Conor O'Malley est un jeune garçon qui doit affronter au quotidien la terrible maladie de sa mère. Il est également confronté à l’intimidation de ses camarades d'école et à la fermeté de sa grand-mère. Pour fuir son quotidien, il s’échappe alors chaque nuit dans un univers peuplé de créatures extraordinaires. C'est dans ce monde imaginaire qu’il va apprendre le courage et affronter la vérité…
Cortez The Killer a écrit :Quelques minutes après minuit [Juan Antonio Bayona] : 9/10
Premier très grand film de l'année 2017.
cinephage a écrit :Quelques minutes après minuit, de Juan Antonio Bayona (2016) 7,5/10 - Très larmoyant, mais aussi assez bien vu et remarquablement joué. On pense un peu à Bernard Rose, pour l'univers...
nobody smith a écrit :Quelques Minutes Après Minuit 9/10
Grâce à messieurs les distributeurs, le chef d'oeuvre de 2016 sera celui de 2017.
The Boogeyman a écrit :Quelques minutes après minuit (Juan Antonio Bayona) / 6
Pas été touché par l'émotion que souhaite communiquer l'intrigue. En cause des personnages survolés et une réalisation qui rend "banale" chacun de ses effets, finissant par rendre "banale" l'histoire et l'ambiance. Un parti-pris (qui se défend et qui peut plaire) qui ne m'aura pas embarqué, j'attendais peut-être plus de "magie".
Ratatouille a écrit :Quelques minutes après minuit : 8.5/10
Pas la 1ère fois que le fantastique et le conte sont utilisés pour parler du sujet du deuil ; mais d'une manière aussi virtuose et terrassante ? Rarement.
Ce sentiment de sidération, de plus en plus absent dans le ciné d'aujourd'hui, là je l'ai totalement pris dans la gueule. Les apparitions du monstre sont littéralement sidérantes. Pour ce qu'elles sont visuellement, mais aussi pour ce qu'elles représentent symboliquement.
À la fois magnifique hommage aux films de monstres, grand film spielbergien. Et grand film tout court.
Et c'est aussi et surtout un film sur le pouvoir des histoires et de l'imaginaire, mis en scène par un cinéaste total, en pleine possession de ses moyens. Une sorte d'idéal de cinéma, quoi.
Bref, Bayona confirme que ce n'est définitivement pas un jambon (elle est pour Joshua Baskin, celle-là).
ed a écrit :Quelques minutes après minuit (Bayona) 7/10
Je suis particulièrement sensible à ces histoires qui mêle l'enfance, la mort et le fantastique, et la tenue formelle du film (notamment des "histoires") convainc largement. Je garde toutefois une préférence pour L'Orphelinat, qui était moins explicite dans le propos et qui évitait certaines lourdeurs mélodramatiques ici présentes dans la dernière partie.