Cela pourrait faire l'objet d'un topic à part entière, dans quels cas la vraisemblance au cinéma est non négociable au risque de nous faire sortir du récit, dans quel cas elle forme un postulat parfaitement acceptable auquel nous allons adhérer sans difficulté voir en apportant notre complet concours, et comment les réalisateurs les plus habiles parviennent à nous faire souscrire à l'invraisemblance de leurs récits ?Major Tom a écrit :Demi-Lune a écrit : Je crois que tu tends une sacrée perche à mannhunter, là, qui se faire un plaisir de rebondir sur un certain réalisateur italien.
Pardon pour le HS !