Cecil B. DeMille (1881-1959)
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Pour ma part The greatest show on earth est le pire DeMille que j'ai vu... je n'ai pas beaucoup apprécié, mais je dois avouer avoir une aversion envers le cirque en général il faut dire... du moins la plupart du temps.
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Regarde Jumbo de Charles Walters ; peut-être (j'espère) trouveras tu l'exceptionsomeone1600 a écrit :Pour ma part The greatest show on earth est le pire DeMille que j'ai vu... je n'ai pas beaucoup apprécié, mais je dois avouer avoir une aversion envers le cirque en général il faut dire... du moins la plupart du temps.
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
C'est quand même un peu l'archétype même du film de cirque, ce Jumbo (que j'aime bien au demeurant, mais on y trouve tous les codes de ce genre de film, les problèmes financiers, l'amour du spectacle, l'écuyère très jolie fille du directeur)...Jeremy Fox a écrit :Regarde Jumbo de Charles Walters ; peut-être (j'espère) trouveras tu l'exceptionsomeone1600 a écrit :Pour ma part The greatest show on earth est le pire DeMille que j'ai vu... je n'ai pas beaucoup apprécié, mais je dois avouer avoir une aversion envers le cirque en général il faut dire... du moins la plupart du temps.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Je faisais allusion a ca quand je disais ... la plupart du temps, car celui-la, j'avais adoré.Jeremy Fox a écrit :Regarde Jumbo de Charles Walters ; peut-être (j'espère) trouveras tu l'exceptionsomeone1600 a écrit :Pour ma part The greatest show on earth est le pire DeMille que j'ai vu... je n'ai pas beaucoup apprécié, mais je dois avouer avoir une aversion envers le cirque en général il faut dire... du moins la plupart du temps.
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Bingo donc pour someone ! Oui, c'est effectivement l'archétype parfait du film de cirque (version 'musical' quand même aussi) mais avec une fraicheur absente des autres je trouve, due pour beaucoup à son actrice principalecinephage a écrit :C'est quand même un peu l'archétype même du film de cirque, ce Jumbo (que j'aime bien au demeurant, mais on y trouve tous les codes de ce genre de film, les problèmes financiers, l'amour du spectacle, l'écuyère très jolie fille du directeur)...Jeremy Fox a écrit :
Regarde Jumbo de Charles Walters ; peut-être (j'espère) trouveras tu l'exception
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Certainement la raison pour laquelle j'avais adoré le film en effet.
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Je suis de l'avis de Someone pour ce DeMille là. La dernière que je l'ai vu j'ai été effarée par l'intrigue qui est incroyablement cousue de fil blanc. Et les acteurs jouaient des personnages totalement stéréotypés. Par contre, j'adore Les Gens du voyage de Jacques Feyder avec la magnifique Françoise Rosay en dompteuse de lions.someone1600 a écrit :Pour ma part The greatest show on earth est le pire DeMille que j'ai vu... je n'ai pas beaucoup apprécié, mais je dois avouer avoir une aversion envers le cirque en général il faut dire... du moins la plupart du temps.
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
villag a écrit :Cathy a écrit :Samson et Dalila (1949)
. Cornel Wilde prête sa plastique sculpturale au héros à la force herculéenne. impressionnnante. Là encore !
Petite erreur Cathy: point de Cornel Wilde( acteur tres en vogue serie b à cette époque),mais Victor Mature dans Samson....![/quote]
Erreur corrigée, je ne sais pas pourquoi, je confonds systématiquement les deux acteurs !
Sinon The Greatest Show on Earth est un magnifique film documentaire sur le milieu du cirque, certes l'intrigue est cousue de fils blancs, mais comme dans beaucoup de films, avec le traitre, le cirque qui prend l'eau, la jolie fille qui cherche à le sauver, etc. Je préfère de très loin le De Mille à Jumbo où Doris Day en plus est bien trop âgée pour le rôle de la jeune fille ! Betty Hutton est pleine de vie pour son rôle, et pas exaspérante. J'ai toujours aimé ce film, et rien que la prestation de James Stewart vaut sa vision !
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
J'ai besoin d'un avis de connaisseur: que vaut son Cleopatre à lui ? Je veux dire...il est bien à quel point ?
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Mets de coté la rigueur historique, le spectaculaire, la couleur et la grandeur du Scope de la version de Mankiewicz, DeMille propose une vision de Cleopatre encore marquée par le Pré-Code (qui ne va pas tarder à être mis en place après la sortie du film) où Claudette Colbert - qui n'a pas la beauté d'Elizabeth Taylor - joue beaucoup plus sur sa séduction et sur un coté plus sensuel, plus érotique, de part ses tenues.
Chez DeMille, la relation Cleopatre/Cesar est moins poussée et il met plus en avant celle entre Marc Antoine et Cleopatre. Par contre je n'ai pas conservé un souvenir mémorable de Warren William et de Henry Wilcoxon
Le film m'a semblé un poil long mais il y a de belles scènes (la scène finale avec les Romains qui pénètrent le palais), un érotisme très Pré-Code qui est assez étonnant de la part de DeMille donc je dirais que c'est un film à découvrir J'ai préféré The Sign of the Cross avec Claudette Colbert accompagnée de Fredric March et Charles Laughton qui m'a semblé moins statique et plus Pré-Code.
Pardon pour le manque de détails - surtout si tu cherchais un avis de connaisseur - mais cela fait un moment que je ne l'ai pas revu
Chez DeMille, la relation Cleopatre/Cesar est moins poussée et il met plus en avant celle entre Marc Antoine et Cleopatre. Par contre je n'ai pas conservé un souvenir mémorable de Warren William et de Henry Wilcoxon
Le film m'a semblé un poil long mais il y a de belles scènes (la scène finale avec les Romains qui pénètrent le palais), un érotisme très Pré-Code qui est assez étonnant de la part de DeMille donc je dirais que c'est un film à découvrir J'ai préféré The Sign of the Cross avec Claudette Colbert accompagnée de Fredric March et Charles Laughton qui m'a semblé moins statique et plus Pré-Code.
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Pareil, c'est un film qui ressemble à s'y méprendre à un baroud d'honneur pour un cinéaste qui ne cache pas son gout de l'historique comme prétexte à débauche...feb a écrit :Mets de coté la rigueur historique, le spectaculaire, la couleur et la grandeur du Scope de la version de Mankiewicz, DeMille propose une vision de Cleopatre encore marquée par le Pré-Code (qui ne va pas tarder à être mis en place après la sortie du film) où Claudette Colbert - qui n'a pas la beauté d'Elizabeth Taylor - joue beaucoup plus sur sa séduction et sur un coté plus sensuel, plus érotique, de part ses tenues.
Chez DeMille, la relation Cleopatre/Cesar est moins poussée et il met plus en avant celle entre Marc Antoine et Cleopatre. Par contre je n'ai pas conservé un souvenir mémorable de Warren William et de Henry Wilcoxon
Le film m'a semblé un poil long mais il y a de belles scènes (la scène finale avec les Romains qui pénètrent le palais), un érotisme très Pré-Code qui est assez étonnant de la part de DeMille donc je dirais que c'est un film à découvrir J'ai préféré The Sign of the Cross avec Claudette Colbert accompagnée de Fredric March et Charles Laughton qui m'a semblé moins statique et plus Pré-Code.
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Merci Feb, merci Allen ! Je vais me laisser tenter !
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
J'abonde dans le sens de Feb, on est clairement dans un film pré-code avec Cléopatre et Claudette Colbert est assez "surprenante" dans son bain , mais Feb n'a pas tort sur Le signe de la croix qui s'économise encore moins en scènes explicites (pour l'époque), et les jeux du cirque sont d'anthologie.
Des deux films, c'est leur aspect sulfureux que j'ai retenu
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
Le signe de la croix attend déjà son tour dans ma pile d'attente (depuis trop longtemps il est vrai ).
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Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)
De Mille dans La marche de l'histoire sur France Inter.
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
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