde guerre mondiale.bogart a écrit :Certainement son film le plus célèbre : A l'Ouest, rien de nouveau de Lewis Milestone.
Lew Ayres atteignit à une réelle popularité à la fin des années trente en interprétant le Dr. Kildare dans une fort lucrative série de neuf films produits par la MGM.
On l'a vu également avec Jane Wyman dans Johnny Belinda de Jean Negulesco et dans Vacances de Cukor.
A noter qu'il jouait le vice-Président dans Tempête à Washington d'Otto Preminger. Un film magnifique.
Quand il prit de l'âge, Lew Ayres tourna de plus en plus pour la télévision (téléfilms et séries). En fait, nous sommes très nombreux à connaître son visage mais je pense qu'on n'a pas fait le lien avec sa période des années 30/40 lorsqu'il était jeune et célèbre.
Avant :
Après :
A noter qu'il jouait le vice-Président dans Tempête à Washington d'Otto Preminger. Un film magnifique.
Quand il prit de l'âge, Lew Ayres tourna de plus en plus pour la télévision (téléfilms et séries). En fait, nous sommes très nombreux à connaître son visage mais je pense qu'on n'a pas fait le lien avec sa période des années 30/40 lorsqu'il était jeune et célèbre.
Avant :
Après :
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Le temps qui passe...Roy Neary a écrit :On l'a vu également avec Jane Wyman dans Johnny Belinda de Jean Negulesco et dans Vacances de Cukor.
A noter qu'il jouait le vice-Président dans Tempête à Washington d'Otto Preminger. Un film magnifique.
Quand il prit de l'âge, Lew Ayres tourna de plus en plus pour la télévision (téléfilms et séries). En fait, nous sommes très nombreux à connaître son visage mais je pense qu'on n'a pas fait le lien avec sa période des années 30/40 lorsqu'il était jeune et célèbre.
Avant :
Après :
J'ai encore en mémoire la scène d'un érotisme discret,(The Capture) celle dans laquelle Lew Ayres prend une douche ( tout nu !) dans un tonneau, le bord en cachant stratégiquement l'objet du délit, se frotttant énergiquement le corps, devant une Teresa Wright génée.
On se contentait de peu à l'époque, mais au moins, on était pas blasé !
il parait que certaines scènes de UNFAITHFUL reprennent celles de LA LETTRE, avec Bette Davis, de William Willer. Retenu pour le 27.
- manuma
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Re: Lew Ayres
DONOVAN'S BRAIN (1953)
J'attendais un petit peu plus de ce film fantastique au pitch intéressant - le cerveau d'un richissime homme d'affaires prend possession du savant parvenu à le maintenir en activité - étonnement produit par le futur réalisateur Tom Gries. Disons que Felix Feist m'avait laissé sur le souvenir de mises en scène un peu plus dynamiques dans ses travaux relevant du genre policier, et que ce Donovan's brain, également écrit par Feist au passage, me semble brider un peu les amusantes possibilités offertes par son extravagant sujet. Après, ça reste tout de même plaisant, avec une solide prestation centrale de Lew Ayres, acteur que je ne connaissais jusqu'alors qu'à travers ses seconds rôles tardifs des années 70 / 90 (le Earth II du précédemment cité Tom Gries, Damien : The Omen II ou encore le Salem's lot d'Hooper)
J'attendais un petit peu plus de ce film fantastique au pitch intéressant - le cerveau d'un richissime homme d'affaires prend possession du savant parvenu à le maintenir en activité - étonnement produit par le futur réalisateur Tom Gries. Disons que Felix Feist m'avait laissé sur le souvenir de mises en scène un peu plus dynamiques dans ses travaux relevant du genre policier, et que ce Donovan's brain, également écrit par Feist au passage, me semble brider un peu les amusantes possibilités offertes par son extravagant sujet. Après, ça reste tout de même plaisant, avec une solide prestation centrale de Lew Ayres, acteur que je ne connaissais jusqu'alors qu'à travers ses seconds rôles tardifs des années 70 / 90 (le Earth II du précédemment cité Tom Gries, Damien : The Omen II ou encore le Salem's lot d'Hooper)