Le cinéma suisse

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky

Avatar de l’utilisateur
MJ
Conseiller conjugal
Messages : 12485
Inscription : 17 mai 05, 19:59
Localisation : Chez Carlotta

Re: Le cinéma suisse

Message par MJ »

Alexandre Angel a écrit : 4 juin 22, 12:23J'avais été impressionné à l'époque (1991-1992) par Arthur Rimbaud, une biographie, que j'aimerais beaucoup revoir.
Dispo sur YT.
"Personne ici ne prend MJ ou GTO par exemple pour des spectateurs de blockbusters moyennement cultivés." Strum
Avatar de l’utilisateur
Jack Carter
Certains l'aiment (So)chaud
Messages : 30354
Inscription : 31 déc. 04, 14:17
Localisation : En pause

Re: Le cinéma suisse

Message par Jack Carter »

10 films vus, dont un qui avait fini film du mois (La Derniere chance de Leopold Lindtberg)
beb a écrit : 2 juin 22, 18:36
Spoiler (cliquez pour afficher)
1. Höhenfeuer (1985) - Fredi M. Murer
2. Home (2008) - Ursula Meier
4. La Salamandre (1971) - Alain Tanner
7. L’invitation (1973) - Claude Goretta
18. Le petit prince a dit (1993) - Christine Pascal
22. Charles mort ou vif (1969) - Alain Tanner
42. Les grandes ondes (à l’ouest) (2013) - Lionel Baier
51. L’inconnu de Shangidor (1967) - Jean Louis Roy
84. Grauzone (1979) - Fredi M. Murer
94. Die letzte Chance (1945) - Leopold Lindtberg
Image
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
Avatar de l’utilisateur
Barry Egan
Assistant opérateur
Messages : 2420
Inscription : 5 janv. 12, 18:51

Re: Le cinéma suisse

Message par Barry Egan »

L'âme sœur

Du cinéma zéro jugement qui se contente de montrer l'éternité dans les Alpes suisses, l'isolement, le labeur quotidien, le sexe, la famille, tout ça... De très beaux plans (la matière est là), et une musique très belle qu'on n'entend que trop peu, et aux bons moments. Je regarderais pas ça tous les jours, mais la démarche impose le respect.
Image
Avatar de l’utilisateur
Jeremy Fox
Shérif adjoint
Messages : 99641
Inscription : 12 avr. 03, 22:22
Localisation : Contrebandier à Moonfleet

Re: Le cinéma suisse

Message par Jeremy Fox »

Barry Egan a écrit : 4 févr. 24, 11:41 L'âme sœur

Du cinéma zéro jugement qui se contente de montrer l'éternité dans les Alpes suisses, l'isolement, le labeur quotidien, le sexe, la famille, tout ça... De très beaux plans (la matière est là), et une musique très belle qu'on n'entend que trop peu, et aux bons moments. Je regarderais pas ça tous les jours, mais la démarche impose le respect.
Bien envie de le découvrir celui-là.
Avatar de l’utilisateur
Barry Egan
Assistant opérateur
Messages : 2420
Inscription : 5 janv. 12, 18:51

Re: Le cinéma suisse

Message par Barry Egan »

Prévois deux heures et un bon plaid.
Image
Avatar de l’utilisateur
tenia
Le Choix de Sophisme
Messages : 30890
Inscription : 1 juin 08, 14:29
Contact :

Re: Le cinéma suisse

Message par tenia »

J'ai trouvé ça joli, mais pas vraiment ravi de l'arc narratif éculé de la 2e moitié du film.
Avatar de l’utilisateur
Alexandre Angel
Une couille cache l'autre
Messages : 14077
Inscription : 18 mars 14, 08:41

Re: Le cinéma suisse

Message par Alexandre Angel »

Jeremy Fox a écrit : 4 févr. 24, 11:49
Barry Egan a écrit : 4 févr. 24, 11:41 L'âme sœur

Du cinéma zéro jugement qui se contente de montrer l'éternité dans les Alpes suisses, l'isolement, le labeur quotidien, le sexe, la famille, tout ça... De très beaux plans (la matière est là), et une musique très belle qu'on n'entend que trop peu, et aux bons moments. Je regarderais pas ça tous les jours, mais la démarche impose le respect.
Bien envie de le découvrir celui-là.
Souvenir (lointain) d'un grand film. En tout cas, achat programmé.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Avatar de l’utilisateur
Barry Egan
Assistant opérateur
Messages : 2420
Inscription : 5 janv. 12, 18:51

Re: Le cinéma suisse

Message par Barry Egan »

tenia a écrit : 4 févr. 24, 23:12 J'ai trouvé ça joli, mais pas vraiment ravi de l'arc narratif éculé de la 2e moitié du film.
Eculé, parce que tout à fait vraisemblable. Ils font comme ils peuvent, dans ces coins-là...
Image
Avatar de l’utilisateur
tenia
Le Choix de Sophisme
Messages : 30890
Inscription : 1 juin 08, 14:29
Contact :

Re: Le cinéma suisse

Message par tenia »

Justement, ça m'a paru à la fois très téléphoné ("oh bon dieu, encore un truc sur les paysans isolés qui finissent comme ça ? Eurgh") et traité avec une tonalité assez... amusante.
Spoiler (cliquez pour afficher)
"Aaah la jolie tendresse ouatée des relations incestueuses loin des regards..."
Avatar de l’utilisateur
EliWallou
Electro
Messages : 912
Inscription : 15 avr. 22, 18:27

Re: Le cinéma suisse

Message par EliWallou »

Alexandre Angel a écrit : 5 févr. 24, 14:53 achat programmé.
Ca sort en physique ?
Avatar de l’utilisateur
Jeremy Fox
Shérif adjoint
Messages : 99641
Inscription : 12 avr. 03, 22:22
Localisation : Contrebandier à Moonfleet

Re: Le cinéma suisse

Message par Jeremy Fox »

EliWallou a écrit : 5 févr. 24, 19:04
Alexandre Angel a écrit : 5 févr. 24, 14:53 achat programmé.
Ca sort en physique ?
Chez Carlotta
Avatar de l’utilisateur
EliWallou
Electro
Messages : 912
Inscription : 15 avr. 22, 18:27

Re: Le cinéma suisse

Message par EliWallou »

Jeremy Fox a écrit : 5 févr. 24, 19:09 Chez Carlotta
Ah oui, j'avais manqué ça, merci. C'est commandé.
Un peu déçu qu'il n'y ait pas le moindre bonus. Typiquement une curiosité pour laquelle j'aurais aimé voir ne serait-ce qu'une brève introduction, ou un intervenant qui contextualise le film et le réalisateur, que je ne connaissais pas.
Avatar de l’utilisateur
Barry Egan
Assistant opérateur
Messages : 2420
Inscription : 5 janv. 12, 18:51

Re: Le cinéma suisse

Message par Barry Egan »

Vitus

Le réalisateur de "L'Âme sœur" dans un tout autre contexte et rythme raconte une histoire à propos d'un enfant surdoué qui commence platement avec les lieux communs d'usage (y compris dans son exécution) avant de se transformer complètement dans sa seconde partie. Au final, un conte tout mignon, tout simple, fantaisiste et réjouissant. Bruno Ganz dans le rôle du grand-père est particulièrement touchant.
Image
Répondre