Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2018 [clos]
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2018
6,5 / 10
Dans le genre film de serial killer, ça fonctionne. Y a du Henry et du Patrick, chez ce Jack.
Un grand film ? Non, loin de là. Mais si on sait ce qu'on va voir, à savoir des atrocités, on n'est pas déçu.
Matt Dillon est très, très convaincant. La violence de son personnage ne laissera pas indifférent.
On rigole aussi, parfois... Quand même.
Sur ce, je vais prendre une douche.
You know my feelings: Every day is a gift. It's just, does it have to be a pair of socks?
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First Man: 7/10
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2018
First Man : 8/10
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2018
First Man - le premier homme sur la Lune (Damien Chazelle) 8/10
Yéti & Compagnie (Karey Kirkpatrick, Jason A. Reisig) 7/10
Le jeu (Fred Cavayé) 6,5/10
Le flic de Belleville (Rachid Bouchareb) 2,5/10
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2018
First Man - 2018 / Damien Chazelle _ 7,5
Parti pris audacieux et radical que fait Damien Chazelle en ne décollant pas sa caméra durant 2h22 des yeux, du regard et du point de vue de son Man, et en désacralisant complètement l'acte dit "héroïque" d'une nation. Dans First Man, ce petit pas c'est celui d'un homme, et juste d'un homme, rendu possible par la volonté, le travail et la présence de plusieurs hommes... et femmes. Ce n'est pas le plus héroïque, pas le plus empathique (loin de là même), pas le plus doué... simplement un homme téméraire et refoulant une profonde blessure.
Un choix qui crée une atmosphère froide, cloisonnée et rigide très surprenante, occultant toutes émotions fabriquées, tout héroïsme exacerbé. Pas de plans iconiques ici, pas de surenchères larmoyantes (pour cette approche il y a Appolo 13 de Ron Howard qui le faisait très bien) mais un réalisme brut.
J'émettrais quand même un reproche à ce parti pris, il rend difficile l'implication du spectateur envers le cheminent des personnages (masculins), tous paraissent très distants et mécaniques. Une autre réserve sur le voyage vers cette lune tant espérée qui parait bien facile et trop rapide.
A vouloir être au plus prêt du réalisme, Chazelle fait le choix de sacrifier - en grande partie - l'émotion... une approche originale et destabilisante car peu commune quand il s'agit de narrer un récit prenant place dans l'immensité spatiale, propice généralement à l'imaginaire et au grandiose.
Parti pris audacieux et radical que fait Damien Chazelle en ne décollant pas sa caméra durant 2h22 des yeux, du regard et du point de vue de son Man, et en désacralisant complètement l'acte dit "héroïque" d'une nation. Dans First Man, ce petit pas c'est celui d'un homme, et juste d'un homme, rendu possible par la volonté, le travail et la présence de plusieurs hommes... et femmes. Ce n'est pas le plus héroïque, pas le plus empathique (loin de là même), pas le plus doué... simplement un homme téméraire et refoulant une profonde blessure.
Un choix qui crée une atmosphère froide, cloisonnée et rigide très surprenante, occultant toutes émotions fabriquées, tout héroïsme exacerbé. Pas de plans iconiques ici, pas de surenchères larmoyantes (pour cette approche il y a Appolo 13 de Ron Howard qui le faisait très bien) mais un réalisme brut.
J'émettrais quand même un reproche à ce parti pris, il rend difficile l'implication du spectateur envers le cheminent des personnages (masculins), tous paraissent très distants et mécaniques. Une autre réserve sur le voyage vers cette lune tant espérée qui parait bien facile et trop rapide.
A vouloir être au plus prêt du réalisme, Chazelle fait le choix de sacrifier - en grande partie - l'émotion... une approche originale et destabilisante car peu commune quand il s'agit de narrer un récit prenant place dans l'immensité spatiale, propice généralement à l'imaginaire et au grandiose.
" Accélère minouche !" - Michel Poiccard /// “When you have to shoot shoot don't talk” - Tuco Benedicto Pacifico Juan Maria Ramirez /// "Alors tu vois où elles nous ont menées tes ondes négatives, tu devrais avoir honte.” - Oddball dit Le Cinglé /// "Wake up !... Time to die" - Leon Kowalski /// "C'est quoi minouche ?" - Patricia Franchini
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2018
The House that Jack built : 6,5/10
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L’amour flou: 6/10
The house that Jack built: 7/10
Dilili à Paris: 7/10
Le cercle littéraire de Guernesey: 6/10
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Le cercle littéraire de Guernesey : 4,5/10
Comment tuer sa mère : 1,5/10
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The House That Jack Built 6/10
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The house that Jack Built 7,5/10
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Illang : The Wolf Brigade (Netflix) 6/10
Toute la poésie mélancolique de Jin-Roh passe à la trappe au profit du thriller politique. Un remake lisse donc même si demeurant en lui-même un spectacle honnête
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