Lee J. Cobb (1911-1976)
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Lee J. Cobb (1911-1976)
A la base un musicien hors paire qui suite a un accident renonceras a sa passion de la musique;il s'oriente vers le theatre et trionphera a brodway.
Personnage excessif et grosse gueule cela se verras pratiquement dans la majoriteé de ces films et tous genre confondus.dans le western il debuteras en 1937 et serviras "william boyd" alias hopalong cassidy dans quelques western qui firent les beau jours des studios,ensuite et aussi la series le virginien avec 3 pilotes puis les episodes qui furent eux aussi des succès très meritant en leurs temps,un t.v film fut meme realiser en 2001 avec beaucoup d'image reprise aux feuilleton .des western plus serieux il seras utile de retenir"man of the west" 1958 et le très interresant"colorado saloon"1955 realisé par le veteran "joe kane" un western d'un realisme inqietant et glauque.Lee j cobb travailleras avec les plus grands realisateurs(mann,kazan,preminger,dmytryt,brooks" un acteurs complet aussi parfait dans un polar que dans un western.voici sa filmo western:
north of rio grande...1937
rustler's valley...1937
down rio grande way...1942
bucksin frontier...1943
the tall texans...1953
the road to denver(colorado saloon)...1955
the man of the west(l'homme de l'ouest)...1958
how the west was won(la conquete de l'ouest)...1962
the virginian...1962..pour la t.v
brazing bell(panique a l'ouest...pour la t.v..1962
devil's children(les enfants du diable)...pour la t.v ..1962
final hour...pour la t.v...1962
meanest men in the west...pour la t.v...1967
mac kenna's gold(l'or de mac kenna's)...1969
macho callahan....1970
the lawman(l'homme de la loi)...1971
the bull of the west(le solitaire de l'ouest)...pour la t.v...1971
the man who loved cat dancing(le famtome de cat dancing)...1973
hopalong cassidy(compilation)pour la t.v....2001
vala,james
Personnage excessif et grosse gueule cela se verras pratiquement dans la majoriteé de ces films et tous genre confondus.dans le western il debuteras en 1937 et serviras "william boyd" alias hopalong cassidy dans quelques western qui firent les beau jours des studios,ensuite et aussi la series le virginien avec 3 pilotes puis les episodes qui furent eux aussi des succès très meritant en leurs temps,un t.v film fut meme realiser en 2001 avec beaucoup d'image reprise aux feuilleton .des western plus serieux il seras utile de retenir"man of the west" 1958 et le très interresant"colorado saloon"1955 realisé par le veteran "joe kane" un western d'un realisme inqietant et glauque.Lee j cobb travailleras avec les plus grands realisateurs(mann,kazan,preminger,dmytryt,brooks" un acteurs complet aussi parfait dans un polar que dans un western.voici sa filmo western:
north of rio grande...1937
rustler's valley...1937
down rio grande way...1942
bucksin frontier...1943
the tall texans...1953
the road to denver(colorado saloon)...1955
the man of the west(l'homme de l'ouest)...1958
how the west was won(la conquete de l'ouest)...1962
the virginian...1962..pour la t.v
brazing bell(panique a l'ouest...pour la t.v..1962
devil's children(les enfants du diable)...pour la t.v ..1962
final hour...pour la t.v...1962
meanest men in the west...pour la t.v...1967
mac kenna's gold(l'or de mac kenna's)...1969
macho callahan....1970
the lawman(l'homme de la loi)...1971
the bull of the west(le solitaire de l'ouest)...pour la t.v...1971
the man who loved cat dancing(le famtome de cat dancing)...1973
hopalong cassidy(compilation)pour la t.v....2001
vala,james
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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Il est génial dans Man of the West (immense chef d'oeuvre en ce qui me concerne... mais la plupart d'entre vous connaissent mon avis sur ce film ) :
LASSSOOOOOOOO!
Il est aussi excellent dans 12 angry men et Traquenard, deux films extraordinaires...
Sinon, pour Lord Henry, je signale que l'on doit à Winner au moins un bon film : The Jokers avec Oliver Reed
... et deux "choses" qui méritent le coup d'oeil : The Nightcomers avec Marlon Brando (prequelle du Tour d'Ecrou de Henry James! )et un remake du Grand Sommeil avec Robert Mitchum.
LASSSOOOOOOOO!
Il est aussi excellent dans 12 angry men et Traquenard, deux films extraordinaires...
Sinon, pour Lord Henry, je signale que l'on doit à Winner au moins un bon film : The Jokers avec Oliver Reed
... et deux "choses" qui méritent le coup d'oeil : The Nightcomers avec Marlon Brando (prequelle du Tour d'Ecrou de Henry James! )et un remake du Grand Sommeil avec Robert Mitchum.
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C'est dommage, car dans The Nightcomers, on a droit à une leçon de Brando dans l'art de faire exploser une grenouilleLord Henry a écrit :Désolé, cher David, mais je connais les films que tu as mentionnés (à l'exception de "The Nightcomers"), et ils ne font que justifier la piètre estime dans laquelle je tiens Michael Winner.
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Je l'ai vu que dans deuy, grands, films, ou je l'adore (principalement dans le premier) : 12 angry men et on the waterfront.
Une vrai "gueule" et un acteur parfois impressionnant (ces excès de fureur dans 12 angry men).
Une vrai "gueule" et un acteur parfois impressionnant (ces excès de fureur dans 12 angry men).
- Errm. Do you want to put another meeting in?
- Any point?
- May as well. Errm. And then when nothing comes in, just phone you up and cancel it.
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Re: lee j.cobb
MIAMI EXPOSE (1956)
L'avant-dernier film noir du prolifique Fred F. Sears. Une toute petite bande qui, comme souvent chez ce sympathique cinéaste, repose pour beaucoup sur l'interprétation, avec ici la forte présence de Lee J. Cobb dans l'un de ses rares premiers rôles sur grand écran, et l'allant de sa réalisation, sans génie mais qui file droit et aère juste ce qu'il faut son récit pour faire passer un budget tout riquiqui - outre quelques extérieurs de Miami, on s'aventure ainsi dans les Everglades et même du côté de Cuba. Après, l'écriture aligne les conventions et clichés d'époque, avec son gentil flic un peu raide, ses méchants suaves et ses personnages féminins grossièrement divisés en 2 catégories : idéale femme au foyer d'un côté, pépée sans grande moralité de l'autre. Mais le petit cachet fifties compense, et puis 74 minutes, ça ne laisse pas trop le temps de rouspéter sur l'absence de finesse de l’œuvre.
L'avant-dernier film noir du prolifique Fred F. Sears. Une toute petite bande qui, comme souvent chez ce sympathique cinéaste, repose pour beaucoup sur l'interprétation, avec ici la forte présence de Lee J. Cobb dans l'un de ses rares premiers rôles sur grand écran, et l'allant de sa réalisation, sans génie mais qui file droit et aère juste ce qu'il faut son récit pour faire passer un budget tout riquiqui - outre quelques extérieurs de Miami, on s'aventure ainsi dans les Everglades et même du côté de Cuba. Après, l'écriture aligne les conventions et clichés d'époque, avec son gentil flic un peu raide, ses méchants suaves et ses personnages féminins grossièrement divisés en 2 catégories : idéale femme au foyer d'un côté, pépée sans grande moralité de l'autre. Mais le petit cachet fifties compense, et puis 74 minutes, ça ne laisse pas trop le temps de rouspéter sur l'absence de finesse de l’œuvre.