Cecil B. DeMille (1881-1959)
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Justin Kwedi chronique aujourd'hui Samson et Dalila. Le test du Bluray.
Dans mon panier Amazon ; au moins pour Hedy Lamarr.
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Sa présence justifie à elle seule l'achat. Après si tu es sensible au charme de Mature ça te fait une autre raison mais c'est ton choixJeremy Fox a écrit :Dans mon panier Amazon ; au moins pour Hedy Lamarr.
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
feb a écrit :Sa présence justifie à elle seule l'achat. Après si tu es sensible au charme de Mature ça te fait une autre raison mais c'est ton choixJeremy Fox a écrit :Dans mon panier Amazon ; au moins pour Hedy Lamarr.
Sans être fan, Mature ne m'a jamais trop gêné. Il était parfait dans The Last Frontier d'Anthony Mann ou dans My Darling Clementine. J'espère seulement que ce péplum est meilleur que La Tunique, ce que semble confirmer la chronique.
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Je n'ai pas vu La Tunique mais le film de DeMille se laisse regarder sans déplaisir même si ça manque un peu d'entrain et que l'aspect factice (décors, fonds) prend parfois le pas sur l'histoire. A coté de ça, tu as Lamarr qui vole chacune de ses scènes, un Sanders méchant comme je les aime et un final agréablement emballé donc ne faisons pas la fine bouche
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
J'ai vraiment l'impression que c'est voulu pour privilégier l'aspect intimiste de l'histoire et que le gigantisme habituel de DeMille ne vienne pas interférer. Il y avait un peu de ça aussi dans sa version de Cléôpatre (à une ou deux scènes too much près ) qui est aussi surtout une histoire d'amour. A l'inverse dans les pures fresques comme Le Signe de la Croix et Les Dix Commandements (les deux versions) il laisse éclater sa grandiloquence sans ambages. Il y a aussi une sorte de jeu en donnant le sentiment de voir une iconographie religieuse s'animer (la scène où il fracasse une armée de philistin) où c'est le côté évocateur qui prime. Et puis le final n'en est que plus puissant dans Samson et Dalila après la relative retenue qui a précédéfeb a écrit : et que l'aspect factice (décors, fonds) prend parfois le pas sur l'histoire.
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
La retenue dans le péplum peut très bien me convenir, l'un de mes préférés étant David et Bethsabée de Kenry King.
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Ah ben là on est vraiment plus proche du Henry King (avec quelques excès en plus côté DeMille surtout grâce à Hedy Lamarr) que des Dix Commandements ça devrait le faire
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Et sinon il y a Hedy Lamarr en Technicolor donc bon hein voilà quoi
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Je ne l'avais pas trouvé exceptionnel ce Samson et Dalilah. Mis à part le charme d'Hedy Lamar, cela m'avait semblé toute de même très plan plan, voire pesant. Un film loin d'être désagréable, mais très oubliable.
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Découvert en début d'année sans rien en attendre rien et ce fut une très belle découverte. Jolie photo, interprétation de qualité et surtout une dramaturgie soignée pour une réalisation qui parvient à un donné un souffle à cette histoire mythique. Pas un souffle spectaculaire mais ce souffle de tragédie biblique (sans chercher par ailleurs à masquer ce que ce mythe a de naïf ou kitsch).
Et oui, assez proche du King mais loin d'en atteindre le lyrisme feutré
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
feb a écrit :Et sinon il y a Hedy Lamarr en Technicolor donc bon hein voilà quoi
Monomaniaque Je n'imagine même pas ton état DeMille avait réussi à le produire à sa première tentative dans les années 30... Avec Joan Crawford !
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Profondo Rosso a écrit :feb a écrit :Et sinon il y a Hedy Lamarr en Technicolor donc bon hein voilà quoi
Monomaniaque
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
No comment...
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Je ne sais pas trop ce que cela aurait pu donner, Crawford n'étant pas forcément la reine des films à costumes. Et puis ce type de film est, pour moi, difficile à dissocier du Technicolor donc je ne dis pas non mais il faut s'imaginer la Crawford de Flamingo Road à la place de Lamarr...10 ans d'écart ça ne pardonne plus avec le TechnicolorProfondo Rosso a écrit :Je n'imagine même pas ton état DeMille avait réussi à le produire à sa première tentative dans les années 30... Avec Joan Crawford !
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
feb a écrit : Crawford n'étant pas forcément la reine des films à costumes.
Moi je dis qu'il y a eu comme un potentiel inexploité
C'est cadeau