
Les sous-marins au cinéma
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Re: Les sous-marins au cinéma
Un type de film que j'aime bien dont mon préférés est bien sur A la poursuite d'Octobre Rouge. 


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Re: Les sous-marins au cinéma
Il y a des films de sous marins dés les années 10 semble t il (la guerre sous marine est une des "sensations" du début de la grande guerre)
Voici un muet par Frank Capra (une histoire de torpillage?)

Quelqu'un a vu?
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Re: Les sous-marins au cinéma
+1 A la poursuite d'Octobre Rouge. l'un de mes Films préférés ...someone1600 a écrit :Un type de film que j'aime bien dont mon préférés est bien sur A la poursuite d'Octobre Rouge.
sinon La Dernière Torpille - Torpedo Run ... j'aimerais bien voir un jour en DVD

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Re: Les films de sous-marins
Et en parlant du Nautilus (et de son Capitaine Nemo), et en ayant parcouru en diagonale le topic, est-ce que quelqu'un avait cité le "20 000 LIEUES SOUS LES MERS" Disniais de Richard Fleischer avec Peter Lorre et Kirk Douglas ?Dunn a écrit :Pas un film de sous-marin mais un des plus beaux du cinéma dans un film que je défends :
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Re: Les sous-marins au cinéma
Je l'ai cité, au début du topic.
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Re: Les sous-marins au cinéma
J'ai bien dit avoir traversé en diagonales ce topicriqueuniee a écrit :Je l'ai cité, au début du topic.
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Re: Les sous-marins au cinéma
Ca m'arrive aussi... 

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Re: Les sous-marins au cinéma
Casabianca ( Georges Péclet - 1951)

Reconstitution de l'aventure du sous-marin français "Le Casabianca" d'après le témoignage du commandant l'Herminier, le film se concentre sur les missions qu'il a effectué entre 1942 et 1943 pour aider la résistance corse.
La réalisation et le montage ne rende pas le récit très passionnant, hésitant entre le documentaire et le film hagiographique. Seule la musique de Van Hoorebecke donne un peu de tension dans les épisodes les plus dramatiques. Partagé équitablement entre les scènes de résistance dans le maquis corse et les étapes de mission sous-marine ( on échappe pas à la séquence grenadage, d'ailleurs plutôt bien réalisée ), le film est malgré tout un document intéressant sur la vie à bord de ce type de sous-marin de 1500T avec pas mal de séquence dans le poste de commandement, poste avant et salle des machines.

Il existe un transfert du film en DVD qui peut être commandé sur le site de la cinémathèque de Corse.

Reconstitution de l'aventure du sous-marin français "Le Casabianca" d'après le témoignage du commandant l'Herminier, le film se concentre sur les missions qu'il a effectué entre 1942 et 1943 pour aider la résistance corse.
La réalisation et le montage ne rende pas le récit très passionnant, hésitant entre le documentaire et le film hagiographique. Seule la musique de Van Hoorebecke donne un peu de tension dans les épisodes les plus dramatiques. Partagé équitablement entre les scènes de résistance dans le maquis corse et les étapes de mission sous-marine ( on échappe pas à la séquence grenadage, d'ailleurs plutôt bien réalisée ), le film est malgré tout un document intéressant sur la vie à bord de ce type de sous-marin de 1500T avec pas mal de séquence dans le poste de commandement, poste avant et salle des machines.

Il existe un transfert du film en DVD qui peut être commandé sur le site de la cinémathèque de Corse.
Dernière modification par Karras le 2 juin 12, 09:52, modifié 1 fois.
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Re: Les films de sous-marins
Abîmes (Below) ( David Twohy, 2002 ).hellrick a écrit :Celui-ci, pas encore cité, est un très bon film fantastique:
![]()
Série B qui mélange film d'épouvante et film de sous-marin, à noter que Darren Aronofsky est co-auteur du scénario. Le film joue sur les peurs et les superstitions de l'équipage pour diffuser une ambiance de film d'épouvante moyennement réussie.
On n'évite pas la scène de grenadage ( plutôt efficace ) mais l'originalité du film du point de vue de la guerre sous-marine est l'utilisation de grappins par le destroyer ennemi afin d'arracher des éléments de la superstructure. Il semble que cet épisode se base sur une technique expérimentée pendant la première guerre mondiale mais abandonnée par le risque de voir le bâtiment porteur emporté vers le fond par le submersible.
Pour les extérieurs du film la production utilisa le sous-marin musée USS Silversides (SS-236) en le remorquant au large du lac Michigan.
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Re: Les sous-marins au cinéma
Nuclear Alert (Crash Dive) - 1997

Des terroristes parviennent à s'emparer de l'USS Ulysses (classe 688).
Un mauvais DTV avec Frederic Forrest ( le "chef" d'Apocalypse Now ) qui reprend le scénario de piège de cristal sous la mer. Rien de neuf côté guerre sous-marine qui s'inspire fortement de "USS Alabama" et une scène finale de destruction de missile balistique totalement ridicule ( avec un petit plan sur feu les 2 tours du WTC ).

Des terroristes parviennent à s'emparer de l'USS Ulysses (classe 688).
Un mauvais DTV avec Frederic Forrest ( le "chef" d'Apocalypse Now ) qui reprend le scénario de piège de cristal sous la mer. Rien de neuf côté guerre sous-marine qui s'inspire fortement de "USS Alabama" et une scène finale de destruction de missile balistique totalement ridicule ( avec un petit plan sur feu les 2 tours du WTC ).
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Re: Les sous-marins au cinéma
Le petit Nono qui voit son sous-marin à "500 balles" couler corps et âmes, si vous voulez vivre une aventure palpitante, c'est dans Liberté Oléron de Podalydès. 

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Re: Les sous-marins au cinéma
Merci Karras pour le lien et la très bonne idée d'évoquer les films de sous-marins, en abordant des films de tous les horizonsKarras a écrit :Casabianca ( Georges Péclet - 1951)
Il existe un transfert du film en DVD qui peut être commandé sur le site de la cinémathèque de Corse.

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Re: Les sous-marins au cinéma
Le sous-marin pirate (A submarine pirate ) (Charles Avery, Sydney Chaplin, 1915)
Une des premières utilisations d'un sous marin dans un film : celui-ci a été, en partie, filmé dans la base navale de San Diego avec l'aide de la Navy qui s'en servit par la suite comme support au recrutement.
Une des premières utilisations d'un sous marin dans un film : celui-ci a été, en partie, filmé dans la base navale de San Diego avec l'aide de la Navy qui s'en servit par la suite comme support au recrutement.
allen john a écrit : Sydney Chaplin pourrait très bien n'être que le grand frère de qui vous savez, ce ne serait déjà pas mal... gagman, acteur dans les films de son frère, parfois sans doute assistant écouté, comme Albert Austin, Henry Bergman ou Charles Reisner, et pour finir son agent... C'est lui qui a présenté Karno et Chaplin, c'est lui qui a fait l'homme dans une maison au père absent... Bref. Mais Sydney a aussi eu une carrière solo, passionnante parce que totalement oubliée, et franchement atypique.
Une fois Charles parti de chez Sennett, Sydney s'est retrouvé à le remplacer en quelque sorte, avec un personnage récurrent, Gussle, qui inaugure le look qu'aura Sydney dans quelques films de so, frère: une moustache envahissante, des cheveux raides, et une raie rectligne au milieu. Il a ensuite rejoint Charles vers 1916 à la Mutual, puis est devenu un acteur proéminent dans A dog's life, Shoulder arms!, The Bond, Pay day et The Pilgrim. Il a continué à s'occuper des affaires de son petit frère, tout en menant une carrière solo, moins burlesque, plus dans la comédie de moeurs. Le film Charley's aunt (1925), réalisé pour Christie, est un excellent exemple. Il a ensuite eu une petite carrière à la Warner, mais celle-ci s'est arrêtée net: un scandale en Grande-Bretagne lui a été fatal, comme Arbuckle. il s'est donc définitivement retiré derrière son frère...
A submarine pirate est le dernier film Sennett de Sydney Chaplin, son premier film à dépasser les deux bobines (dans sa version intégrale, il durait quatre bobines), et l'un de ses rares films survivants des années 10. C'est aussi un étrange objet, qui doit beaucoup à Charles Avery, collaborateur de Roscoe Arbuckle, dont le type d'humour tout en violence incontrôlée est ici très représenté, mais qui est aussi marqué par un choix délibéré de Sydney d'être le méchant: il est en effet un pirate, qui utilise un sous-marin pour terroriser les gens. ce qui explique peut-être qu'il ait été relégué si longtemps dans les poubelles de l'histoire, jusqu'à ce qu'un David Kalat enthousiaste l'édite dans le coffret American Slapstick.. Une curiosité, donc, mais suffisamment intrigante pour être revu de temps à autre, même dans une version sérieusement abrégée.
http://allenjohn.over-blog.com/article- ... 53161.html
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Re: Les sous-marins au cinéma
Civilisation Civilization ( Reginald Barker,1916 )

Le kaiser déclare la guerre. Son favori, le comte Ferdinand, est nommé commandant d'un sous-marin. Pacifiste, il refuse de tirer sur un paquebot civil censé transporter des munitions pour les ennemis de sa patrie mais il passe malgré tout à l'acte. Blessé, il saborde son sous-marin....
Evoquant de manière allégorique le torpillage du paquebot britannique Lusitania par le sous marin allemand U20, le film servit de support à la campagne du président des États-Unis Thomas Woodrow Wilson, pacifiste convaincu.
Film à gros budget (100 000 dollars), dont le tournage a duré une année, le scénario accumule les scènes spectaculaires de batailles terrestres mais également une scène se déroulant dans un sous-marin et évoquant sans détour la tragédie du Lusitania (à ~30 mn du film )

Le kaiser déclare la guerre. Son favori, le comte Ferdinand, est nommé commandant d'un sous-marin. Pacifiste, il refuse de tirer sur un paquebot civil censé transporter des munitions pour les ennemis de sa patrie mais il passe malgré tout à l'acte. Blessé, il saborde son sous-marin....
Evoquant de manière allégorique le torpillage du paquebot britannique Lusitania par le sous marin allemand U20, le film servit de support à la campagne du président des États-Unis Thomas Woodrow Wilson, pacifiste convaincu.
Film à gros budget (100 000 dollars), dont le tournage a duré une année, le scénario accumule les scènes spectaculaires de batailles terrestres mais également une scène se déroulant dans un sous-marin et évoquant sans détour la tragédie du Lusitania (à ~30 mn du film )
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Re: Les sous-marins au cinéma
The False Faces ( Irvin Willat - 1919 )
Au cours de la Première Guerre mondiale, un ancien voleur professionnel connu sous le nom Lone Wolf doit dérober un cylindre contenant des informations importantes en s'introduisant derrière les lignes allemandes afin de l'amener au siège des services secrets alliés. Les agents allemands qui doivent l'arrêter sont dirigés par l'homme responsable de la mort de la sœur du voleur.
Un long-métrage réalisé en 1918 qui respire l'anti-germanisme de la fin du conflit. Une séquence du film ( ~ à 32 mn ) évoque une nouvelle fois le torpillage d'un navire de passagers par un sous-marin allemand dont le commandant est responsable du naufrage du Lusitania. L'agent secret arrive après ce naufrage à embarquer à bord du submersible que l'on peut voir en plongée périscopique sur quelques plans.
Au cours de la Première Guerre mondiale, un ancien voleur professionnel connu sous le nom Lone Wolf doit dérober un cylindre contenant des informations importantes en s'introduisant derrière les lignes allemandes afin de l'amener au siège des services secrets alliés. Les agents allemands qui doivent l'arrêter sont dirigés par l'homme responsable de la mort de la sœur du voleur.
Un long-métrage réalisé en 1918 qui respire l'anti-germanisme de la fin du conflit. Une séquence du film ( ~ à 32 mn ) évoque une nouvelle fois le torpillage d'un navire de passagers par un sous-marin allemand dont le commandant est responsable du naufrage du Lusitania. L'agent secret arrive après ce naufrage à embarquer à bord du submersible que l'on peut voir en plongée périscopique sur quelques plans.