Twin Peaks

[Gounou]

Ils ont pas trouvé grand chose visiblement

Ecoute, il faut bien tuer le temps entre deux épisodes...

[AtCloseRange]

En tout cas, pendant que certains ruminent d'autres se retroussent les manches, OK !?

http://welcometotwinpeaks.com/theories/ ... dows-code/

Une camisole, vite!

[Flol]

WHO THE FUCK IS BING ?

[Rockatansky]

Le fils de David Lynch

[Rockatansky]

[Jack Griffin]

Tout le monde s'excite sur l'ep. 8 apparemment....Hâte

[Mama Grande!]

Tout le monde s'excite sur l'ep. 8 apparemment....Hâte

Un épisode pour le moins... déroutant
Néanmoins les interprétations semblent pas mal se rejoindre.

Spoiler (cliquez pour afficher)

En gros la naissance du Mal à partir d'une explosion nucléaire

Il faut attendre 2 semaines pour la suite grrrrr

[Major Tom]

Non je ne lirai pas, non je ne lirai pas, non je ne lirai pas...
Désolé Mama.
Moi sur Internet pendant deux jours :

[Mama Grande!]

L'épisode m'empêche de dormir... (il est 1h du matin sur mon fuseau horaire, je précise...)

[G.T.O]

Ep 8 : "Oh la mandale dans ta gueule !

Moyennement spoilerisant.




Episode à la fois totalement cohérent au regard du personnage de "Dark cooper "et totalement libérateur pour Lynch; que ce soit en termes d'audaces narratives, (ellipses, durée -morceau de NIN en entier hypnotisant-), d'audaces formelles (montage étourdissant, textures...). L'épisode qui ressemble le plus à un manifeste dont l'ambition est de proposer une expérience totale, autonome, en même temps qu'une genèse du "monde noir", fabrication, énergie, contrôle ( version lynchéenne de Vice-Versa), avec la très nette impression d'être dans la série à un carrefour : qu'est ce que Lynch va pouvoir nous concocter après ça ?
Et, c'est aussi l'épisode de libération des monstres, le plus abstrait et le moins lisible : certains plans de désert sont à peine discernables - rappellent les "tableaux sonores" d'Eraserhead - point d'articulation entre son activité de peintre et de cinéaste. Moment où les rêves ( superbe scène d'envoi du d'un rêve-aéronef envoyé sur Terre) tutoient les cauchemars, les monstres se déchainent ( scène vaudou hallucinante du début par des clochards charbonneux à la Mulholland Drive) et où Kafka et le projet avorté, Ronnie Rocket, poursuivent un dialogue passionnant et vivant avec l'oeuvre de Lynch elle-même. Sentiment à chaud que le cinéma de Lynch se trouve à une étape. Et quel superbe génétique de fin ! Ça commence façon Kiss me deadly et ça se finit en Magicien d'oz twisted.

Du très haut niveau.

[Major Tom]

Je n'ai pas pu attendre demain et j'ai fini par le regarder ce soir...

Oh, le truc de DINGUE.

En fait, il n'y a quasiment rien à "spoiler" à moins de vraiment raconter cet épisode (qui sera, sûrement, le préféré d'AtCloseRange), et 10000 mots ne suffiraient pas. Il faut le vivre.
Comment Lynch a-t-il réussi à convaincre Showtime de faire un machin pareil et d'aller jusqu'au bout?? Résumé, en gros :


Badalamenti se prend pour Penderecki, tandis que Lynch invite Murnau (sous acide), le Kubrick de 2001, ou la série B de monstres des années 50 genre

Spoiler (cliquez pour afficher)

Le Météore de la nuit (It Came from Outer Space, 1953) de Jack Arnold

...pour l'épisode de Twin Peaks le plus hallucinant à ce jour. Et on se rend compte que les scènes en noir et blanc entre le bon Cooper et le géant de l'épisode 1 n'étaient pas gratuites, Cooper était là-bas...

Tenia, j'ai un défi pour toi : me trouver la marque de fan service là-dedans.

[Jack Griffin]

Que de beautés
Lynch enterre la production cinématographique de 2017

[Major Tom]

Sinon je pensais que les 2 premiers épisodes étaient gratinés, et puis est arrivé le 3e épisode...

Comme Mama Grande, je crois que l'épisode 8 va m'empêcher de dormir un bout de temps...

[AtCloseRange]

En fait, il n'y a quasiment rien à "spoiler" à moins de vraiment raconter cet épisode (qui sera, sûrement, le préféré d'AtCloseRange)

Don't worry I'm coming!

Episode 6: quelques scènes réveillent l'attention (l'accident, le petit éclat de Naomi Watts avec Jeremy Davies, McLachlan qui joue avec son gosse) mais mon constat général ne change guère. Et quoique je pense de la qualité de la musique de fin, je trouve l'idée de ce concert final systématique assez convenue (et puis rendez-nous Julee Cruise svp!).
Je vais néanmoins attendre le fameux épisode 8 avec une petite impatience.

[G.T.O]

En fait, il n'y a quasiment rien à "spoiler" à moins de vraiment raconter cet épisode (qui sera, sûrement, le préféré d'AtCloseRange)

Don't worry I'm coming!

Episode 6: quelques scènes réveillent l'attention (l'accident, le petit éclat de Naomi Watts avec Jeremy Davies, McLachlan qui joue avec son gosse) mais mon constat général ne change guère. Et quoique je pense de la qualité de la musique de fin, je trouve l'idée de ce concert final systématique assez convenue (et puis rendez-nous Julee Cruise svp!).
Je vais néanmoins attendre le fameux épisode 8 avec une petite impatience.

Oublie tout espoir d'unité : la série nous perd encore un peu plus, pour notre plus grand bonheur. L'enquête est dorénavant bien loin. A la place tu as quelque chose sur la condition humaine, la duplicité, le passage du temps, les expérimentations brillantes d'un GRAND metteur en scène et une série qui bouleverse les standards actuels.