Bon je vous rassure, le blues est déjà passé, je viens d'en commander 4 de plus.Mosin-Nagant a écrit :On est en pleine débandade façon "Le blues des achats", là! Comme ça pète l'ambiance Black Friday...Flol a écrit :la fatigue grandit(...)tandis que baisse ma motivation à voir des films...
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Re: Arrow Video
Ouf tu nous rassuresFlol a écrit :Bon je vous rassure, le blues est déjà passé, je viens d'en commander 4 de plus.Mosin-Nagant a écrit : On est en pleine débandade façon "Le blues des achats", là! Comme ça pète l'ambiance Black Friday...
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Par contre je vais m'arrêter là, faut vraiment que je calme mes achats.
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Visiblement, à venir (probablement très prochainement) chez Arrow :
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Re: Arrow Video
Et très sous-estimé à mon goût : sous le vernis du film noir se cache une lettre d'amour envoyée par Altman au jazz. Beaucoup de texture et d'atmosphère, et même si ce n'est pas un grand Altman, ça n'est pas pour autant le film très mineur qu'on a parfois voulu bien dire.
Et puis Harry Belafonte est épatant dedans, comme Jennifer Jason-Leigh du reste.
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Et voilà de futurs (re)visionnages...
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Re: Arrow Video
La Livre Sterling est en train d'exploser...
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Re: Arrow Video
Elle est passé de 1.18 à 1.2, soit à peine plus que son niveau d'avril 2019. Elle était à 1.4 quasi tout 2015 et qu'elle même était originellement à 1.5 (2003 - 2008).Boba Fett 69 a écrit :La Livre Sterling est en train d'exploser...
Le rebond est donc extrêmement relatif, et d'ailleurs actuellement en cours de régression (elle est monté à 1.208 cette nuit, et est redescendue actuellement à 1.199).
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Re: Arrow Video
Il y a trois mois elle tournait quand même autour de 1.10tenia a écrit :Elle est passé de 1.18 à 1.2, soit à peine plus que son niveau d'avril 2019. Elle était à 1.4 quasi tout 2015 et qu'elle même était originellement à 1.5 (2003 - 2008).Boba Fett 69 a écrit :La Livre Sterling est en train d'exploser...
Le rebond est donc extrêmement relatif, et d'ailleurs actuellement en cours de régression (elle est monté à 1.208 cette nuit, et est redescendue actuellement à 1.199).
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Re: Arrow Video
TRAPPED ALIVE
Tardive addition au cycle du slasher, ce long-métrage, tourné dans le Wisconsin de manière fort amateur en 1988, attendit cinq ans avant d’obtenir une sortie en bonne et due forme. Retombé dans l’obscurité, le film bénéficie d’un miracle en intégrant le prestigieux catalogue Arrow sous forme d’un classieux Blu-Ray trente ans après son tournage.
Le début de TRAPPED ALIVE parvient à intriguer et développe une certaine atmosphère glaciale : peu avant Noel, trois prisonniers s’évadent du pénitencier : Mungo, grosse brute pas finaud, Face, sadique psychopathe en mal de femme et le jeunot Hot Rod, alias Randolph Carter (un clin d’œil à Lovecraft ?). Après s’être emparé de la voiture de deux jeunes filles parties danser, Monica et Robin, notre trio, accompagné des kidnappées, échoue dans une mine abandonnée, Forever Mine. L’adjoint du shérif, William Williams (dit Billy), mène l’enquête de son côté et tombe immédiatement dans les bras d’une desperate housewife très entreprenante, Rachel, dont le mari, victime d’un éboulement, a jadis disparu dans la mine.
La suite n’innove guère : Face oblige une des filles à se désaper tandis qu’Hot Rod tente d’intervenir et prend parti pour les demoiselles, tombant même amoureux d’une Robin sensible à son côté bad boy. Peu après, Billy Williams débarque à son tour dans la mine et tout ce petit monde se retrouve coincé avec un taré cannibale vivant reclus sous terre.
TRAPPED ALIVE souffre tout d’abord d’un rythme lénifiant : vouloir créer un climat d’angoisse et de claustrophobie s’avère, certes, appréciable, mais ici rien ne se passe durant pratiquement une heure. L’aspect thriller en huis-clos ne fonctionne que rarement et lorsque le slasher reprend ses droits ce n’est guère plus réussi. Ainsi, notre cannibale commet seulement deux meurtres, d’ailleurs pas très sanglants, avant de périr d’une manière anti-climatique au possible. Rachel débarque alors pour longuement expliquer ce que le spectateur avait globalement compris depuis le début…sans parvenir à colmater les nombreuses brèches du scénario.
Au crédit du film, citons une climat parfois pesante, une photo passable pour une production au budget si restreint, de brèves scènes de nudité gratuite, des performances d’acteurs acceptables (Alex Kubik amuse dans son numéro de psychopathe frustré, Cameron Mitchell effectue une apparition totalement inutile et déblatère quelques monologues surtout destinés à atteindre la durée réglementaire)…et pas grand-chose d’autre !
Le cinéaste au nom imprononçable de Leszek Burzynski (précédemment co-scénariste du piteux BLOOD HARVEST) disparu ensuite de la circulation pendant une douzaine d’années avant de livrer un film familial avec Peter Fonda et Kris Kristoffersen (WOOLY BOY).
Beaucoup trop long et mollasson pour maintenir l’intérêt durant les 90 minutes de son temps de projection, TRAPPED ALIVE tourne rapidement autant en rond que ses pauvres protagonistes coincés au fond d’une mine. Nous sommes vraiment (c’est le cas de le dire !) dans les tréfonds du slasher à petit budget, ces productions quasiment amateures qui fleurissaient au cours des années 80, lorsque le moindre apprenti cinéaste espérait grapiller deux ou trois miettes à VENDREDI 13 et ses dérivés.
Tardive addition au cycle du slasher, ce long-métrage, tourné dans le Wisconsin de manière fort amateur en 1988, attendit cinq ans avant d’obtenir une sortie en bonne et due forme. Retombé dans l’obscurité, le film bénéficie d’un miracle en intégrant le prestigieux catalogue Arrow sous forme d’un classieux Blu-Ray trente ans après son tournage.
Le début de TRAPPED ALIVE parvient à intriguer et développe une certaine atmosphère glaciale : peu avant Noel, trois prisonniers s’évadent du pénitencier : Mungo, grosse brute pas finaud, Face, sadique psychopathe en mal de femme et le jeunot Hot Rod, alias Randolph Carter (un clin d’œil à Lovecraft ?). Après s’être emparé de la voiture de deux jeunes filles parties danser, Monica et Robin, notre trio, accompagné des kidnappées, échoue dans une mine abandonnée, Forever Mine. L’adjoint du shérif, William Williams (dit Billy), mène l’enquête de son côté et tombe immédiatement dans les bras d’une desperate housewife très entreprenante, Rachel, dont le mari, victime d’un éboulement, a jadis disparu dans la mine.
La suite n’innove guère : Face oblige une des filles à se désaper tandis qu’Hot Rod tente d’intervenir et prend parti pour les demoiselles, tombant même amoureux d’une Robin sensible à son côté bad boy. Peu après, Billy Williams débarque à son tour dans la mine et tout ce petit monde se retrouve coincé avec un taré cannibale vivant reclus sous terre.
TRAPPED ALIVE souffre tout d’abord d’un rythme lénifiant : vouloir créer un climat d’angoisse et de claustrophobie s’avère, certes, appréciable, mais ici rien ne se passe durant pratiquement une heure. L’aspect thriller en huis-clos ne fonctionne que rarement et lorsque le slasher reprend ses droits ce n’est guère plus réussi. Ainsi, notre cannibale commet seulement deux meurtres, d’ailleurs pas très sanglants, avant de périr d’une manière anti-climatique au possible. Rachel débarque alors pour longuement expliquer ce que le spectateur avait globalement compris depuis le début…sans parvenir à colmater les nombreuses brèches du scénario.
Au crédit du film, citons une climat parfois pesante, une photo passable pour une production au budget si restreint, de brèves scènes de nudité gratuite, des performances d’acteurs acceptables (Alex Kubik amuse dans son numéro de psychopathe frustré, Cameron Mitchell effectue une apparition totalement inutile et déblatère quelques monologues surtout destinés à atteindre la durée réglementaire)…et pas grand-chose d’autre !
Le cinéaste au nom imprononçable de Leszek Burzynski (précédemment co-scénariste du piteux BLOOD HARVEST) disparu ensuite de la circulation pendant une douzaine d’années avant de livrer un film familial avec Peter Fonda et Kris Kristoffersen (WOOLY BOY).
Beaucoup trop long et mollasson pour maintenir l’intérêt durant les 90 minutes de son temps de projection, TRAPPED ALIVE tourne rapidement autant en rond que ses pauvres protagonistes coincés au fond d’une mine. Nous sommes vraiment (c’est le cas de le dire !) dans les tréfonds du slasher à petit budget, ces productions quasiment amateures qui fleurissaient au cours des années 80, lorsque le moindre apprenti cinéaste espérait grapiller deux ou trois miettes à VENDREDI 13 et ses dérivés.
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Re: Arrow Video
Un coffret 3 films de Jodorowsky prévu pour Mars : EL TOPO, THE HOLY MOUNTAIN, FANDO Y LIS
Youpi !
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Re: Arrow Video
J'ai le coffret 6 disques Anchor Bay de 2007 avec les 3 films + le court "La Cravate" + les CD des BO d'El Topo et "Holy Mountain". STF sur les films. Je prendrai le coffret Arrow pour l'upgrade image des films et les bonus, mais pas sûr que ce soit aussi complet..
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Mon top éditeurs : 1/Carlotta 2/Gaumont 3/Studiocanal 4/Le Chat 5/Potemkine 6/Pathé 7/L'Atelier 8/Esc 9/Elephant 10/Rimini 11/Coin De Mire 12/Spectrum 13/Wildside 14/La Rabbia-Jokers 15/Sidonis 16/Artus 17/BQHL 18/Bach
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Re: Arrow Video
Les 3 films devraient être proposés restaurés en 4K, ce qui devrait, de mémoire, offrir un upgrade technique notable.
- Flol
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Re: Arrow Video
Enfin la confirmation ! Parce que ça faisait quelque temps qu'on savait que ce coffret verrait le jour, mais ça commençait un peu à tarder.Mosin-Nagant a écrit :Un coffret 3 films de Jodorowsky prévu pour Mars : EL TOPO, THE HOLY MOUNTAIN, FANDO Y LIS
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Ce sera l'occaz pour moi de découvrir Fando y Lis et El Topo.