Le 6 mars, Carlotta sort en salles ce film japonais
*
certainement un blu-ray plus tard
Les Reprises en salle
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
- Jack Carter
- Certains l'aiment (So)chaud
- Messages : 30357
- Inscription : 31 déc. 04, 14:17
- Localisation : En pause
Re: Les Reprises en salle
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
-
- Mogul
- Messages : 11658
- Inscription : 21 sept. 04, 16:57
- Localisation : lost in time and lost in space
Re: Les Reprises en salle
"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
- Jack Carter
- Certains l'aiment (So)chaud
- Messages : 30357
- Inscription : 31 déc. 04, 14:17
- Localisation : En pause
Re: Les Reprises en salle
Merci Bruce pour le lien
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
- Jack Carter
- Certains l'aiment (So)chaud
- Messages : 30357
- Inscription : 31 déc. 04, 14:17
- Localisation : En pause
Re: Les Reprises en salle
12 juin
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
- cinephage
- C'est du harfang
- Messages : 23921
- Inscription : 13 oct. 05, 17:50
Re: Les Reprises en salle
Ca avait été mon film du mois de mars 2022.
Crépuscule/ Szürkület, de György Fehér (1990) 10/10 - Passionnant à voir après Ça s'est passé en plein jour, de Ladislao Vajda (1958), puisque c'est l'adaptation du même texte, mais avec un traitement radicalement (et combien) différent. Ici, l'enquête est lente, la rationalité évincée, le désespoir est partout, les mouvements de caméra sont lents, ils révèlent toujours quelque chose, la bande sonore est essentielle (la caméra ne suit pas l'action, le hors-champ est très présent). On voit immédiatement l'influence que ce film a pu avoir sur l'oeuvre de Bela Tarr. C'est clairement un film à découvrir.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell