C'est vrai, mais il n'y a rien de honteux à ça sur le principe (après, faut voir les seconds rôles en question ).Jack Carter a écrit :c'est bien le probleme, elle n'a que des seconds roles depuis 15 ans....Duke Red a écrit : T'es dur, elle joue plus que les utilités dans Réalité : c'est un second rôle sympa.
Réalité (Quentin Dupieux - 2014)
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Re: Réalité (Quentin Dupieux - 2014)
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Re: Réalité (Quentin Dupieux - 2014)
Beaucoup aimé ce film à sa vision en salle. L'essentiel a été dit par les précédents intervenants : il y a comme une plénitude de la gratuité, quelque chose de très ludique, à se perdre dans ces mondes et ces réalités imbriquées les unes dans les autres. La jubilation ressentie tient à ce que, malgré le sentiment d'inquiétante étrangeté, malgré cette vague angoisse qui semble flotter sur le récit, l'univers développé est un univers où l'on se sent presque bien : l'ambiance flottante et vaporeuse, la sympathie dégagée par Alain Chabat, la drôlerie absurde des situations, tout concourt à cet état de fascination heureuse. Dupieux (dont c'est le premier film que je découvre) a parfaitement digéré ses influences : les ombres de Buñuel, Cronenberg ou Lynch planent en permanence (j'ai beaucoup pensé à Inland Empire, en réussi), mais l'entreprise possède une singularité, une maîtrise, une rigueur de construction également, tout à fait réjouissantes.
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Re: Réalité (Quentin Dupieux - 2014)
Faut que tu passes à Steak alors.Thaddeus a écrit :Beaucoup aimé ce film à sa vision en salle. L'essentiel a été dit par les précédents intervenants : il y a comme une plénitude de la gratuité, quelque chose de très ludique, à se perdre dans ces mondes et ces réalités imbriquées les unes dans les autres. La jubilation ressentie tient à ce que, malgré le sentiment d'inquiétante étrangeté, malgré cette vague angoisse qui semble flotter sur le récit, l'univers développé est un univers où l'on se sent presque bien : l'ambiance flottante et vaporeuse, la sympathie dégagée par Alain Chabat, la drôlerie absurde des situations, tout concourt à cet état de fascination heureuse. Dupieux (dont c'est le premier film que je découvre) a parfaitement digéré ses influences : les ombres de Buñuel, Cronenberg ou Lynch planent en permanence (j'ai beaucoup pensé à Inland Empire, en réussi), mais l'entreprise possède une singularité, une maîtrise, une rigueur de construction également, tout à fait réjouissantes.
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Re: Réalité (Quentin Dupieux - 2014)
Blague sans fin à peine remise de Lynch et de Buñuel, récit enchâssé à la capacité de surprise et de malaise très limité qui témoigne de l'incapacité de Dupieux à dépasser le dispositif vaguement étrange, et où même l'esthétique Canon 5D MARK II coince le film dans un imaginaire étroit, plat et moche. Reste la décontraction,symptome d'un dilettantisme d'un film qui lui-même s"annule- sans intérêt. A croire que la réussite du grand Steak restera isolé...
- Jack Griffin
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Re: Réalité (Quentin Dupieux - 2014)
J'avais bien aimé la capacité du film à disjoindre tout un tas d'élément (sonore, visuelle) tout en gardant son aspect ludique et poétique tout du long.
Apprécié Wrong aussi.
Steak a un côté plus déplaisant voir glauque, c'est vrai.
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Re: Réalité (Quentin Dupieux - 2014)
Tout pareil. Un côté ruban de Moebius à la fois stimulant et fascinant, foutraque mais souvent amusant et finalement presque léger dans sa capacité à faire sourire. Chabat s'amuse comme un fou avec un plaisir communicatif.Jack Griffin a écrit :J'avais bien aimé la capacité du film à disjoindre tout un tas d'élément (sonore, visuelle) tout en gardant son aspect ludique et poétique tout du long.
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Re: Réalité (Quentin Dupieux - 2014)
La nouvelle réalité pour Quentin Dupieux c'est la sortie cinéma de son nouveau film MANDIBULES qui sera projeté en sa présence au Max Linder:
- Xavier
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Re: Réalité (Quentin Dupieux - 2014)
Clairement, s'il y a rencontre avec l'équipe du film, ça va déborder sur le couvre-feu qui devrait être à 21h à cette date...
Tant pis, j'ai pris ma place.
Au pire, je brandirai mon attestation du boulot.
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