Commentaires à propos de votre film du mois

[Federico]

Nouveau postulant...

Ha ha ha (하하하, 2010, Hong Sang-soo)

Par moment, j'ai un peu perdu le fil (mettons ça sur le compte de tout ce que les protagonistes s'envoient derrière la cravate) et je me serais bien passé des zooms avant répétitifs mais les acteurs sont trop bons, l'humour permanent et l'ensemble dégage un charme énorme.

[Jeremy Fox]

• France société anonyme (Alain Corneau, 1974)

Et encore t'es sacrément généreux je trouve Ah oui si certains premiers films sont remarquables, le pauvre Corneau n'a pas eu de chances...

Content pour les Deville aussi.

[Père Jules]

J'ai mis une étoile pour Roland Dubillard, délicieusement nul.
Mais en effet, c'est une vraie purge.

[hellrick]

Le Kaiju Eiga ultime qu'on espérait depuis 60 ans

[Père Jules]

ɱɒɨ 2014

Images d'ouverture du post issues d'Une femme mariée.

Il ne t'aura pas échappé que l'homme est un des taulards du Trou , Philippe Leroy

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C'était l'anecdote inutile...

[Anorya]

C'était l'anecdote inutile...

Peut-être un discret hommage du Godard cinéphile à Becker ?
Sinon non je ne l'avais pas remarqué. Je n'ai pas encore vu Le trou (le DVD m'attends sur une longue pile) et le rôle de Leroy au sein du Godard est minime d'autant plus que ça fait longtemps que je ne l'ai pas revu. Du coup quand je revois les captures et la chronique que j'en avais fait, j'aimerais bien car je garde le souvenir d'un beau film assez touchant avec une Macha Méril souvent portée par la grâce.

[hellrick]

Il ne t'aura pas échappé que l'homme est un des taulards du Trou , Philippe Leroy

Qui tourna dans quelques giallo comme tout bon acteur des seventies: Ragazza tutta nuda assassinata nel parco, Homicide parfait au terme de la loi, Femina ridens, ...je viens de la voir dans un des premiers du genre, La donna del lago, un plutôt bon film

[julien]

J'ai mis une étoile pour Roland Dubillard, délicieusement nul.
Mais en effet, c'est une vraie purge.

Ça reste pourtant autrement plus passionnant et inventif que certains de ses derniers films comme Le Prince du Pacifique. Dans le genre Ovni à la française, et malgré ses défauts c'était quand même pas si déshonorant dans mon souvenir.

[Père Jules]

Passionnant non. Inventif sûrement.
Les prétentions expérimentales tournent à vide, la pathétique provocation de certaines séquences aussi. C'est le problème de ces films, ils vieillissent très mal et paraissent ridicules aujourd'hui.

[Federico]

Une fois de plus, gros coup de coeur pour un court-métrage avec ce petit bijou d'humour réalisé par un jeune et talentueux Chinois... qui risque d'avoir quelques problèmes pour le montrer dans son pays.
Seul le format court permet d'obtenir un résultat aussi extra à partir d'une simple (mais géniale) idée.
Grand Prix au dernier festival de Clermont-Ferrand.

La lampe au beurre de yak (2013, Hu Wei)

[Flol]

Ce ne sera pas mon film du mois (ben ouais, j'avoue avoir un faible pour les films de monstres géants), mais j'avais quand même envie de citer ce très beau film atypique (entre fiction et documentaire), contant le périple de 2 jeunes afghans pour rejoindre Londres par voie terrestre.
Le genre de films qui te montre quelque chose dont on ne parle jamais, et capable d'apporter un regard neuf sur une certaine situation.
Le genre de films "nécessaire", quoi.

[MJ]

Elle ne sera pas tout à fait close à la fin mai, mais je ne vois pas ce qui contrebalancerait émotionnellement ce mois le retour de Louie.

[Gounou]

Exotica (Atom Egoyan) : 6/10

Rah... !

[Flol]

Oui. Beaucoup de mal à rentrer dans le délire.

[Joshua Baskin]

Gros gros coup de coeur pour ce film de Jacques Rouffio qui vient de sortir en DVD.
Les cartons en préambule de l'itv du réalisateur résument parfaitement le sentiment ressenti par rapport au film : un croisement entre le drame à la Sautet et la comédie à la Yves Robert. (On pense aussi forcément au très joli l'année prochaine si tout va bien).
Sans trop dévoiler l'intrigue, c'est l'histoire d'un couple bohème qui se met à voler dans les grands magasins parisiens.
Le ton est toujours juste, la fin est très belle et puis comme souvent dans ces films, quel plaisir de voir le Paris des années 70. Et quelle musique de Philippe Sarde !
Potentiellement mon film du mois.