Notez les films (Juin 2005)
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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Mindhunters - Renny Harlin
Pas mauvais. Je m'attendais à bien pire avec un pitch qui tient sur un ticket de métro et quelques "stars" qui cachetonnent. Mais au final ce jeu de massacre tient le coup jusqu'au bout, grace notamment à un mauvais gout affirmé (ça saigne sans complexe), pleins de clins d'oeil moqueurs aux genres (slashers & thrillers psychologiques), une mise en scène nerveuse et un casting convaincant. On retrouve bien sur les twists dont raffolent Harlin. Ca se laisse consommer un petit sourire aux lèvres. Sympa.
Pas mauvais. Je m'attendais à bien pire avec un pitch qui tient sur un ticket de métro et quelques "stars" qui cachetonnent. Mais au final ce jeu de massacre tient le coup jusqu'au bout, grace notamment à un mauvais gout affirmé (ça saigne sans complexe), pleins de clins d'oeil moqueurs aux genres (slashers & thrillers psychologiques), une mise en scène nerveuse et un casting convaincant. On retrouve bien sur les twists dont raffolent Harlin. Ca se laisse consommer un petit sourire aux lèvres. Sympa.
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Dodes'Kaden
C'est très beau, c'est inventif, c'est touchant, mais au final j'ai trouvé ça parfois longuet (certains personnages ne m'intéressant absolument pas) et malgré un tas de bonnes choses je suis resté généralement en dehors de ce qui se passait. C'est bête parce que le film est très riche et y a quelques scènes que j'ai trouvé fabuleuses.
C'est très beau, c'est inventif, c'est touchant, mais au final j'ai trouvé ça parfois longuet (certains personnages ne m'intéressant absolument pas) et malgré un tas de bonnes choses je suis resté généralement en dehors de ce qui se passait. C'est bête parce que le film est très riche et y a quelques scènes que j'ai trouvé fabuleuses.
- Errm. Do you want to put another meeting in?
- Any point?
- May as well. Errm. And then when nothing comes in, just phone you up and cancel it.
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Star Wars III :
des scènes spatiales qui vont méchamment faire vieillir celles de la trilogie originale, des acteurs qui s'en sortent mieux même si les dialogues sont tjs aussi profonds, Lucas a (enfin) réussi à faire un film efficace, à défaut d'être subtil.
La boucle est bien bouclée
7/10
Big Fish :
ce Burton me laisse tjs aussi perplexe à la revision.
Fable, sûrement, légère, pas toujours.
Si certains plans ou scènes semblent rater ou de trop (celle de la jambe de DeVito sans trop spoiler), et que le rythme pose quelques problèmes, l'ensemble reste merveilleux. Burton nous dépend un imaginaire splendide et haut en couleurs.
7.5/10
des scènes spatiales qui vont méchamment faire vieillir celles de la trilogie originale, des acteurs qui s'en sortent mieux même si les dialogues sont tjs aussi profonds, Lucas a (enfin) réussi à faire un film efficace, à défaut d'être subtil.
La boucle est bien bouclée
7/10
Big Fish :
ce Burton me laisse tjs aussi perplexe à la revision.
Fable, sûrement, légère, pas toujours.
Si certains plans ou scènes semblent rater ou de trop (celle de la jambe de DeVito sans trop spoiler), et que le rythme pose quelques problèmes, l'ensemble reste merveilleux. Burton nous dépend un imaginaire splendide et haut en couleurs.
7.5/10
surtout, restons courtois...
blog dessins - srtCleaner
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Sin City : Original et esthétique et au final une bonne expérience de cinéma, pas une grande claque non plus mais certains plans ont vraiment une sacrée gueule. Et les acteurs et actrices sont tous très bons. je crosi que c'est là en définitive la grande force du film : la qualité d'interprétation. Sinon je trouve que le film est un peu trop rapide et j'ai hâte de voir les versions intégrales des segments pour comparer. J'ai passé un très bon moment.
- Colqhoun
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Ocean's twelve - Steven Soderbergh
Sympathique, moins emmerdant que le premier, mais doté d'une roublardise assez énervante qui tue toute ambition (alors qu'il y aura eu matière à faire avec le personnage de Benedict, ils vont s'emmerder avec des histoires d'oeufs en or qui ne débarque qu'à la moitié du film....).
Les nouveaux personnages sont très sympathiques (quelques caméos vraiment fun) et l'on a droit a une béo très agréable.
Narco - Tristan Allouet & Gilles Lellouche
En un mot comme cent: chiant. Alors que l'idée de départ était vraiment motivante, le parti pris à peu près dramatique de l'histoire vient tout bousiller et l'on se tappe une heure d'hésitations entre comédie loufoque, drame humain et film de superhéros alors que toute la première partie avec sa présentation des personnages laissait augurer quelque chose de sympa.
Au final on s'emmerde plus qu'autre chose et la conclusion du film est carrément pathétique.
Sympathique, moins emmerdant que le premier, mais doté d'une roublardise assez énervante qui tue toute ambition (alors qu'il y aura eu matière à faire avec le personnage de Benedict, ils vont s'emmerder avec des histoires d'oeufs en or qui ne débarque qu'à la moitié du film....).
Les nouveaux personnages sont très sympathiques (quelques caméos vraiment fun) et l'on a droit a une béo très agréable.
Narco - Tristan Allouet & Gilles Lellouche
En un mot comme cent: chiant. Alors que l'idée de départ était vraiment motivante, le parti pris à peu près dramatique de l'histoire vient tout bousiller et l'on se tappe une heure d'hésitations entre comédie loufoque, drame humain et film de superhéros alors que toute la première partie avec sa présentation des personnages laissait augurer quelque chose de sympa.
Au final on s'emmerde plus qu'autre chose et la conclusion du film est carrément pathétique.
"Give me all the bacon and eggs you have."
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- Assistant(e) machine à café
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Les fameux oeufs Benedict !Colqhoun a écrit :Ocean's twelve - Steven Soderbergh
Sympathique, moins emmerdant que le premier, mais doté d'une roublardise assez énervante qui tue toute ambition (alors qu'il y aura eu matière à faire avec le personnage de Benedict, ils vont s'emmerder avec des histoires d'oeufs en or qui ne débarque qu'à la moitié du film....).
Préparation :
Préparer une sauce sauce hollandaise
Pocher les œufs, pendant ce temps faire griller le pain dans le toaster et le bacon à la poêle.
Quand tout est prêt, recouvrir chaque tranche de pain d'une tranche de bacon, puis d'un œuf poché, puis napper de sauce hollandaise.
Un tour de poivre et c'est prêt!
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- David O. Selznick
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- Localisation : Une poche pour la chocolatine ?
Travaux ... (B. Rouan) : comédie assez originale et amusante sans plus. Je m'attendais d'avantage de qualité dans les dialogues et à un rythme plus soutenu. Le début est un peu laborieux, la seconde partie est meilleure offrant une mise en scène assez décalée et quelques belles situations de comédie. Bouquet est excellente et semble prendre beaucoup de plaisir, les seconds rôles sont assez moyens.
Sur le fond le message politique (auquel j'adhère) a du mal à passer: jouer les mères 'morales' quand on vit dans un appart immense en plein Paris sonne un peu trop 'bobo' à mon goût
5/10
Swimming pool (F. Ozon) : voici un film que je n'avais pas vraiment envie de voir. Et pourtant, j'ai pris pas mal de plaisir à me plonger dans l'ambiance créée par Ozon (j'avais détesté Sous le Sable et j'avais été ennuyé par 8 femmes). Ici les deux femmes (Rampling énigmatique et Ludivine Sagnier vulgaire et sensuelle) m'ont séduit. Les images sont belles et la musique colle parfaitement au récit. Néanmoins, le scénar finit par être agaçant car si Ozon manipule bien son public, sa petite tambouille paraît finalement trop facile et quelque peu téléphonée.
Pour l'ambiance et les deux comédiennes ... 7/10
Sur le fond le message politique (auquel j'adhère) a du mal à passer: jouer les mères 'morales' quand on vit dans un appart immense en plein Paris sonne un peu trop 'bobo' à mon goût
5/10
Swimming pool (F. Ozon) : voici un film que je n'avais pas vraiment envie de voir. Et pourtant, j'ai pris pas mal de plaisir à me plonger dans l'ambiance créée par Ozon (j'avais détesté Sous le Sable et j'avais été ennuyé par 8 femmes). Ici les deux femmes (Rampling énigmatique et Ludivine Sagnier vulgaire et sensuelle) m'ont séduit. Les images sont belles et la musique colle parfaitement au récit. Néanmoins, le scénar finit par être agaçant car si Ozon manipule bien son public, sa petite tambouille paraît finalement trop facile et quelque peu téléphonée.
Pour l'ambiance et les deux comédiennes ... 7/10
- MJ
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Hier après-midi/soir 2 films à la suite (l'un en DVD l'autre au ciné)
Sur la Route de Madison. Je ne l'avais pas encore vu et suis désormais très heureux d'avoir palié à cette "carence". A la différence du best-seller dont il est inspiré, le film ne suit pas les aventures de Robert Kincaid (Clint Eastwood) mais de Francesca rendant le film plus fort et moins éparse.
Traitant de sujets qui virent normalement facilement dans le lourdingue (machisme inconscient, critique du cadre matrimonial obligé par la culture, la frustration de ne pas avoir fait ce que l'on voulait de ne pas avoir été ce que l'on rêvait être) le film s'avère être une oeuvre mélancolique et émouvante qui joue sur la simplicité et non sur de grossiers artifices habituels. Plutôt que de rajouter des violons dans l'orchestre et de d'envoyer des pétales de roses au ralenti face à la caméra, ce bon vieux Clint préfère travailler sur de petites choses pourtant si importantes: 2 corps qui se frôlent, une larme qui coule sur les joues de Meryl Streep, un regard qui en dit plus que cent phrases (à cet égard la scène du repas avant le départ de la famille de Francesca est un véritable bijou). Il y aurait matière à rajouter de l'émouvant, mais non... le film s'en tient à sa trame originelle ni plus ni moins
2ème film: Va.Vis et Devines
MA grosse surprise de début de mois. Je m'attendais à un film un peu basique quoi que formellement beau sur le thème de l'immigration et la différence, mais c'est une sacré baffe que je me suis prise. Traitant de thèmes comme la différence raciale ou le Tiers-Monde, le film va bien plus loin allant jusqu'à proposer une réflexion sur l'identité universelle sans pour autant virer dans le questionnement existentialiste bobo à 2 balles. Les acteurs sont tous exacts pile-poil comme il faut (Roschdy Zem toruve là son meilleur rôle) et je ne cacherai ni mon plaisir, ni mon émotion. Une perle
Sur la Route de Madison. Je ne l'avais pas encore vu et suis désormais très heureux d'avoir palié à cette "carence". A la différence du best-seller dont il est inspiré, le film ne suit pas les aventures de Robert Kincaid (Clint Eastwood) mais de Francesca rendant le film plus fort et moins éparse.
Traitant de sujets qui virent normalement facilement dans le lourdingue (machisme inconscient, critique du cadre matrimonial obligé par la culture, la frustration de ne pas avoir fait ce que l'on voulait de ne pas avoir été ce que l'on rêvait être) le film s'avère être une oeuvre mélancolique et émouvante qui joue sur la simplicité et non sur de grossiers artifices habituels. Plutôt que de rajouter des violons dans l'orchestre et de d'envoyer des pétales de roses au ralenti face à la caméra, ce bon vieux Clint préfère travailler sur de petites choses pourtant si importantes: 2 corps qui se frôlent, une larme qui coule sur les joues de Meryl Streep, un regard qui en dit plus que cent phrases (à cet égard la scène du repas avant le départ de la famille de Francesca est un véritable bijou). Il y aurait matière à rajouter de l'émouvant, mais non... le film s'en tient à sa trame originelle ni plus ni moins
2ème film: Va.Vis et Devines
MA grosse surprise de début de mois. Je m'attendais à un film un peu basique quoi que formellement beau sur le thème de l'immigration et la différence, mais c'est une sacré baffe que je me suis prise. Traitant de thèmes comme la différence raciale ou le Tiers-Monde, le film va bien plus loin allant jusqu'à proposer une réflexion sur l'identité universelle sans pour autant virer dans le questionnement existentialiste bobo à 2 balles. Les acteurs sont tous exacts pile-poil comme il faut (Roschdy Zem toruve là son meilleur rôle) et je ne cacherai ni mon plaisir, ni mon émotion. Une perle
"Personne ici ne prend MJ ou GTO par exemple pour des spectateurs de blockbusters moyennement cultivés." Strum
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- Localisation : Une poche pour la chocolatine ?
- Billy Budd
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- Inscription : 13 avr. 03, 13:59
Je ne comprends pas qu'on puisse détester Sous le sable; quant à lui préférer Swimming pool ...George Kaplan a écrit : Swimming pool (F. Ozon) : voici un film que je n'avais pas vraiment envie de voir. Et pourtant, j'ai pris pas mal de plaisir à me plonger dans l'ambiance créée par Ozon (j'avais détesté Sous le Sable et j'avais été ennuyé par 8 femmes). Ici les deux femmes (Rampling énigmatique et Ludivine Sagnier vulgaire et sensuelle) m'ont séduit. Les images sont belles et la musique colle parfaitement au récit. Néanmoins, le scénar finit par être agaçant car si Ozon manipule bien son public, sa petite tambouille paraît finalement trop facile et quelque peu téléphonée.
Pour l'ambiance et les deux comédiennes ... 7/10
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parce qu'il est chiant comme la pluie?Nikita a écrit :
Je ne comprends pas qu'on puisse détester Sous le sable; quant à lui préférer Swimming pool ...
surtout, restons courtois...
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- Localisation : Une poche pour la chocolatine ?
Disons que je préfère passer 1h30 près d'une piscine ensoleillée avec L. Sagnier plutôt que 1h30 avec une Rampling en deuil et un paysage grisâtre !Nikita a écrit :Je ne comprends pas qu'on puisse détester Sous le sable; quant à lui préférer Swimming pool ...George Kaplan a écrit : Swimming pool (F. Ozon) : voici un film que je n'avais pas vraiment envie de voir. Et pourtant, j'ai pris pas mal de plaisir à me plonger dans l'ambiance créée par Ozon (j'avais détesté Sous le Sable et j'avais été ennuyé par 8 femmes). Ici les deux femmes (Rampling énigmatique et Ludivine Sagnier vulgaire et sensuelle) m'ont séduit. Les images sont belles et la musique colle parfaitement au récit. Néanmoins, le scénar finit par être agaçant car si Ozon manipule bien son public, sa petite tambouille paraît finalement trop facile et quelque peu téléphonée.
Pour l'ambiance et les deux comédiennes ... 7/10
Je dois avoir besoin de vacances
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Une très bonne surprise plus longue que le version ciné (2h08), avec une intrigue en plus qui fait rebondir le film, bref vraiment à voir. 17/20
Une très bonne surprise plus longue que le version ciné (2h08), avec une intrigue en plus qui fait rebondir le film, bref vraiment à voir. 17/20
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