Benoît Jacquot
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Re: Benoît Jacquot
C’est un film que j’ai toujours voulu voir. C’était sa période Sanda, ça devrait passer…
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Re: Benoît Jacquot
De mon côté, c'est le seul film de Jacquot que j'ai vu, avec Villa Amalia, bien des années plus tard. Et je n'ai accroché ni à l'un, ni à l'autre...
Edit : Après vérification, je me serais aussi laissé tenter par Corps et biens, il y a fort longtemps, et j'aurais abandonné le film en cours de route...
Edit : Après vérification, je me serais aussi laissé tenter par Corps et biens, il y a fort longtemps, et j'aurais abandonné le film en cours de route...
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Re: Benoît Jacquot
J'aime beaucoup celui avec Charlotte Gainsbourg et Benoît Poelvoorde, Trois cœurs.
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Re: Benoît Jacquot
Je n'ai vu que 3 Jacquot dans ma vie : 3 Coeurs, Les Adieux à la Reine et Journal d'une femme de chambre. Et à chaque fois, la même impression : je trouve ça morne, froid et chiant comme la mort.
Un peu à l'image du bonhomme, qui n'a franchement pas une tête de rigolo (surtout rétrospectivement, maintenant qu'on sait qu'il n'est VRAIMENT pas drôle du tout ).
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Re: Benoît Jacquot
Vu Les Ailes de la colombe la semaine dernière sur mycanal, c'est tel que Flol décrit : froid, chiant
Je n'avais pas trop accroché non plus à deux autres de ses premiers films (ceux édités en dvd par Tamasa)
J'avais apprécié Trois coeurs par contre.
Mon préféré : La Fille seule, mais pas revu depuis sa sortie
Je n'avais pas trop accroché non plus à deux autres de ses premiers films (ceux édités en dvd par Tamasa)
J'avais apprécié Trois coeurs par contre.
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Re: Benoît Jacquot
J'aime énormément ces films, surtout Les Adieux à la Reine que je considère comme son chef-d'œuvre. Son téléfilm en deux parties La Vie de Marianne était de très grande qualité.Flol a écrit : ↑6 mars 24, 15:29 Je n'ai vu que 3 Jacquot dans ma vie : 3 Coeurs, Les Adieux à la Reine et Journal d'une femme de chambre. Et à chaque fois, la même impression : je trouve ça morne, froid et chiant comme la mort.
Un peu à l'image du bonhomme, qui n'a franchement pas une tête de rigolo (surtout rétrospectivement, maintenant qu'on sait qu'il n'est VRAIMENT pas drôle du tout ).
Le bonhomme semble être une parfaite ordure, cela semble être avéré.
Dernière modification par Watkinssien le 7 mars 24, 09:17, modifié 1 fois.
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Re: Benoît Jacquot
Ou l'on apprend que Jacquot faisait partie de la bande du Drugstore, immortalisé par Dutronc dans les playboys : ""Je n'ai pas peur des petits minets qui mangent leur ronron au Drugstore.."Flol a écrit : ↑6 mars 24, 15:29 tête de rigolo (surtout rétrospectivement, maintenant qu'on sait qu'il n'est VRAIMENT pas drôle du tout ).
http://paris70.free.fr/minets.htm#a
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Re: Benoît Jacquot
AtCloseRange a écrit : ↑15 mars 24, 23:05 Trollage de premier ordre (hasard ou coïncidence), la Fille de 15 ans de Doillon est arrivé sur Prime...
AtCloseRange a écrit : ↑15 mars 24, 23:09J'imagine que ça devait coïncider initialement avec la sortie de son nouveau film.
Tiens je vois plus haut dans ce topic que je me plaignais de la prise de son de Vincent Lindon dans La carrière d’une femme de chambre. Eh bien dans La fille de 15 ans, c’est Benoît Jacquot lui-même qui est souvent inaudible (et assez agaçant accessoirement). Alors que pour Poupaud et Godreche, ça va. D’ailleurs Godreche donne souvent l’impression de reciter son texte (au demeurant, sa façon de parler pour une ado de 15 ans de 1989, ne me semble pas très naturel). Melvil Poupaud est celui qui s’en sort le mieux je trouve, il est assez bon dans un film sinistre.
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Re: Benoît Jacquot
Sauf que c'est Doillon et pas Jacquot
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Re: Benoît Jacquot
Ah oui merde.. Étrange confusion.
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Re: Benoît Jacquot
A noter aussi une très belle version filmée de la Tosca de Puccini avec le couple star de l’opéra de l’époque, Angela Gheorghiu et Roberto Alagna, ainsi que Ruggero Raimondi.
Le Werther qu’il a initialement mis en scène pour le Royal Opera House, production reprise ensuite par l’Opéra de Paris, fait partie de mes plus beaux souvenirs de spectacle vivant. On peut d’ailleurs s’interroger sur l’avenir de cette production qui fait partie des piliers du répertoire parisien.
Le Werther qu’il a initialement mis en scène pour le Royal Opera House, production reprise ensuite par l’Opéra de Paris, fait partie de mes plus beaux souvenirs de spectacle vivant. On peut d’ailleurs s’interroger sur l’avenir de cette production qui fait partie des piliers du répertoire parisien.