Un fauteuil pour deux (John Landis - 1987)
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Un fauteuil pour deux (John Landis - 1987)
Suite à un pari entre les deux richissimes frères Duke, un jeune cadre d'entreprise ambitieux (Dan Aycroyd) et un clochard (Eddie Murphy) se retrouve du jour au lendemain dans la peau de l'autre. Quand ils s'apercoivent tous deux qu'ils se sont fait avoir, ils vont s'associer pour rendre la monnaie de leur pièce à nos deux parieurs...
Voilà un film que beaucoup considèrent comme un classique de la comédie américaine des années 80. C'est d'ailleurs le seul film de John Landis que j'apprécie vraiment avec les Blues Brothers et le loup-garou de Londres. C'est très réussie et vraiment méchant.
le duo comique formé par Eddie Murphy et Dan Aycroyd fonctionne à merveille et Jamis Lee Curtis nous dévoile sa superbe plastique...tout va pour le mieux!
le réalisateur arrive d'ailleurs à nous placer une référence à l'un de ses films précédents, Shlock le tueur à la banane. La fin est joyeusement amorale. Un film comme ca, ca fait vraiment plaisir à voir.
Voilà un film que beaucoup considèrent comme un classique de la comédie américaine des années 80. C'est d'ailleurs le seul film de John Landis que j'apprécie vraiment avec les Blues Brothers et le loup-garou de Londres. C'est très réussie et vraiment méchant.
le duo comique formé par Eddie Murphy et Dan Aycroyd fonctionne à merveille et Jamis Lee Curtis nous dévoile sa superbe plastique...tout va pour le mieux!
le réalisateur arrive d'ailleurs à nous placer une référence à l'un de ses films précédents, Shlock le tueur à la banane. La fin est joyeusement amorale. Un film comme ca, ca fait vraiment plaisir à voir.
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Merci, je vais voir ça.bogart a écrit :Julien Léonard a écrit :Je ne l'ai jamais vu ce film... J'aurais dû y'a déjà longtemps...
Disponible à petit prix là
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Très bonne comédie. LE PRINCE A NEW YORK (je crois que ça s'appelle comme ça) est aussi vraiment pas mal et assez sous estimé, il me semble.
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Ce qui est rigolo, c'est que dans Le Prince à New York, il y a une apparition des deux frères machiavéliques d'Un Fauteuil pour Deux (Don Ameche et Ralph Bellamy).
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Un prince a new-york c'est sympa en effet mais c'est quand meme quelques coudées en dessous d'un fauteuil pour deux. Il manque tout de meme ce petit quelque chose qui rend un fauteuil pour deux si réussi.frédéric a écrit :Très bonne comédie. LE PRINCE A NEW YORK (je crois que ça s'appelle comme ça) est aussi vraiment pas mal et assez sous estimé, il me semble.
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Exactement. Et en SDF qui plus est. Un superbe clin d'oeil en effet.Wall of Voodoo Fan a écrit :Ce qui est rigolo, c'est que dans Le Prince à New York, il y a une apparition des deux frères machiavéliques d'Un Fauteuil pour Deux (Don Ameche et Ralph Bellamy).
Sinon, j'adore Un fauteuil pour deux à mon tour. Le duo fonctionne super bien, l'inversion de rôles confère aux deux acteurs un panel de scènes comico-dramatiques très bien vu et les deux frangins font deux méchants absolument délicieux (J'adore la séquence de la bourse, jubilatoire au possible où on voit les deux duos se faire face pour la seule et unique fois du film)
A noter une apparition de James Belushi dans le train, dans rôle de fêtard déguisé en gorille! L'équipe du saturday night live de l'époque au grand complet en somme
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Oui, c'est assez marrant.Frank Bannister a écrit :Un prince a new-york c'est sympa en effet mais c'est quand meme quelques coudées en dessous d'un fauteuil pour deux. Il manque tout de meme ce petit quelque chose qui rend un fauteuil pour deux si réussi.frédéric a écrit :Très bonne comédie. LE PRINCE A NEW YORK (je crois que ça s'appelle comme ça) est aussi vraiment pas mal et assez sous estimé, il me semble.
John Landis fait du personnage de Murphy une inversion totale du postulat de départ de Un fauteuil pour deux : Il commence en riche pour devenir pauvre, même si c'est temporairement. La "faiblesse" toute relative du film, car il reste très sympathique, provient du fait qu'il n'y a pas vraiment de renversement incroyable concernant le personnage du prince puisqu'il a vraiment tout pour lui, des qualités innombrables, une culture établi, un refus du superficiel dans sa vie amoureuse et une absence totale de jugement sur les pauvres qu'il rencontrent arrivé une fois à New York alors qu'il provient d'un milieu ultra-aisée. Le prince reste le le prince, quelque soit le contexte dans le quel il se trouve.
Alors que dans Un Fauteuil pour deux, Ackroyd qui est tout sauf un humaniste, devient clochard et alcoolo, pour finir par retrouver son statut de départ mais en retrouvant une part d'humanité, de même que Murphy, qui lui connaissait ce postulat de SDf, passera un moment par la case "opportuniste bourré de fric" pour finir redevenir le même qu'avant, mais avec un statut social complètement opposé puisque riche dorénavant.
Les deux gagnent ce qui leur manquait, alors que dans Le prince.., on se concentre sur sa course à l'amour et sa naïveté de la vie réelle, ce qui est déjà un tantinet moins trépidant tout en restant drôle comme il faut
On peut aussi citer quelques rares moments creux où Murphy se fait surtout plaisir en se déguisant pour certaines séquences de dialogues, avec celle où il se fait la conversation en jouant deux rôles (le coiffeur discutant avec un juif) ou celle du prêcheur à l'église qui sermonne ses brebis. Ca n'importe rien à l'intrigue et c'est un peu longuet, mais évidemment, ce n'est pas dommageable à la qualité de l'ensemble du film.
Sinon, on peut noter un paquet de premiers rôles savoureux qui deviendront plus ou moins connus avec le temps comme Eriq Lasalle (Benton dans Urgences), Samuel Jackson, James Earl Jones, Cuba Gooding Junior, Vondie Curtis hall (Le mec qui a fait Glitter quand même ) ou John Amos.
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Tu trouves ça longuet, perso j'adore ces séquences : c'est n'importe quoi, mais qu'est-ce qu'elles me font marrer !?Alan Shore a écrit :On peut aussi citer quelques rares moments creux où Murphy se fait surtout plaisir en se déguisant pour certaines séquences de dialogues, avec celle où il se fait la conversation en jouant deux rôles (le coiffeur discutant avec un juif) ou celle du prêcheur à l'église qui sermonne ses brebis. Ca n'importe rien à l'intrigue et c'est un peu longuet, mais évidemment, ce n'est pas dommageable à la qualité de l'ensemble du film.
Quant au rôle du pasteur, il est en fait tenu par Arsenio Hall ; dans cette séquence, Murphy interprète le chanteur complètement ringard ("sexy chocolat !!") applaudi par 3 clampins à la fin de son show.
Non vraiment, je suis super fan de ces séquences.
James Earl Jones n'était tout de même pas un débutant, à l'époque.Alan Shore a écrit :Sinon, on peut noter un paquet de premiers rôles savoureux qui deviendront plus ou moins connus avec le temps comme Eriq Lasalle (Benton dans Urgences), Samuel Jackson, James Earl Jones, Cuba Gooding Junior, Vondie Curtis hall (Le mec qui a fait Glitter quand même ) ou John Amos.
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