Olivia de Havilland (1916 - 2020)
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Re: Olivia de Havilland
Ca a l'air intéressant en tout cas.
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Re: Olivia de Havilland
Extrait du NouvelObs :
Autre chose, j'adore le "Vous êtes une rebelle, parce que vous êtes quand même la seule qui ait osé intenter un procès aux studios hollywoodiens pour défendre la liberté des acteurs. (...) Ce procès, vous l'avez gagné, c'est exceptionnel." Alors, le petit père Sarkozy, il ferait mieux de réviser ses petits résumés avant de dire des bêtises comme ça. Non seulement elle n'a pas été la seule, mais en plus elle n'a pas été la première à le faire. Avant elle, Bette Davis avait intenté un procès à la Warner, qu'elle avait certes perdu. Olivia de Havilland est par contre la première à avoir gagné son procès contre les studios. Bref, ce n'est peut-être que du détail pour certains, m'enfin quand on dit des choses face aux journalistes et surtout face à cette légende hollywoodienne, on prépare un peu mieux qu'un banal cahier de louanges bien consensuels comme il faut.
J'aime vraiment beaucoup Olivia de Havilland, c'est sympa pour la décoration. Mais je n'y peux rien, savoir que c'est ce type là qui lui remet... Je préfère me taire. Il parle de Captain Blood et de La charge de la brigade légère, oui, mais les a-t-il seulement vu ? Ce serait venu de Chirac (duquel on pense ce que l'on veut, mais qui est un homme cultivé), je pense que je l'aurais cru. Mais venant de lui, je n'y crois guère. J'espère qu'il aura au moins parlé de L'héritière (Oscar de la meilleure actrice, quand même).NouvelObs a écrit :L'actrice américaine Olivia de Havilland, célèbre pour son rôle de Melanie dans "Autant en emporte le vent", a reçu jeudi à l'Elysée les insignes de chevalier de la Légion d'honneur des mains du président Nicolas Sarkozy.
Autre actrice hollywoodienne, Jacqueline Bisset a également été décorée par le chef de l'Etat.
Radieuse et visiblement émue, Olivia de Havilland, 94 ans, a écouté tout sourire l'hommage du président français. "Vous honorez la France en nous ayant choisis, parce qu'ici on vous aime, parce qu'ici on aime le cinéma", a déclaré Nicolas Sarkozy, rappelant que l'actrice américaine d'origine britannique a choisi de vivre en France depuis les années 1950.
Rendant hommage à "la douce Melanie" d'"Autant en emporte le vent", et au "couple absolument mythique" formé avec Errol Flynn dans de nombreux films, comme "Capitaine Blood" ou "La charge de la brigade légère", il a estimé qu'elle représentait l'"incarnation" du rêve américain.
"Vous êtes une rebelle, parce que vous êtes quand même la seule qui ait osé intenter un procès aux studios hollywoodiens pour défendre la liberté des acteurs. (...) Ce procès, vous l'avez gagné, c'est exceptionnel", a rappelé le chef de l'Etat.
"J'espère que vous avez compris que la France vous aime, moi aussi", a-t-il conclu.
Outre le rôle de Melanie Wilkes dans "Autant en emporte le vent" en 1939, Olivia de Havilland a aussi joué Dame Mariane dans "Les aventures de Robin des bois", sorti l'année suivante. Elle a été couronnée de deux Oscars pour "A chacun son destin" (1946), puis pour "L'Héritière" (1950).
Autre chose, j'adore le "Vous êtes une rebelle, parce que vous êtes quand même la seule qui ait osé intenter un procès aux studios hollywoodiens pour défendre la liberté des acteurs. (...) Ce procès, vous l'avez gagné, c'est exceptionnel." Alors, le petit père Sarkozy, il ferait mieux de réviser ses petits résumés avant de dire des bêtises comme ça. Non seulement elle n'a pas été la seule, mais en plus elle n'a pas été la première à le faire. Avant elle, Bette Davis avait intenté un procès à la Warner, qu'elle avait certes perdu. Olivia de Havilland est par contre la première à avoir gagné son procès contre les studios. Bref, ce n'est peut-être que du détail pour certains, m'enfin quand on dit des choses face aux journalistes et surtout face à cette légende hollywoodienne, on prépare un peu mieux qu'un banal cahier de louanges bien consensuels comme il faut.
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Re: Olivia de Havilland
Ma rencontre avec Olivia de Havilland date du 22 mars 2011, date pour moi d'autant plus mémorable que la comédienne fait partie de mon panthéon des grandes dames du cinéma, actrices que je ne verrai certainement jamais, soit pour cause de décès, soit parce que la Californie est juste de l'autre côté de la planète, et quand bien même y mettrai-je les pieds (ce qui est déjà arrivé), je ne suis pas sûr qu'elles soient tout à fait accessibles....
La rencontre s'est faite à Paris, pour la présentation du documentaire sur l'arthérapie chez les personnes atteintes de la maladie d'alzheimmer (I REMEMBER BETTER WHEN I PAINT, Eric Ellena et Berna Huebner, 2009), dans une librairie américaine du 7éme arrondissement. Olivia de Havilland en est la narratrice.
Installé au premier rang, tout fièvreux de voir mon idole de près, elle arriva à ma gauche sans que j'eu le temps de crier gare, et s'installa à l'autre bout d'une rangée légèrement circulaire, ce qui me donna tout le loisir de l'observer.Les interventions des diffèrents participants, dont Olivia (j'y reviendrais) et le documentaire se sont déroulés en anglais, et je dû rassembler tous mes neurones pour ne pas tout à fait perdre pied!
L'intervention de Madame de Havilland, malgré son grand âge, nous rappelle à quel point elle est une grande professionnelle, et c'est d'une voix basse mais très distincte qu'elle parla de sa collaboration au documentaire.
Durant la projection, fatigué de me concentrer, je la regardais, un peu trop souvent sûrement, puisqu'elle s'en aperçut, et son regard interrogateur se posa sur moi...
Ma grande préoccupation du moment était de savoir si j'allais lui parler après...: je m'étais donc équipé d'un magnifique livre de Raymond Voinquel (photographe de grand talent, qui fit de nombreux portraits dans un somptueux noir et blanc), dans lequel figurait son portrait, vers les années 50, ainsi que d'une biographie comprenant tous ses films, mais abîmée par le temps...
Une cohorte de personnes de tous âges l'aissaillie, la photographiant, la pressant de toute part, ce qui me laissait peu de chance de l'approcher...
Une fois libérée de son devoir de "star", Madame de Havilland se mit à l'écart, loin des collations, du bruit et de la fureur , et comme je la suivais, je pris la liberté de m'avancer, avec le livre de R.Voinquel, dans l'espoir d'un autographe...La langue officielle de la soirée étant l'anglais, elle me demanda d'épeler mon prénom dans cette langue, ce que je ne fus évidement pas en mesure de faire, de par ma panique interne; d'une main tremblante, j'écrivais les lettres, et elle apposa sa belle écriture à côté de son portrait.
Le choix de la photographie fit "mouche", car elle se rappela de l'artiste (yes, a french photographer!), et me gartifia de son beau sourire qui fit saillir ses pommettes toutes rondes!
Puis je m'éloignais à contre-coeur, car d'autres fans eurent la même idée que moi, et je ne voulais pas la fatiguer.
Comme j'aurais aimé lui parler de MA COUSINE RACHEL, de L'HERITIERE, ou encore LA BLONDE FRAMBOISE...
De ses ressenties, de ses souvenirs, de ses projets aussi, puisque James Ivory lui avait proposé un rôle dans LES PAPIERS D'ASPERN d'Henry James, qu'elle semble décliner, même si cela l'interressait.
Je garde ce souvenir comme un privilège, d'avoir cotoyé, ne serait-ce que quelques minutes cette légende vivante et charmante!
La rencontre s'est faite à Paris, pour la présentation du documentaire sur l'arthérapie chez les personnes atteintes de la maladie d'alzheimmer (I REMEMBER BETTER WHEN I PAINT, Eric Ellena et Berna Huebner, 2009), dans une librairie américaine du 7éme arrondissement. Olivia de Havilland en est la narratrice.
Installé au premier rang, tout fièvreux de voir mon idole de près, elle arriva à ma gauche sans que j'eu le temps de crier gare, et s'installa à l'autre bout d'une rangée légèrement circulaire, ce qui me donna tout le loisir de l'observer.Les interventions des diffèrents participants, dont Olivia (j'y reviendrais) et le documentaire se sont déroulés en anglais, et je dû rassembler tous mes neurones pour ne pas tout à fait perdre pied!
L'intervention de Madame de Havilland, malgré son grand âge, nous rappelle à quel point elle est une grande professionnelle, et c'est d'une voix basse mais très distincte qu'elle parla de sa collaboration au documentaire.
Durant la projection, fatigué de me concentrer, je la regardais, un peu trop souvent sûrement, puisqu'elle s'en aperçut, et son regard interrogateur se posa sur moi...
Ma grande préoccupation du moment était de savoir si j'allais lui parler après...: je m'étais donc équipé d'un magnifique livre de Raymond Voinquel (photographe de grand talent, qui fit de nombreux portraits dans un somptueux noir et blanc), dans lequel figurait son portrait, vers les années 50, ainsi que d'une biographie comprenant tous ses films, mais abîmée par le temps...
Une cohorte de personnes de tous âges l'aissaillie, la photographiant, la pressant de toute part, ce qui me laissait peu de chance de l'approcher...
Une fois libérée de son devoir de "star", Madame de Havilland se mit à l'écart, loin des collations, du bruit et de la fureur , et comme je la suivais, je pris la liberté de m'avancer, avec le livre de R.Voinquel, dans l'espoir d'un autographe...La langue officielle de la soirée étant l'anglais, elle me demanda d'épeler mon prénom dans cette langue, ce que je ne fus évidement pas en mesure de faire, de par ma panique interne; d'une main tremblante, j'écrivais les lettres, et elle apposa sa belle écriture à côté de son portrait.
Le choix de la photographie fit "mouche", car elle se rappela de l'artiste (yes, a french photographer!), et me gartifia de son beau sourire qui fit saillir ses pommettes toutes rondes!
Puis je m'éloignais à contre-coeur, car d'autres fans eurent la même idée que moi, et je ne voulais pas la fatiguer.
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Anciennement Kim
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Re: Olivia de Havilland
C'est toujours quelque chose de rencontrer une idole.
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Re: Olivia de Havilland
c'est mignon.Kimm a écrit :Ma rencontre avec Olivia de Havilland date du 22 mars 2011, date pour moi d'autant plus mémorable que la comédienne fait partie de mon panthéon des grandes dames du cinéma, actrices que je ne verrai certainement jamais, soit pour cause de décès, soit parce que la Californie est juste de l'autre côté de la planète, et quand bien même y mettrai-je les pieds (ce qui est déjà arrivé), je ne suis pas sûr qu'elles soient tout à fait accessibles....
La rencontre s'est faite à Paris, pour la présentation du documentaire sur l'arthérapie chez les personnes atteintes de la maladie d'alzheimmer (I REMEMBER BETTER WHEN I PAINT, Eric Ellena et Berna Huebner, 2009), dans une librairie américaine du 7éme arrondissement. Olivia de Havilland en est la narratrice.
Installé au premier rang, tout fièvreux de voir mon idole de près, elle arriva à ma gauche sans que j'eu le temps de crier gare, et s'installa à l'autre bout d'une rangée légèrement circulaire, ce qui me donna tout le loisir de l'observer.Les interventions des diffèrents participants, dont Olivia (j'y reviendrais) et le documentaire se sont déroulés en anglais, et je dû rassembler tous mes neurones pour ne pas tout à fait perdre pied!
L'intervention de Madame de Havilland, malgré son grand âge, nous rappelle à quel point elle est une grande professionnelle, et c'est d'une voix basse mais très distincte qu'elle parla de sa collaboration au documentaire.
Durant la projection, fatigué de me concentrer, je la regardais, un peu trop souvent sûrement, puisqu'elle s'en aperçut, et son regard interrogateur se posa sur moi...
Ma grande préoccupation du moment était de savoir si j'allais lui parler après...: je m'étais donc équipé d'un magnifique livre de Raymond Voinquel (photographe de grand talent, qui fit de nombreux portraits dans un somptueux noir et blanc), dans lequel figurait son portrait, vers les années 50, ainsi que d'une biographie comprenant tous ses films, mais abîmée par le temps...
Une cohorte de personnes de tous âges l'aissaillie, la photographiant, la pressant de toute part, ce qui me laissait peu de chance de l'approcher...
Une fois libérée de son devoir de "star", Madame de Havilland se mit à l'écart, loin des collations, du bruit et de la fureur , et comme je la suivais, je pris la liberté de m'avancer, avec le livre de R.Voinquel, dans l'espoir d'un autographe...La langue officielle de la soirée étant l'anglais, elle me demanda d'épeler mon prénom dans cette langue, ce que je ne fus évidement pas en mesure de faire, de par ma panique interne; d'une main tremblante, j'écrivais les lettres, et elle apposa sa belle écriture à côté de son portrait.
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Re: Olivia de Havilland
On sent toute l'émotion dans ce que tu raconte, tu as dû passer un sacré moment. Merci pour ce partage de rencontre avec une légende (il est vrai que Olivia De Havilland habite à Paris, ce qui est plus accessible qu'Hollywood pour éventuellement la rencontrer au détour d'un évènement).
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Re: Olivia de Havilland
Oui, ton récit de cette rencontre est très touchant. J'imagine ce que ça doit être de rencontrer une telle comédienne. J'avais complétement oublié la date de cet événement, et sans être dans l'esprit "fan", ça m'aurais assez plus de voir de mes yeux une telle dame.
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Re: Olivia de Havilland
Quelle librairie ? Celle de la rue Amélie ? ou celle de la rue du Gal Camou ?Kimm a écrit :Ma rencontre avec Olivia de Havilland date du 22 mars 2011, date pour moi d'autant plus mémorable que la comédienne fait partie de mon panthéon des grandes dames du cinéma, actrices que je ne verrai certainement jamais, soit pour cause de décès, soit parce que la Californie est juste de l'autre côté de la planète, et quand bien même y mettrai-je les pieds (ce qui est déjà arrivé), je ne suis pas sûr qu'elles soient tout à fait accessibles....
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Re: Olivia de Havilland
c'est la librairie du Gal Camou, pas très loin de la tour Eiffel.
j'ai eu l'info par le biais d'IMDB.
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Anciennement Kim
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Re: Olivia de Havilland
C'est un beau moment que nous sommes certainement nombreux ici à t'envier...
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Re: Olivia de Havilland
Happy birthday, then, Miss Olivia De Havilland.
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Re: Olivia de Havilland
certainly...allen john a écrit :Happy birthday, then, Miss Olivia De Havilland.
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Re: Olivia de Havilland
Magnifique.. j'ai eu peur le temps d'ouvrir le topic d'une mauvaise nouvelle..
Les deux sœurs se détestent-elles vraiment même encore à cet âge ?
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