Dracula (Francis Ford Coppola - 1992)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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mannhunter
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Re: Dracula (Francis Ford Coppola - 1992)

Message par mannhunter »

Je ne suis pas un grand défenseur des deux mais pas pour les mêmes raisons, le style flamboyant du Coppola est à l'opposé du traitement très classique, quasi théâtral de la version 3D (dans mon souvenir lointain la version Tod Browning avait ce côté statique aussi). Mes adaptations préférées restent probablement le Badham, le Curtis et le Fisher, mais bon à la base je ne suis pas un fan du bouquin de Bram Stoker et du célèbre comte..
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Truffaut Chocolat
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Re: Dracula (Francis Ford Coppola - 1992)

Message par Truffaut Chocolat »

Dracula c'est une histoire d'amour hors norme ! Plus que tout le reste...
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Watkinssien
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Re: Dracula (Francis Ford Coppola - 1992)

Message par Watkinssien »

mannhunter a écrit : 15 avr. 24, 14:39 mais bon à la base je ne suis pas un fan du bouquin de Bram Stoker et du célèbre comte..
Pour moi, un des plus grands et puissants romans jamais lus.
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mannhunter
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Re: Dracula (Francis Ford Coppola - 1992)

Message par mannhunter »

Watkinssien a écrit : 15 avr. 24, 23:14
mannhunter a écrit : 15 avr. 24, 14:39 mais bon à la base je ne suis pas un fan du bouquin de Bram Stoker et du célèbre comte..
Pour moi, un des plus grands et puissants romans jamais lus.
Je le retenterai à l'occasion, pas lu depuis 25 ans..
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Flol
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Re: Dracula (Francis Ford Coppola - 1992)

Message par Flol »

Watkinssien a écrit : 15 avr. 24, 23:14
mannhunter a écrit : 15 avr. 24, 14:39 mais bon à la base je ne suis pas un fan du bouquin de Bram Stoker et du célèbre comte..
Pour moi, un des plus grands et puissants romans jamais lus.
Alors je devrais peut-être le retenter, parce qu’il y a une dizaine d’années, il m’était littéralement tombé des mains. Le côté épistolaire, où le narrateur ne cesse de faire des compte-rendus de leurs réunions avant d’aller affronter le Comte, m’avait hautement gonflé.
Donc pour en revenir au Coppola dont il est question ici : non seulement je l’adore (cette intro ! cette musique ! ces idées formelles de dingo toutes les 12 secondes !), mais je le trouve infiniment supérieur à son matériau d’origine.
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Re: Dracula (Francis Ford Coppola - 1992)

Message par G.T.O »

tchi-tcha a écrit : 15 avr. 24, 10:37
Truffaut Chocolat a écrit : 15 avr. 24, 10:12 Leader des films en voie de réhabilitation. :o
Pas pour tout le monde (coucou Dario) :fiou:

D'accord c'est plombé par certains acteurs, mais qu'on puisse ne pas aimer ce film reste un mystère pour moi (la beauté du Dracula de Coppola crève pourtant les yeux).
Et pourtant, sans aller jusqu'à défendre le désuet et très dilettante Dracula 3D de Dario (faut pas déconner, hein :mrgreen: ) , je trouve le Coppola terriblement empathique, les effets directs ont beau être sympas, le coeur du film lui est disons corrompu, par cette direction d'acteurs calamiteuse: Reeves est mauvais comme un cochon, Gary Oldman, ridicule de romantisme exacerbé comme assez peu crédible en conte des Carpates sanguinaire, Winona Ryder, moyenne, Hopkins, en fait des tonnes...D'ailleurs, c'est un constat qui, de manière générale, s'applique à Coppola dès lors qu'il s'aventure vers l'opératique, le défaut de la surcharge restant ce qui entrave le plus son cinéma...Donc, à défaut d'aimer ce monument de romantisme, on peut y être raisonnablement indifférent.
Dernière modification par G.T.O le 16 avr. 24, 22:52, modifié 1 fois.
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Re: Dracula (Francis Ford Coppola - 1992)

Message par Spongebob »

Pour moi la vraie beauté se trouve bien souvent dans la fine frontière qui sépare le ridicule du sublime. Et Dracula est un film sublime.
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Re: Dracula (Francis Ford Coppola - 1992)

Message par G.T.O »

Spongebob a écrit : 16 avr. 24, 22:49 Pour moi la vraie beauté se trouve bien souvent dans la fine frontière qui sépare le ridicule du sublime. Et Dracula est un film sublime.
Tant mieux pour toi Spongebob. :wink:
Par contre, j'aime beaucoup la musique de Kilar: enfiévrée, magique, colorée. Le film lui doit beaucoup. C'était l'époque où on composait encore ( pas encore le règne de la Zimmer panzer musica), et on demandait, parfois, à des compositeurs européens de venir bosser à Hollywood.
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Re: Dracula (Francis Ford Coppola - 1992)

Message par mannhunter »

Flol a écrit : 16 avr. 24, 22:19
Watkinssien a écrit : 15 avr. 24, 23:14

Pour moi, un des plus grands et puissants romans jamais lus.
Alors je devrais peut-être le retenter, parce qu’il y a une dizaine d’années, il m’était littéralement tombé des mains. Le côté épistolaire, où le narrateur ne cesse de faire des compte-rendus de leurs réunions avant d’aller affronter le Comte, m’avait hautement gonflé.
C'est le souvenir que j'en ai, également...mais bon promis, je le retenterai.
G.T.O a écrit : 16 avr. 24, 22:42D'ailleurs, c'est un constat qui, de manière générale, s'applique à Coppola dès lors qu'il s'aventure vers l'opératique, le défaut de la surcharge restant ce qui entrave le plus son cinéma..
Attention à son prochain film donc? en même temps si j'accroche pas trop à son DRACULA et que je ne suis pas un fan hardcore d'"APOCALYPSE NOW j'ai un beau souvenir de son "surchargé" COUP DE COEUR...comme quoi..
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Re: Dracula (Francis Ford Coppola - 1992)

Message par G.T.O »

mannhunter a écrit : 17 avr. 24, 12:30
Flol a écrit : 16 avr. 24, 22:19
Alors je devrais peut-être le retenter, parce qu’il y a une dizaine d’années, il m’était littéralement tombé des mains. Le côté épistolaire, où le narrateur ne cesse de faire des compte-rendus de leurs réunions avant d’aller affronter le Comte, m’avait hautement gonflé.
C'est le souvenir que j'en ai, également...mais bon promis, je le retenterai.
G.T.O a écrit : 16 avr. 24, 22:42D'ailleurs, c'est un constat qui, de manière générale, s'applique à Coppola dès lors qu'il s'aventure vers l'opératique, le défaut de la surcharge restant ce qui entrave le plus son cinéma..
Attention à son prochain film donc? en même temps si j'accroche pas trop à son DRACULA et que je ne suis pas un fan hardcore d'"APOCALYPSE NOW j'ai un beau souvenir de son "surchargé" COUP DE COEUR...comme quoi..
Coup de cœur, on est du côté du mélodrame, pas du côté de l’opéra. Apocalypse Now est un opéra. Tires-en les conclusions qui s’imposent, Manny. :mrgreen: Comme l’avait dit Kubrick, qui visait avec Full Metal Jacket un certain classicisme, Coppola avait, selon lui, cédé à une surenchère dans le spectaculaire. Il trouvait le résultat fort mais avait bien cerné le problème.
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