La dame naphtalinée de la semaine is back (20/05)
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- Mister Ironbutt 2005
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La dame naphtalinée de la semaine is back (20/05)
Cette semaine, honneur à la Miss Bullitt
Jacqueline Bisset
Née le 13 septembre 44 dans le Surrey au Royaume Uni, elle a travaillé en Europe comme aux Etats Unis, alternant les langues et les cultures. Jacqueline Bisset est bilingue, et promène un léger accent dans tous ses films, qui n'a fait qu'accentuer la sensualité de ses personnages.
Car bien avant d'être reconnue comme une comédienne, elle était surtout réputée pour sa beauté physique. Bisset reçu même le titre de Plus belle Femme du monde dans les années 70. Ses yeux verts, son visage félin, cette classe innée ont sans doute contribué à nous aveugler. personne ne la jugeait sur ses rôles ou son talent.
Pourtant une femme capable de donner la répartie successivement à des monstres sacrés comme Paul Newman ou Steve MacQueen, ou plus tard Albert Finney, il y en a peu. Et combien d'actrices ont eu assez de charisme pour traverser des univers aussi différents que ceux de Truffaut (inoubiable dans La Nuit américaine), de Huston, ou de Yates?
Bisset est ainsi. Gracieuse et discrète. Défilant à travers les décennies, sans prendre une ride. On se souvient peu de ses personnages. Mais certains de ses films ont réussi à résister à l'épreuve du temps. On reste séduit par son charme. Et pourtant, son jeu naturel impose une réelle présence à l'écran.
Avec son plus récent maître, Chabrol, elle a montré l'étendue de son registre: de la comédie fantastique sous De Broca au polar urbain de Yates, en passant par la bourgeoisie provinciale ou l'aristocratie romanesque. Une star qui nous fait toujours rêver.
http://www.ecrannoir.fr/evenements/fest ... real/1997/
Jacqueline Bisset
Née le 13 septembre 44 dans le Surrey au Royaume Uni, elle a travaillé en Europe comme aux Etats Unis, alternant les langues et les cultures. Jacqueline Bisset est bilingue, et promène un léger accent dans tous ses films, qui n'a fait qu'accentuer la sensualité de ses personnages.
Car bien avant d'être reconnue comme une comédienne, elle était surtout réputée pour sa beauté physique. Bisset reçu même le titre de Plus belle Femme du monde dans les années 70. Ses yeux verts, son visage félin, cette classe innée ont sans doute contribué à nous aveugler. personne ne la jugeait sur ses rôles ou son talent.
Pourtant une femme capable de donner la répartie successivement à des monstres sacrés comme Paul Newman ou Steve MacQueen, ou plus tard Albert Finney, il y en a peu. Et combien d'actrices ont eu assez de charisme pour traverser des univers aussi différents que ceux de Truffaut (inoubiable dans La Nuit américaine), de Huston, ou de Yates?
Bisset est ainsi. Gracieuse et discrète. Défilant à travers les décennies, sans prendre une ride. On se souvient peu de ses personnages. Mais certains de ses films ont réussi à résister à l'épreuve du temps. On reste séduit par son charme. Et pourtant, son jeu naturel impose une réelle présence à l'écran.
Avec son plus récent maître, Chabrol, elle a montré l'étendue de son registre: de la comédie fantastique sous De Broca au polar urbain de Yates, en passant par la bourgeoisie provinciale ou l'aristocratie romanesque. Une star qui nous fait toujours rêver.
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Je n'ai jusqu'à présent jamais rencontré une seule personne qui n'est pas transformée en loup de Tex Avery devant la performance de Jacqueline Bisset dans Les grands fonds de Peter Yates.
Une actrice sensible et sensuelle qui fut mannequin avant de se voir remarquer par Roman Polanski qui lui donna un excellent second rôle dans le formidable Cul-de-sac (1966).
Dans Le Magnifique (1973) de Philippe de Broca, elle est le fantasme féminin incarné !
Une actrice sensible et sensuelle qui fut mannequin avant de se voir remarquer par Roman Polanski qui lui donna un excellent second rôle dans le formidable Cul-de-sac (1966).
Dans Le Magnifique (1973) de Philippe de Broca, elle est le fantasme féminin incarné !
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Oui, je suis d'accordRoy Neary a écrit :Oui, bon, je pense qu'on m'a compris...
Et puis pensons à nos camarades homosexuelles qui ont, elles aussi, le droit de fantasmer sur la belle Jacqueline.
J'avoue que ma remarque était assez sarcastique et amusée.
Mais la façon dont tu retombes sur tes pattes et un exemple de maîtrise pour nous tous.
ceci dit, et en l'absence de toute ironie, je suis tout à fait d'accord avec toi sur l'effet de "lycanthropie" que procure la vue de cette pure beauté !
"Quand les types de cent trente kilos disent certaines choses, les types de soixante kilos les écoutent."
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Un film rarement diffusé et qui mériterait - selon mon souvenir - d'être redécouvert: Sweet Ride de Harvey Hart.
Il est certain que son physique fait beaucoup plus fantasmer que son jeu.
Mal lui en a pris de céder au maniérisme face au cabotinage grossier de Candice Bergen dans Rich and Famous, pour un résultat qui contribue à vider le film de toute réelle émotion.
Il est certain que son physique fait beaucoup plus fantasmer que son jeu.
Mal lui en a pris de céder au maniérisme face au cabotinage grossier de Candice Bergen dans Rich and Famous, pour un résultat qui contribue à vider le film de toute réelle émotion.