Dvdclassik : cinéma et DVD

C'est pas faux.
Il faut dire que le cinéma d'Ozu s'y prête bien.

C'est bien joli d'utiliser les remontées de topic, Thaddeus mais je crois bien que ça enfouit aussi le post qui a permis au topic de remonter

Donc je remets ici mon post précédent

AtCloseRange a écrit :Je ne sais pas si quelqu'un a déjà parlé ici de ce roman (ça vient de sortir)

http://www.benzinemag.net/2015/10/04/ozu-marc-pautrel/

Un Ozu muet jusque là fortement incomplet vient d'être retrouvé quasiment dans son intégralité

http://www.asahi.com/ajw/articles/AJ201609070060.html

Carlotta nous invite à replonger dans l'oeuvre de Yasujiro Ozu avec la ressortie ce mercredi de dix classiques du maître japonais proposés dans de nouvelles restaurations. Tous les détails sur les films de cette rétrospective en cliquant sur les liens ci-dessous...

Printemps tardif:

Mon premier Ozu. Je serais incapable d'en parler mieux que cette critique:

https://www.senscritique.com/film/Print ... ue/3795332

Printemps précoce

Mon premier Ozu sur grand écran, dans un copie sublime, c'était vraiment très agréable.
Pour ce qui est du film en soi, rarement je ne m'étais autant identifié devant un film, du moins pas récemment. Comme les protagonistes, je suis un salaryman tokyoite qui prend tous les matins un train bondé en se demandant parfois quel est le but de tout cela, jusqu'à ce que la routine huilée reprenne le dessus. Comme eux, je prends le train Japan Railway ligne Keihintohoku le matin direction Omiya, en montant seulement une station apres la leur. Comme eux, je suis souvent allé picoler en sortant du bureau dans des petits bars tenus par des salarymen défroqués. Et comme eux, je me préoccupe parfois de mon manque de savoir-faire concret, et envie les artisans qui vivent du travail de leurs mains, tandis que ces derniers envient peut-etre mon revenu stable. Et finalement, comme eux, malgré mes frustrations quotidiennes de petit soldat (métaphore reprise ici littéralement), je laisse courir. En voyant ce film de 1956, il est impressionant de voir à quel point le Japon n'a pas changé (pas forcément que le Japon, mais je n'ai pas la meme expérience en France).
Ce n'est pas forcément du niveau du Gout du Sake ou de Printemps tardif, notamment pour certaines longueurs et un sens de l'ellipse moins développé, mais la connexion avec ce qui se passait sur l'écran fut telle que c'est peut-etre le Ozu qui m'a le plus touché. J'ai envie de (re)découvrir les autres maintenant

Ouf Je Respire a écrit :Printemps tardif:
Mon premier Ozu.

C'est pas trop tôt!

Mama Grande! a écrit :Printemps précoce
Mon premier Ozu

C'est trop tôt!

Tirage très limité. Jean-Michel Frodon: "Treize Ozu, 1949-1962", 202 éditions, 18 €. Vous pouvez le feuilleter et le commander ici: https://202editions.blogspot.com/p/jean ... xQ29VDoMvs

bruce randylan a écrit : Un Ozu muet jusque là fortement incomplet vient d'être retrouvé quasiment dans son intégralité

http://www.asahi.com/ajw/articles/AJ201609070060.html

Et le voici disponible gratuitement et légalement pour un temps limité (jusqu'à demain ?).
8 minutes plus long par rapport à la version en bonus du coffret Carlotta

https://www.lecinemaclub.com/

Eh bien, on va tâcher de mater ça! (22 minutes, ça devrait trouver à se caser)

Jeremy Fox a écrit :Jérémie De Albuquerque nous offre une très belle étude autour du cinéma d'Ozu.

Je remercie au passage Stéphane pour les suggestions, la mise en page et l'ajout de certaines images.

Objectif 2020 : découvrir le cinéma de Ozu.

Flol a écrit :Objectif 2020 : découvrir le cinéma de Ozu.

As-tu chopé l'indispensable coffret blu-ray Carlotta durant le Black Friday ?