James Cagney (1899-1986)
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Re: James Cagney (1899-1986)
Très intéressant ! C'est le seul James Cagney en DVD (hormis Le bar des illusions et The galant hours, en zone 1 sans sous-titres) que je n'ai pas encore acheté. Je pense que je vais sauter le pas, surtout après la lecture de ceci.
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Re: James Cagney (1899-1986)
Vu ton amour de l'acteur, tu devrais apprécier le film, il est de tous les plans et fait une véritable composition. Je pensais que tu l'avais !
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Re: James Cagney (1899-1986)
C'est bon, commandé !Cathy a écrit :Vu ton amour de l'acteur, tu devrais apprécier le film, il est de tous les plans et fait une véritable composition. Je pensais que tu l'avais !
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Re: James Cagney (1899-1986)
Je viens de découvrir :
Hollywood Hollywood (Something to sing about) - Réalisé par Victor Schertzinger / 1937 : Une satire du milieu hollywoodien. James Cagney vient de rompre son contrat avec la Warner et, l'espace de deux films, va tourner pour la Grand National (Great guy et celui-ci). Deux films très inégaux, voire un peu mous, mais sympathiques et pour lesquels Cagney gagne énormément d'argent. Hollywood Hollywood n'a pas l'énergie de Lady killer dans le même genre à l'époque, loin de là. Ce n'est pas un film de studio, et cela se sent. Mise en scène plate, montage à vitesse variable, scénario pas très dynamique... Mais l'acteur se donne une fois de plus à fond et semble prendre plaisir à refaire une comédie musicale (avec peu de numéros par contre), dans un registre de jeu plus sobre et moins furieux. Résultat, un Cagney différent, à savourer un soir de pluie. L'humour est régulièrement parodique sur l'univers hollywoodien et arrache pas mal de sourires, et même quelques rires. Pas mal, mais peut mieux faire. Heureusement qu'il est retourné signer à la Warner !
Les pièges de la passion (Love me or leave me) - Réalisé par Charles Vidor / 1955 : Un très beau film dans lequel Cagney incarne un gangster différent, faisant encore évoluer son style et son jeu. C'est tout à son honneur, et il alterne avec panache folie, pathétique, grotesque, violence et amour fou... Face à lui, Doris Day est lumineuse et en impose véritablement. Un drame qui n'échappe pas au happy-end (délicat et sincère, on en espérait pas tant vu le ton général du film) et qui fonctionne à la fois sur des séquences fort bien dialoguée et des numéros musicaux très agréables. La mise en scène ne casse pas des briques, mais le cinémascope et le technicolor groupés (sans oublier le savoir-faire MGM) hissent le film à un jolie niveau d'esthétique et de tenue générale. Une bien belle réussite, un petit bijou.
L'homme aux mille visages (Man of a thousand faces) - Réalisé par Joseph Pevney / 1957 : Oui, la mise en scène est très sage (mais soignée), le scénario ne peut se concentrer davantage sur certains films MGM de Lon Chaney... Mais quelle leçon en matière de biopic ! Une distribution carrée, une histoire sincère, des répliques inoubliables, une montée en puissance convaincante, sans oublier les travers de certains personnages... bref, voilà un film que je qualifierais de superbe avec une émotion rare et précieuse. Et James Cagney se dépasse littéralement pour jouer le rôle de cette légende du cinéma muet, qui eut une vie romanesque et tragique (et cela jusqu'à une mort tout de même étonnante quand on connait son enfance et son passé de manière générale : quelle ironie du sort !). L'acteur se donne complètement à son art et rend par ce biais le plus bel hommage possible à Chaney (il fallait bien mille talents pour rendre sa démesure à l’homme aux mille visages) : un travail intensément exigeant qui eut mérité l'Oscar, à n'en pas douter. Une merveille, à peine tempérée par quelques menus défauts.
Hollywood Hollywood (Something to sing about) - Réalisé par Victor Schertzinger / 1937 : Une satire du milieu hollywoodien. James Cagney vient de rompre son contrat avec la Warner et, l'espace de deux films, va tourner pour la Grand National (Great guy et celui-ci). Deux films très inégaux, voire un peu mous, mais sympathiques et pour lesquels Cagney gagne énormément d'argent. Hollywood Hollywood n'a pas l'énergie de Lady killer dans le même genre à l'époque, loin de là. Ce n'est pas un film de studio, et cela se sent. Mise en scène plate, montage à vitesse variable, scénario pas très dynamique... Mais l'acteur se donne une fois de plus à fond et semble prendre plaisir à refaire une comédie musicale (avec peu de numéros par contre), dans un registre de jeu plus sobre et moins furieux. Résultat, un Cagney différent, à savourer un soir de pluie. L'humour est régulièrement parodique sur l'univers hollywoodien et arrache pas mal de sourires, et même quelques rires. Pas mal, mais peut mieux faire. Heureusement qu'il est retourné signer à la Warner !
Les pièges de la passion (Love me or leave me) - Réalisé par Charles Vidor / 1955 : Un très beau film dans lequel Cagney incarne un gangster différent, faisant encore évoluer son style et son jeu. C'est tout à son honneur, et il alterne avec panache folie, pathétique, grotesque, violence et amour fou... Face à lui, Doris Day est lumineuse et en impose véritablement. Un drame qui n'échappe pas au happy-end (délicat et sincère, on en espérait pas tant vu le ton général du film) et qui fonctionne à la fois sur des séquences fort bien dialoguée et des numéros musicaux très agréables. La mise en scène ne casse pas des briques, mais le cinémascope et le technicolor groupés (sans oublier le savoir-faire MGM) hissent le film à un jolie niveau d'esthétique et de tenue générale. Une bien belle réussite, un petit bijou.
L'homme aux mille visages (Man of a thousand faces) - Réalisé par Joseph Pevney / 1957 : Oui, la mise en scène est très sage (mais soignée), le scénario ne peut se concentrer davantage sur certains films MGM de Lon Chaney... Mais quelle leçon en matière de biopic ! Une distribution carrée, une histoire sincère, des répliques inoubliables, une montée en puissance convaincante, sans oublier les travers de certains personnages... bref, voilà un film que je qualifierais de superbe avec une émotion rare et précieuse. Et James Cagney se dépasse littéralement pour jouer le rôle de cette légende du cinéma muet, qui eut une vie romanesque et tragique (et cela jusqu'à une mort tout de même étonnante quand on connait son enfance et son passé de manière générale : quelle ironie du sort !). L'acteur se donne complètement à son art et rend par ce biais le plus bel hommage possible à Chaney (il fallait bien mille talents pour rendre sa démesure à l’homme aux mille visages) : un travail intensément exigeant qui eut mérité l'Oscar, à n'en pas douter. Une merveille, à peine tempérée par quelques menus défauts.
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Re: James Cagney (1899-1986)
Présent depuis un moment dans mon meuble DVD mais toujours pas vu malgré le thème et les acteurs...ton avis, Julien, associé à celui de Cathy me donnent envieJulien Léonard a écrit :Je viens de découvrir :
...L'homme aux mille visages (Man of a thousand faces)...
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Re: James Cagney (1899-1986)
J'avais zappé cet échange, j'aime bien la première sirène sur la vie d'Annette Kellerman, je sais Jeremy que tu n'en es pas très fan, mais je pense que ce n'est pas l'Esther Williams kitsch que nous aimons. A quand d'ailleurs la Chérie de Jupiter en DVD, c'est totalement kitsch, complètement ridicule, mais j'avais passé un super bon moment !Jeremy Fox a écrit :J'ai beau être ultra fan de ses films (Bathing Beauty et Dangerous when Wet surtout), j'hésite quand même toujours à les conseiller excepté peut-être Take me out to the Ballgame de Busby BerkeleyJulien Léonard a écrit :
Mais quand je vois des extraits, j'ai toujours envie de regarder, de découvrir (je pense notamment à Esther Williams, c'est tout simplement impressionnant )
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Re: James Cagney (1899-1986)
Annoncé depuis des lustres, je n'ai plus du tout confiance dans une sortie via le circuit "normal", mais je suis peut-être pessimiste.Cathy a écrit :J'avais zappé cet échange, j'aime bien la première sirène sur la vie d'Annette Kellerman, je sais Jeremy que tu n'en es pas très fan, mais je pense que ce n'est pas l'Esther Williams kitsch que nous aimons. A quand d'ailleurs la Chérie de Jupiter en DVD, c'est totalement kitsch, complètement ridicule, mais j'avais passé un super bon moment !Jeremy Fox a écrit :
J'ai beau être ultra fan de ses films (Bathing Beauty et Dangerous when Wet surtout), j'hésite quand même toujours à les conseiller excepté peut-être Take me out to the Ballgame de Busby Berkeley
on faisait queue devant la porte des WC comme au ciné lors du passage de l'Atlantide à l'écran. Jean Ray, Hôtel de Famille, 1922
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Re: James Cagney (1899-1986)
Bugsy Siegel a écrit :Annoncé depuis des lustres, je n'ai plus du tout confiance dans une sortie via le circuit "normal", mais je suis peut-être pessimiste.Cathy a écrit :
J'avais zappé cet échange, j'aime bien la première sirène sur la vie d'Annette Kellerman, je sais Jeremy que tu n'en es pas très fan, mais je pense que ce n'est pas l'Esther Williams kitsch que nous aimons. A quand d'ailleurs la Chérie de Jupiter en DVD, c'est totalement kitsch, complètement ridicule, mais j'avais passé un super bon moment !
Je crois qu'il est sorti dans une collection sans sous-titres, mais qui c'est peut-être que le coffre n°3 fera son apparition !
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Re: James Cagney (1899-1986)
Bien d'accord avec toi sur la premiere sirene, le film avec Esther que j'ai le plus apprécié, meme si j'ai bien aimé les autres que j'ai vu... La chérie de Jupiter, c'est le film ou elle seduit un barbare ca ? tellement ridicule comme tu dis, mais bien amusant.Cathy a écrit :J'avais zappé cet échange, j'aime bien la première sirène sur la vie d'Annette Kellerman, je sais Jeremy que tu n'en es pas très fan, mais je pense que ce n'est pas l'Esther Williams kitsch que nous aimons. A quand d'ailleurs la Chérie de Jupiter en DVD, c'est totalement kitsch, complètement ridicule, mais j'avais passé un super bon moment !Jeremy Fox a écrit :
J'ai beau être ultra fan de ses films (Bathing Beauty et Dangerous when Wet surtout), j'hésite quand même toujours à les conseiller excepté peut-être Take me out to the Ballgame de Busby Berkeley
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Re: James Cagney (1899-1986)
Oui, c'est celui où elle passe son temps en mission de reconnaissance avec Hannibal (Howard Keel). Il y a aussi Marge et Gower Champion dans un numéro totalement décalé vu l'époque, et puis le bal avec les statues antiques sous-marines !someone1600 a écrit : Bien d'accord avec toi sur la premiere sirene, le film avec Esther que j'ai le plus apprécié, meme si j'ai bien aimé les autres que j'ai vu... La chérie de Jupiter, c'est le film ou elle seduit un barbare ca ? tellement ridicule comme tu dis, mais bien amusant.
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Re: James Cagney (1899-1986)
Il y a de cela plusieurs années la télévision française avait programmé son dernier rôle, celui d'un ancien boxeur aux prises avec sa petite-fille rebelle dans le téléfilm Joe Moran.
Rien de transcendant, et Cagney apparaît la plupart du temps confiné dans un fauteuil roulant - apparemment ses dialogues ont été doublés en post-production. Le vrai plaisir que l'on en retire est d'y voir Ellen Barkin crever l' écran.
Rien de transcendant, et Cagney apparaît la plupart du temps confiné dans un fauteuil roulant - apparemment ses dialogues ont été doublés en post-production. Le vrai plaisir que l'on en retire est d'y voir Ellen Barkin crever l' écran.
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Re: James Cagney (1899-1986)
Les Anges aux figures sales (Angels with Dirty Faces) - Michael Curtiz (1938)
Nouvelle claque après White Heat.
Curtiz balade sa caméra d'une scène à l'autre avec beaucoup de maîtrise, les plans sont recherchés, la mise en scène dynamique et la photo N&B est belle (surtout lors de la scène du couloir de la mort). Les personnages de Cagney et de O'Brien, ensemble depuis leur plus tendre enfance, ont un rapport presque "émouvant" lorsqu'ils sont adultes et que chacun respecte la vie choisie par l'autre. James Cagney est encore une fois très bon (même si sa prestation White Heat reste pour moi le top), toujours aussi à l'aise dans son personnage, il passe facilement d'un état à un autre. O'Brien dans un rôle bien plus sobre ne prete pas aucune critique tout comme Bogart (malgré une présence à l'écran plus faible), impeccable en traître qui a bien profité de son pote Rocky et qui va finir comme dans beaucoup des rôles de cette période de sa carrière "allongé et riche en plombs" . Je n'oublie pas Ann Sheridan qui malgré un rôle vraiment minimum est toujours aussi agréable à regarder
J'ai aimé cette façon qu'à Curtiz pour présenter le temps qui passe pendant que Rocky est en prison, cette double scène du quartier de son enfance qui a évolué avec cette caméra qui se balade, cette scène finale où Jerry vient chercher les jeunes tapis dans l'ombre pour les "monter vers la lumière" et surtout j'aime cette scène fantastique du couloir de la mort : Cagney sort de sa "cage" en conservant sa hargne, son style, tout ce qui a fait sa réputation, il traverse ce couloir sombre sans dire un mot, le regard vide jusqu'à LA scène qui semble poser les bases de la scène de la cantine dans White Heat. Cagney se transforme en lâche, implore les gardes, pleure pendant que son ami ne respecte pas sa parole et récite une prière : Curtiz filme ce passage magnifiquement sans montrer le condamné, on ne voit que son ombre, ses mains accrochées au radiateur, on n'entend que sa voix si différente de celle entendue pendant tout le film et surtout Curtiz finit sur le visage de Jerry qui pleure son ami lui offrant ce dernier cadeau...
Nouvelle claque après White Heat.
Curtiz balade sa caméra d'une scène à l'autre avec beaucoup de maîtrise, les plans sont recherchés, la mise en scène dynamique et la photo N&B est belle (surtout lors de la scène du couloir de la mort). Les personnages de Cagney et de O'Brien, ensemble depuis leur plus tendre enfance, ont un rapport presque "émouvant" lorsqu'ils sont adultes et que chacun respecte la vie choisie par l'autre. James Cagney est encore une fois très bon (même si sa prestation White Heat reste pour moi le top), toujours aussi à l'aise dans son personnage, il passe facilement d'un état à un autre. O'Brien dans un rôle bien plus sobre ne prete pas aucune critique tout comme Bogart (malgré une présence à l'écran plus faible), impeccable en traître qui a bien profité de son pote Rocky et qui va finir comme dans beaucoup des rôles de cette période de sa carrière "allongé et riche en plombs" . Je n'oublie pas Ann Sheridan qui malgré un rôle vraiment minimum est toujours aussi agréable à regarder
J'ai aimé cette façon qu'à Curtiz pour présenter le temps qui passe pendant que Rocky est en prison, cette double scène du quartier de son enfance qui a évolué avec cette caméra qui se balade, cette scène finale où Jerry vient chercher les jeunes tapis dans l'ombre pour les "monter vers la lumière" et surtout j'aime cette scène fantastique du couloir de la mort : Cagney sort de sa "cage" en conservant sa hargne, son style, tout ce qui a fait sa réputation, il traverse ce couloir sombre sans dire un mot, le regard vide jusqu'à LA scène qui semble poser les bases de la scène de la cantine dans White Heat. Cagney se transforme en lâche, implore les gardes, pleure pendant que son ami ne respecte pas sa parole et récite une prière : Curtiz filme ce passage magnifiquement sans montrer le condamné, on ne voit que son ombre, ses mains accrochées au radiateur, on n'entend que sa voix si différente de celle entendue pendant tout le film et surtout Curtiz finit sur le visage de Jerry qui pleure son ami lui offrant ce dernier cadeau...
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Re: James Cagney (1899-1986)
Content qu'il te plaise. Un film sublime, qui épate dès les premier mouvement d'appareil qui ouvre le film et va crescendo jusqu'à sa légendaire scène finale.
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Re: James Cagney (1899-1986)
Pas mieux Pas la même puissance que White Heat mais le film de Curtiz est très bien maîtrisé.Rick Blaine a écrit :
Content qu'il te plaise. Un film sublime, qui épate dès les premier mouvement d'appareil qui ouvre le film et va crescendo jusqu'à sa légendaire scène finale.
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Re: James Cagney (1899-1986)
+ 1feb a écrit :Pas mieux Pas la même puissance que White Heat mais le film de Curtiz est très bien maîtrisé.Rick Blaine a écrit :
Content qu'il te plaise. Un film sublime, qui épate dès les premier mouvement d'appareil qui ouvre le film et va crescendo jusqu'à sa légendaire scène finale.