Les Aventures d'un homme invisible (John Carpenter - 1992)
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Les Aventures d'un homme invisible (John Carpenter - 1992)
mémoires d'un homme invisible : du carpenter à part, il n'a pas écrit le scénar, ni composé la musique... un univers qui ne lui ressemble que très peu mais qui reste néanmoins fidèle aux propos critiques de l'homme. Conspiration, mensonges... mélés dans une histoire à l'humour mené par un Chevy Chase en super forme et qui porte véritablement le film sur ses épaules. Quelques scènes redondantes vers la fin mais en résumé un divertissement efficace aux dialogues divins. "Il était transparent avant de devenir invisible".
8/10
8/10
- Beule
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Pas très naphtaliné çaDave Garver a écrit :mémoires d'un homme invisible : du carpenter à part, il n'a pas écrit le scénar, ni composé la musique... un univers qui ne lui ressemble que très peu mais qui reste néanmoins fidèle aux propos critiques de l'homme. Conspiration, mensonges... mélés dans une histoire à l'humour mené par un Chevy Chase en super forme et qui porte véritablement le film sur ses épaules. Quelques scènes redondantes vers la fin mais en résumé un divertissement efficace aux dialogues divins. "Il était transparent avant de devenir invisible".
8/10
Mouiii, pas désagréable mais rien de bien transcendant non plus.
Les effets spéciaux sont désagréablement très m'as-tu vu et semblent aujourd'hui déjà plus datés que les effets photographiques de John Fulton.
Surtout, il y a ce commentaire en voix off redondant et lourdement explicatif qui surligne l'action au détriment du pouvoir des images (je pense à la fuite de Chevy Chase après l'accident). Le malaise y perd beaucoup.
Une mise en scène élégante, de jolis dialogues certes, mais je n'y retrouve décidément pas la patte de Carpenter.
Celui ci m'a quand même tout l'air d'un vrai film mutilé.
5.5/10
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mémoires d'un homme invisible
Revu récemment grâce à l'édition warner zone 1.
Un film de carpenter aussi atypique que son Christine. Un film de commande dans lequel Carpenter ne s'exprime pas. On ne retrouve quasi nulle part son univers. Chevy Chase, producteur, dirige à la baguette et laisse peu de place à une vision autre que la sienne. Malgré ces critiques, le film est drôle, visuellement réussi, bien rythmé, ... Une critique de l'homme d'affaire qui me remplit d'aise. Comme le dit Neill à propos de Chase, "il était déjà transparent avant d'être invisible".
Que pensez-vous de ce Carpenter à part ???
Un film de carpenter aussi atypique que son Christine. Un film de commande dans lequel Carpenter ne s'exprime pas. On ne retrouve quasi nulle part son univers. Chevy Chase, producteur, dirige à la baguette et laisse peu de place à une vision autre que la sienne. Malgré ces critiques, le film est drôle, visuellement réussi, bien rythmé, ... Une critique de l'homme d'affaire qui me remplit d'aise. Comme le dit Neill à propos de Chase, "il était déjà transparent avant d'être invisible".
Que pensez-vous de ce Carpenter à part ???
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Re: mémoires d'un homme invisible
Du bien, du bien.Dave Garver a écrit : Que pensez-vous de ce Carpenter à part ???
Je ne suis pas sûr, par contre, que Carpenter ne s'y exprime pas.
On retrouve quand même son humour goguenard et sa charge contre le pouvoir, quel qu'il soit.
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Re: mémoires d'un homme invisible
on y retrouve de l'humour, certes, mais pas un humour que je pourrais qualifier de carpenterien... c'est vraiment une comédie à la Chase...Cosmo Vitelli a écrit :Du bien, du bien.Dave Garver a écrit : Que pensez-vous de ce Carpenter à part ???
Je ne suis pas sûr, par contre, que Carpenter ne s'y exprime pas.
On retrouve quand même son humour goguenard et sa charge contre le pouvoir, quel qu'il soit.
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Re: mémoires d'un homme invisible
Dave Garver a écrit : on y retrouve de l'humour, certes, mais pas un humour que je pourrais qualifier de carpenterien... c'est vraiment une comédie à la Chase...
C'est la période "studio" de Carpenter, pas la plus intéressante mais rien de bien honteux là-dedans. En tout cas je ne lui reprocherai pas de s'être aventuré loin de son territoire de prédilection (la peur). Je rappelle quand même que Dark star, son premier film, est une véritable oeuvre de potache.
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Re: mémoires d'un homme invisible
Je n'ai rien contre sa période studio, au contraire, The thing est un de mes films préférés.Cosmo Vitelli a écrit :Dave Garver a écrit : on y retrouve de l'humour, certes, mais pas un humour que je pourrais qualifier de carpenterien... c'est vraiment une comédie à la Chase...
C'est la période "studio" de Carpenter, pas la plus intéressante mais rien de bien honteux là-dedans. En tout cas je ne lui reprocherai pas de s'être aventuré loin de son territoire de prédilection (la peur). Je rappelle quand même que Dark star, son premier film, est une véritable oeuvre de potache.
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Re: mémoires d'un homme invisible
Normal la "chose" c'est un peu une métaphore d'un Dave transitant de pseudo en pseudoDave Garver a écrit : The thing est un de mes films préférés.
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Re: mémoires d'un homme invisible
Quelle charge inesquivable.Cosmo Vitelli a écrit :Normal la "chose" c'est un peu une métaphore d'un Dave transitant de pseudo en pseudoDave Garver a écrit : The thing est un de mes films préférés.
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Je l'ai revu aussi récemment avec plaisir.
Je trouve que c'est un film honnête quoiqu'assez impersonnel dans le traitement. Carpenter aurait pu faire faire une farce beaucoup plus noire et cynique mais Major oblige (Warner), il semble qu'il n'ait jamais autant été surveillé que pour ce film.
Le personnage féminin est bien esquissé, Sam Neil parfait et le film s'avère être fort divertissant. La patte de Carpenter est néanmoins bien reconnaissable par instants; cf le superbe plan séquence qui montre Chevy Chase s'incruster dans la salle de réunion (ou de dîner je ne sais plus).
Je trouve que c'est un film honnête quoiqu'assez impersonnel dans le traitement. Carpenter aurait pu faire faire une farce beaucoup plus noire et cynique mais Major oblige (Warner), il semble qu'il n'ait jamais autant été surveillé que pour ce film.
Le personnage féminin est bien esquissé, Sam Neil parfait et le film s'avère être fort divertissant. La patte de Carpenter est néanmoins bien reconnaissable par instants; cf le superbe plan séquence qui montre Chevy Chase s'incruster dans la salle de réunion (ou de dîner je ne sais plus).
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Les hommes invisibles ont été tellement malmenés ces derniers temps (cf le Verhoeven) que je ne peux m'empêcher d'avoir une certaine tendresse pour celui-là (en plus, à cause de Fletch, j'aime bien Chevy Chase). Mais suis-je très bon juge en matière de Carpenter, moi qui considère qu'il est au cinéma ce qu'il est également à la musique...
A l'adolescence, j'ai réalisé que j'avais cette faculté : je peux me retenir aussi longtemps que je veux.
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J'avais lu le roman de H.F. Saint (non, pas H.G. Wells ) avant de voir le film, et j'ai été plutôt déçu par l'adaptation. Tout le bouquin met davantage l'accent sur le désespoir du héros, ce qui dans le film est complètement parasité par Chase et ses vannes. Le livre part également dans une direction totalement différente, puisque le personnage principal tire parti de son invisibilité en faisant fortune à Wall Street, une idée qui est vaguement suggérée dans le film. C'est Chevy Chase qui plombe tout, en fait, puisque je ne le trouve pas du tout crédible dans les aspects dramatiques.
Sinon, ça se laisse voir, mais j'ai vraiment du mal à y voir la patte de Carpenter, contrairement à The Thing. Très belle partition musicale de Shirley Walker, également, mais les effets spéciaux ont quand même pris un sacré coup de vieux.
Sinon, ça se laisse voir, mais j'ai vraiment du mal à y voir la patte de Carpenter, contrairement à The Thing. Très belle partition musicale de Shirley Walker, également, mais les effets spéciaux ont quand même pris un sacré coup de vieux.
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Je pense de mon côté que le film reste une oeuvre Carpenterienne au même titre que pas mal de ses films de studio. Notamment par le brio de sa mise en scène, qui n'a par fois rien à envier au chef d'oeuvre (revu il y a à peine 2 jours) de James Whale. Certaines idées, d'une poésie rare (la superbe scène des gouttes d'eau, certains dialogues...) témoignent d'une finesse loin du tout venant quand même, non ?
Et puis comme Cosmo, je ne peux m'empêcher de voir dans qqes séquences qqes coups de griffe bien sentis contre une certains Amérique, même si ce n'est bien sûr pas du niveau de ses chefs d'oeuvre.
Et puis comme Cosmo, je ne peux m'empêcher de voir dans qqes séquences qqes coups de griffe bien sentis contre une certains Amérique, même si ce n'est bien sûr pas du niveau de ses chefs d'oeuvre.