Et pourquoi pas ? C'est un brillant acteur.7swans a écrit :Halalalala... à quand un Top Martin Sheen?
Kevin Costner
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Re: Votre top Kevin Costner
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Re: Votre top Kevin Costner
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Re: Votre top Kevin Costner
C'est vrai que j'ai oublié OPEN RANGE, que j'ai beaucoup aimé... et il a en plus la double casquette sur celui-là...
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Re: Votre top Kevin Costner
Un peu qu'il est brillant!Watkinssien a écrit :Et pourquoi pas ? C'est un brillant acteur.7swans a écrit :Halalalala... à quand un Top Martin Sheen?
M'enfin, moi je suis plus objectif le concernant...
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Re: Votre top Kevin Costner
T'es passé du statut cinéphile à celui de sheenéphile...7swans a écrit :Un peu qu'il est brillant!Watkinssien a écrit : Et pourquoi pas ? C'est un brillant acteur.
M'enfin, moi je suis plus objectif le concernant...
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Re: Votre top Kevin Costner
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Re: Top Kevin Costner
JUSQU'AU BOUT DU RÊVE de Phil Alden Robinson
Voilà un film qui m'avait beaucoup marqué pendant mes années de lycée et que je n'avais jamais revu depuis. J'avais un peu peur de retenter l'expérience puisqu'il me semblait déjà, à l'époque, que le film marchait sur des charbons ardents, qu'il évoluait sur un terrain instable, comme au bord du vide, risquant par ses choix scénaristiques de repousser une partie des spectateurs. Je ne m'étais pas trompé puisqu'à mon sens l'histoire utilise un angle vraiment très particulier où les bons sentiments exacerbés et une sorte de fantastique épuré donnent un mélange atypique, qu'on pourrait peut-être rapprocher d'un Capra sur certains points, mais qui s'avère aussi potentiellement hermétique pour certains spectateurs. En fait, ce risque est largement rattrapé par les thématiques universelles de l'histoire: une grande nostalgie du passé, un regard sur nos rapports avec les souvenirs, l'évocation du temps qui passe, les regrets scélés par le temps, les passions de jeunesse (ici les 60's et probablement le flower power et tous ces courants), etc. Il y a tout un pan d'émotions communes aux hommes qui sont rappelées ici et qui fonctionnent relativement bien. Je me demande même si, quand je serai encore plus vieux, le film n'en fonctionnera encore davantage.
C'est aussi un film très américain avec des choses plus ou moins bonnes: il faut s'accrocher si l'on ne supporte pas le base-ball par exemple, même si ce sport n'est qu'un vecteur de l'histoire, et pas le centre d'intérêt des 105mn du film. Reste qu'en prenant pour base le base-balle, justement , un sport très populaire là-bas, les scénaristes se mettent un peu plus facilement certains spectateurs dans la poche, jouent ouvertement avec l'aspect fédérateur du sport en général (en France c'est pareil: c'est un programme tv qui fait les plus grosses audiences, ou le quotidien presse dédié au sport qui est le numéro 1 des ventes).
Je noterai aussi la scène de réunion des parents d'élève où les fondations morales et spirituelles de l'Amérique sont on ne peut plus clamées (liberté, etc.): on est vraiment dans un film où les plus belles valeurs de l'Amérique sont prises à partie avec une certaine insistance. C'est juste une remarque car cela ne m'a pas dérangé plus que ça ici.
N'oublions pas le casting: j'ai retrouvé avec plaisir Kevin Costner, pour commencer, avec qui j'ai grandi. Si je suis moins touché par Costner au cinéma, dans ses films actuels, il me reste un certain attachement quand je revois ses anciens films comme ici: l'effet nostalgique joue beaucoup sur l'empathie de cet acteur qui était alors dans une ascension fulgurante (après SILVERADO ou LES INCORRUPTIBLES) et qui réalisera l'année suivante DANSE AVEC LES LOUPS qui serait certainement dans mon TOP 3 si j'en faisais un. Je le trouve ici, encore une fois, très juste, dans un beau rôle.
James Earl Jones, ensuite, que je ne connais que très mal (CONAN LE BARBARE ne fait pas partie de mes film de chevet) mais dont j'ai pu profiter ici de la voix caverneuse si particulière. Et il y a surtout Burt Lancaster dans l'un de ses derniers rôles: un acteur que je connaissais de loin il y a près de 20 ans et que je fréquente beaucoup plus aujourd'hui. Impression étrange que de le voir dans ce film, vieilli, affaibli, fatigué. Tout cinéphile amateur des classiques d'Hollywood ne peut rester de marbre. D'ailleurs la participation de Lancaster est un argument de plus pour Robinson qui joue avec la nostalgie sur tous les niveaux possibles.
C'était un peu un coup de poker en achetant le BR zone all, car ne sachant pas si le film en valait toujours la peine. Le master est très correct mais ne fait pas de miracles: n'attendez pas une définition tranchante, reportez-vous plutôt sur une bonne colorimétrie. On notera une pellicule légèrement instable (une impression très vague de tremblement, en permance, mais peu impactante).
Pas de VF mais sous-titres en français québécois (c'est presque du français, excepté quelques rares expression comme "prendre une marche"= take a walk). Les bous sont aussi sous-titrés.
Voilà un film qui m'avait beaucoup marqué pendant mes années de lycée et que je n'avais jamais revu depuis. J'avais un peu peur de retenter l'expérience puisqu'il me semblait déjà, à l'époque, que le film marchait sur des charbons ardents, qu'il évoluait sur un terrain instable, comme au bord du vide, risquant par ses choix scénaristiques de repousser une partie des spectateurs. Je ne m'étais pas trompé puisqu'à mon sens l'histoire utilise un angle vraiment très particulier où les bons sentiments exacerbés et une sorte de fantastique épuré donnent un mélange atypique, qu'on pourrait peut-être rapprocher d'un Capra sur certains points, mais qui s'avère aussi potentiellement hermétique pour certains spectateurs. En fait, ce risque est largement rattrapé par les thématiques universelles de l'histoire: une grande nostalgie du passé, un regard sur nos rapports avec les souvenirs, l'évocation du temps qui passe, les regrets scélés par le temps, les passions de jeunesse (ici les 60's et probablement le flower power et tous ces courants), etc. Il y a tout un pan d'émotions communes aux hommes qui sont rappelées ici et qui fonctionnent relativement bien. Je me demande même si, quand je serai encore plus vieux, le film n'en fonctionnera encore davantage.
C'est aussi un film très américain avec des choses plus ou moins bonnes: il faut s'accrocher si l'on ne supporte pas le base-ball par exemple, même si ce sport n'est qu'un vecteur de l'histoire, et pas le centre d'intérêt des 105mn du film. Reste qu'en prenant pour base le base-balle, justement , un sport très populaire là-bas, les scénaristes se mettent un peu plus facilement certains spectateurs dans la poche, jouent ouvertement avec l'aspect fédérateur du sport en général (en France c'est pareil: c'est un programme tv qui fait les plus grosses audiences, ou le quotidien presse dédié au sport qui est le numéro 1 des ventes).
Je noterai aussi la scène de réunion des parents d'élève où les fondations morales et spirituelles de l'Amérique sont on ne peut plus clamées (liberté, etc.): on est vraiment dans un film où les plus belles valeurs de l'Amérique sont prises à partie avec une certaine insistance. C'est juste une remarque car cela ne m'a pas dérangé plus que ça ici.
N'oublions pas le casting: j'ai retrouvé avec plaisir Kevin Costner, pour commencer, avec qui j'ai grandi. Si je suis moins touché par Costner au cinéma, dans ses films actuels, il me reste un certain attachement quand je revois ses anciens films comme ici: l'effet nostalgique joue beaucoup sur l'empathie de cet acteur qui était alors dans une ascension fulgurante (après SILVERADO ou LES INCORRUPTIBLES) et qui réalisera l'année suivante DANSE AVEC LES LOUPS qui serait certainement dans mon TOP 3 si j'en faisais un. Je le trouve ici, encore une fois, très juste, dans un beau rôle.
James Earl Jones, ensuite, que je ne connais que très mal (CONAN LE BARBARE ne fait pas partie de mes film de chevet) mais dont j'ai pu profiter ici de la voix caverneuse si particulière. Et il y a surtout Burt Lancaster dans l'un de ses derniers rôles: un acteur que je connaissais de loin il y a près de 20 ans et que je fréquente beaucoup plus aujourd'hui. Impression étrange que de le voir dans ce film, vieilli, affaibli, fatigué. Tout cinéphile amateur des classiques d'Hollywood ne peut rester de marbre. D'ailleurs la participation de Lancaster est un argument de plus pour Robinson qui joue avec la nostalgie sur tous les niveaux possibles.
C'était un peu un coup de poker en achetant le BR zone all, car ne sachant pas si le film en valait toujours la peine. Le master est très correct mais ne fait pas de miracles: n'attendez pas une définition tranchante, reportez-vous plutôt sur une bonne colorimétrie. On notera une pellicule légèrement instable (une impression très vague de tremblement, en permance, mais peu impactante).
Pas de VF mais sous-titres en français québécois (c'est presque du français, excepté quelques rares expression comme "prendre une marche"= take a walk). Les bous sont aussi sous-titrés.
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)
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Re: Top Kevin Costner
j'aime bien kevin costner mais de la a dire qu'il a une filmographie meilleure que de niro et pacino
mon top 3:
danse avec les loups
les incorruptibles
un monde parfait
tous les 3 largement inférieurs tant dans l'interprétation que de la qualité du film a
mean streets
taxi driver
voyage au bout de l'enfer
raging bull
il était une fois en Amérique
casino
les affranchis
heat
le parrain partie 2
c'est dire la différence entre les 2
mon top 3:
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Re: Top Kevin Costner
Coast Guard: 3/10
Bon n'ayant rien à faire cette après-midi en attendant d'aller au boulot, je guette pour une fois le programme TV (moi qui ne la regarde quasiment jamais) et je vois trop possibilités : "Les diamants sont éternels" (déjà trop vu, trop de mauvais souvenirs et j'en dis un mot sur le topic "James Bond" où Demi-Lune en parle mieux que moi), "Seul au monde" (déjà vu aussi et bon TF1 je sens le massacre de diffusion) et enfin "Coast Guard" . Jamais vu ce film et je n'avais pas envie d'aller le voir au ciné à l'époque (2006 déjà) et je comprends pourquoi.Bon passons sur les coupures PUB de M6 (3 si j'ai bien compté) , le format m'a semblé être réspecté (1-85 il me semble), et surtout j'ai pu le voir en VOSTF (vive la TNT pour ça) et HD 1080 i (bah oui on est à la télé).
Venons en au film, j'aime bien Costner, il joue toujours le type sympa, un peu sauveur de l'humanité etc..mais là c'est trop.Même si les scènes de sauvetage sont plutôt pas mal (encore que n'importe quel réalisateur américain en fera autant), le film de Andrew Davis (Tiens au fait que devient-il? ne me reste que l'excellent accident de parcours de sa part "LE fugitif " pour s'en souvenir) vire trop dans le mélo américain .La faute à des clichés typiques (et ça se retrouve dans la mise en scène) et un jeu d'acteur à la limite de l'actor studio (cf la scène de Kutcher lorqu'il pleure c'est pitoyable).Même les moments d'entrainements qui prennent une bonne part du film entre 2/3 sauvetages, sont peu intéressants.Mal construit, pas de ryhtme (et la musique n'aide pas), des "copains" de classe clichés loin des forts moments de "Starship Troopers" par exemple (avec le même acteur qui jouait l'instructeur justement), une histoire d'amour risible au possible (faut voir comme Kutcher drague la donzelle et ce qu'en fait ensuite le film...euh rien en fait sauf à la fin que je vous laisse deviner).
Costner fait ce qu'il peut dans son jeu en tant qu'instructeur après avoir subi la perte de son meilleur ami lors d'un sauvetage.Et je vous le mets dans le mille, tout le film ne repose que sur ça : et vas -y que je romps avec ma femme parce que ça rajoute une couche sur le désespoire du personnage, et au cas où on aurait pas compris, le réalisateur nous sert des flashbacks au ralentit pour nous rappeler les scènes de l'accident de son pote disparue( c'est mal filmé au possible) au cas où nous spectateur, serions trop idiot pour comprendre que le personnage a peur de refaire la même chose avec sa nouvelle recrue.
Parlons en de la nouvelle recrue: je n'aime pas Kutcher (à part dans l'excellent et sous estimé "L'effet papillon") et là il me le prouve bien.Son personnage fait trop miné, trop gentil et son caractère est inexistant, que ça soit avec sa copine, ou avec son instructeur où justement ce qui aurait dû être le plus intéressant dans le film.Là, point ou peu de force de relation, mise à part et encore,une fois que Costner découvre que lui aussi a une faille et un passé.Ce qui lui vaudra tous les honneurs (ainsi que de battre les records de natation du dit maître) et ainsi ne pas se faire virer de l'académie lorsqu'il arrivera en retard la veille de sa partie de jambe en l'air avec sa miss, et lors d'une mise en garde à vue suite à une bagarre dans un bar de Navis (scène qui montre bien que les soldats américains sont tous des idiots picoleurs par rapport aux gardes côtes).
Non franchement il n'y a pas grand chose à sauver (sic) sur ce film (unique ?) sur les Coast Guards américains.La fin achéve le reste et tombe comme un cheveux sur la soupe tellement prévisible à des km.
Bon n'ayant rien à faire cette après-midi en attendant d'aller au boulot, je guette pour une fois le programme TV (moi qui ne la regarde quasiment jamais) et je vois trop possibilités : "Les diamants sont éternels" (déjà trop vu, trop de mauvais souvenirs et j'en dis un mot sur le topic "James Bond" où Demi-Lune en parle mieux que moi), "Seul au monde" (déjà vu aussi et bon TF1 je sens le massacre de diffusion) et enfin "Coast Guard" . Jamais vu ce film et je n'avais pas envie d'aller le voir au ciné à l'époque (2006 déjà) et je comprends pourquoi.Bon passons sur les coupures PUB de M6 (3 si j'ai bien compté) , le format m'a semblé être réspecté (1-85 il me semble), et surtout j'ai pu le voir en VOSTF (vive la TNT pour ça) et HD 1080 i (bah oui on est à la télé).
Venons en au film, j'aime bien Costner, il joue toujours le type sympa, un peu sauveur de l'humanité etc..mais là c'est trop.Même si les scènes de sauvetage sont plutôt pas mal (encore que n'importe quel réalisateur américain en fera autant), le film de Andrew Davis (Tiens au fait que devient-il? ne me reste que l'excellent accident de parcours de sa part "LE fugitif " pour s'en souvenir) vire trop dans le mélo américain .La faute à des clichés typiques (et ça se retrouve dans la mise en scène) et un jeu d'acteur à la limite de l'actor studio (cf la scène de Kutcher lorqu'il pleure c'est pitoyable).Même les moments d'entrainements qui prennent une bonne part du film entre 2/3 sauvetages, sont peu intéressants.Mal construit, pas de ryhtme (et la musique n'aide pas), des "copains" de classe clichés loin des forts moments de "Starship Troopers" par exemple (avec le même acteur qui jouait l'instructeur justement), une histoire d'amour risible au possible (faut voir comme Kutcher drague la donzelle et ce qu'en fait ensuite le film...euh rien en fait sauf à la fin que je vous laisse deviner).
Costner fait ce qu'il peut dans son jeu en tant qu'instructeur après avoir subi la perte de son meilleur ami lors d'un sauvetage.Et je vous le mets dans le mille, tout le film ne repose que sur ça : et vas -y que je romps avec ma femme parce que ça rajoute une couche sur le désespoire du personnage, et au cas où on aurait pas compris, le réalisateur nous sert des flashbacks au ralentit pour nous rappeler les scènes de l'accident de son pote disparue( c'est mal filmé au possible) au cas où nous spectateur, serions trop idiot pour comprendre que le personnage a peur de refaire la même chose avec sa nouvelle recrue.
Parlons en de la nouvelle recrue: je n'aime pas Kutcher (à part dans l'excellent et sous estimé "L'effet papillon") et là il me le prouve bien.Son personnage fait trop miné, trop gentil et son caractère est inexistant, que ça soit avec sa copine, ou avec son instructeur où justement ce qui aurait dû être le plus intéressant dans le film.Là, point ou peu de force de relation, mise à part et encore,une fois que Costner découvre que lui aussi a une faille et un passé.Ce qui lui vaudra tous les honneurs (ainsi que de battre les records de natation du dit maître) et ainsi ne pas se faire virer de l'académie lorsqu'il arrivera en retard la veille de sa partie de jambe en l'air avec sa miss, et lors d'une mise en garde à vue suite à une bagarre dans un bar de Navis (scène qui montre bien que les soldats américains sont tous des idiots picoleurs par rapport aux gardes côtes).
Non franchement il n'y a pas grand chose à sauver (sic) sur ce film (unique ?) sur les Coast Guards américains.La fin achéve le reste et tombe comme un cheveux sur la soupe tellement prévisible à des km.
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Re: Top Kevin Costner
Alors, voici donc le mien (sans ordre particulier) avec son goût incertain et votre dégoût certainJo Cavalier a écrit :Je ne comprends pas les motifs de sa disgrâce auprès des milieux autorisés (...)
Voici mon top 5 Kevin Kostner et j'attends évidemment le vôtre...
"DANSE AVEC LES LOUPS" (1990) de et avec Kevin Costner et sûrement son plus grand succès inégalé jusque là
"WATERWORLD" (1995) de Kevin Reynolds que j'assume aimer regarder de temps à autres, oui
"POSTMAN" (1997) de et avec Kevin Costner encore une fois et qui doit être le dernier film de l'acteur que j'ai suivi, même si je connais son "MR. BROOKS" (que je n'aime pas)
"ROBIN DES BOIS, PRINCE DES VOLEURS" (1991) de Kevin Reynolds ou le film qui a fait connaitre l'acteur, même si je connaissais déjà ces "INCORRUPTIBLES"...
Et peut-être "SILVERADO" (1985) de Lawrence Kasdan, où son rôle est secondaire mais le film fait bien partie de sa filmographie, ou sinon "SENS UNIQUE" (1987) de Roger Donaldson, qui lui donne un premier rôle d'officier de Marine sympa, sans que je sache me limiter à cinq titres...
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Re: Top Kevin Costner
Dans le désordre, je dirais (pour ses meilleurs films)
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Re: Top Kevin Costner
Pareil, en tout cas pas !Coast guard
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Re: Top Kevin Costner
Je me permets de te conseiller son magnifique Open Range, un très beau film, touchant, tendre et sec tout à la fois, avec l'un des meilleurs règlements de compte westerniens de ces dernières années !Happy Charly a écrit :Alors, voici donc le mien (sans ordre particulier) avec son goût incertain et votre dégoût certainJo Cavalier a écrit :Je ne comprends pas les motifs de sa disgrâce auprès des milieux autorisés (...)
Voici mon top 5 Kevin Kostner et j'attends évidemment le vôtre...
"DANSE AVEC LES LOUPS" (1990) de et avec Kevin Costner et sûrement son plus grand succès inégalé jusque là
"WATERWORLD" (1995) de Kevin Reynolds que j'assume aimer regarder de temps à autres, oui
"POSTMAN" (1997) de et avec Kevin Costner encore une fois et qui doit être le dernier film de l'acteur que j'ai suivi, même si je connais son "MR. BROOKS" (que je n'aime pas)
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Re: Top Kevin Costner
Je plussoie pour Open Range. Très beau film, parfois désenchanté, parfois nimbé d'une étrange nostalgie envers cette époque.Watkinssien a écrit :Je me permets de te conseiller son magnifique Open Range, un très beau film, touchant, tendre et sec tout à la fois, avec l'un des meilleurs règlements de compte westerniens de ces dernières années !