Jean-Paul Belmondo (1933-2021)

[Dale Cooper]

Un petit montage "rétrospective" réalisé à l'occasion de la venue de Daniel Breton à la projection du documentaire de Jeff Domenech sur Belmondo (Belmondo l'influenceur) au château de la Buzine, samedi dernier donc pour le jour de l'anniversaire de Bébel qui aurait eu 89 ans.



Daniel Breton était très ému, paraît-il...
Il a une filmo assez impressionnante.

J'ai fait ça en urgence, en une soirée, mais j'espère que ça tient quand même.

[Invité1]

J'ai fait ça en urgence, en une soirée, mais j'espère que ça tient quand même.

Oui, c'est chouette, merci à toi.
Pour ma part, j'aime beaucoup que l'on consacre de l'espace à ces artistes que l'on croise dans de nombreux films sans savoir qui ils sont, voire même sans les reconnaître.
Grâce à toi, en revoyant Le Vieux Fusil, Peur Sur La Ville ou encore Frantic, je pourrais désormais me dire : "Tiens, c'est Daniel Breton"

[Dale Cooper]

Merci.

[Supfiction]

[Barry Egan]

L'Animal

J'étais curieux de voir le film après les extraits montrés dans le documentaire "Le goût du risque" et au final, les cascades sont plus valorisées dans le documentaire que dans le film lui-même, la faute à un montage bien haché qui ne permet pas vraiment d'apprécier les exploits de l'animal Bébel.

Et puis, on va éviter de parler de certains aspects du film, que la forumeuse riqueuniee, dont je n'ai plus lu de posts depuis des plombes, aurait démoli à coups de pelles (en ferraille, pas celles que Belmondo cherche à obtenir par la force de Mme Welsh sur son parachute à la fin). Mme Welsh qui en dehors des parenthèses de la précédente phrase passe son temps dans les tenues les plus légères pour faire plaisir au spectateur mâle, celui qui est du même bord que le spectateur mâle "normal", il faut ajouter, car le film montre aussi qu'il y a un autre bord chez les mâles et qu'il est très rigolo d'en dehors mais c'est tout, il vaut mieux le cacher sous la couverture pour ne plus jamais le revoir. Y a une scène aussi où il est question de viol dans un échange entre Belmondo et son imprésario à l'hôpital, et le sujet est abordé avec une grande joie, ça ferait pas plaisir à tout le monde aujourd'hui... Surtout parce qu'il est parfois difficile de départager dans le ton ce qui relève du second degré et ce qui est au premier.

Sinon, j'ai apprécié certaines saillies verbales dans les dialogues ("on va l'accueillir aussi bien qu'un général ougandais"...). Et le côté kitsch est plaisamment dépaysant. J'ai bien aimé les scènes avec les gens de la Sécurité Sociale, tournés en ridicule...

Enfin, dans l'ensemble, un divertissement idiot de 1h35... sans prétention, juste une équipe de mecs qui s'amusent...