Mais qu'est donc devenue Valérie Kaprisky??julien a écrit :Moi c'est surtout la fille que j'avais apprécié.
Notez les films - Août 2006
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Elle a tourné quelques téléfilms (COMMISSAIRE VALENCE) et son dernier rôle au ciné est LES IRREDUCTIBLES.julien a écrit :Je crois qu'elle a jouée un petit rôle dans le dernier film de Pascal Thomas. C'est vrai qu'elle n'est plus devenue grand chose maintenant !Mais qu'est donc devenue Valérie Kaprisky??
Sinon :
LASSIE (Charles Sturridge)
Adaptation semble-t-il assez fidèle au roman original, classique et plutôt réussie. Les superbes paysages de l'Ecosse, L'Irlande et l'Île de Man font le reste, et le tout se regarde sans déplaisir avec une petite apparition de Nessie en prime. Sympa.
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Découvert Le Parrain 1 et 2 au cinéma : il n'y a pas à dire, ce sont des machines incroyablement efficaces. Le décalage entre les périodes "reconstituées" et l'esprit seventies du film est assez savoureux. La désillusion sur la vie politique du pays investirait presque les personnages d'une certaine légitimité, tout comme l'horrible empathie que l'on finit par ressentir pour Vito et Michael Corleone. Un chef d'oeuvre de perversité en même temps qu'un manifeste pour un cinéma iconoclaste ET nostalgique. Par ailleurs, la présence de Carmine Coppola à la baguette démontre que Francis a su lui aussi conserver un certain esprit de famille .
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Sauf erreur de ma part, la musique du Parrain 1 et 2, c'est avant tout Nino Rota, Carmine Coppola ayant juste composé pour la musique du mariage au début du premier. Par contre, il composera seul pour le 3...AlexRow a écrit :Par ailleurs, la présence de Carmine Coppola à la baguette démontre que Francis a su lui aussi conserver un certain esprit de famille .
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La famille Coppola est omniprésente dans ses films - celle-ci est d'ailleurs directement évoquée lors d'une séquence du deuxième film ; de plus, Sofia est baptisée une 2ème fois sous l'oeil des caméras à la fin du premier opus.AlexRow a écrit :Par ailleurs, la présence de Carmine Coppola à la baguette démontre que Francis a su lui aussi conserver un certain esprit de famille .
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Un film sauvé par une certaine ésthétique assez originale, une belle musique et quelques bons moments. Sinon, le scénario est tellement énorme que cela devient grotesque et complètement irritant (comme le personnage de Marion Cotillard) avec une fin assez débile. Déception donc, pour ce film qui a eu un certain succès à sa sortie. Bref, pas cap.
Un film sauvé par une certaine ésthétique assez originale, une belle musique et quelques bons moments. Sinon, le scénario est tellement énorme que cela devient grotesque et complètement irritant (comme le personnage de Marion Cotillard) avec une fin assez débile. Déception donc, pour ce film qui a eu un certain succès à sa sortie. Bref, pas cap.
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Je note en vrac quelques films, avec beaucoup de retard.
*Shanghaï Blues de Tsui Hark - 1984
Chef-d'oeuvre ! Une sublimisime comédie romantique, avec son triangle amoureux si touchant... Une merveille ! C'est drôle, légèr, pétillant, lumineux et émouvant à la fois. Un film qui ressemble à un hommage au cinéma passé, visuellement magnifique, et aux musiques superbes (j'adore le thème Shanghai Blues ). Kenny Bee et Sylvia Chang sont excellent, mais alors Sally Yeh est si fabuleuse, si drôle, si attachante ! Gros coup de coeur ! Du cinéma comme on rêve parfois. En voyant le trailer d'HK video, j'étais impatient de voir le film, et je dois dire que j'ai largement été comblé. Tsui Hark est grand ! Trèès impatient de voir Peking opéra blues (et Green Snake, avec Maggie )
Ce film a été mon film du mois de Juillet, je le note avec du retard.
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*Crazy Family de Sogo Ichii - 1986
Attention : film de dingue !
Une comédie déjantée sur une famille en apparence ordinaire, mais qui se révèle être complètement crazy, comme l'indique le titre. Il faut même dire que cela vire à la comédie noire, quand la famille complète se met vraiment à péter un boulon. Certains passages m'ont presque fait froid dans le dos . Excellent !
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*Histoires de cannibales de Tsui Hark - 1980
Comme le premier film de Tsui Hark, l'étrange Butterfly murders m'avait un peu échappé, je m'attendais à pourvoir être une nouvelle fois dérouté par le second film de sa filmographie. Que néni ! Ce film est complètement jubilatoire !
C'est quoi ? Une "cannibale kung-fu comédie" ? Ca semble convenir ! Un excellent film, bien sanguinolant et drôle. Vive Tsui Hark !
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*5 maîtres de Shaolin de Chang Cheh - 1974
Mon troisième film de Chang Cheh. Et il faut dire que je me suis un peu ennuyé. L'histoire n'a rien de palpitante, d'autant plus, et surtout que les personnages qui sont assez inintéressants. Quand aux combats, désolé mais ce n'est pas très crédible. On retrouve la patte du chorégraphe Liu Chia Liang vers la fin, notemment lorsqu'un des protagonistes enchaine toute ses techniques de kung-fu dans un chouette combat, mais sinon ça reste franchement décevant. Reste que c'est bien filmé, mais il y a l'interprétion qui craint. Une chose qu'apparement on retrouve chez Chang Cheh, et que je deteste, c'est la façon que les personnages ont de mourrir : je prend un coup de sabre dans les côtelettes ; je fais 2-3 pas en me tordant et en poussant des gargouillements ; et au moment de mourrir je fais un saltaud sur le coté pour bien montré que j'ai bobo. C'est presque drôle.
Je suis peut-être un peu dur, mais quand j'enchaine les films de kung-fu de Liu Chia Liang, tels que La mante religieuse, Shaolin contre Ninja ou Martial Club, et qu'ensuite je vois ce 5 maîtres de Shaolin, ya de quoi être décu, surtout quand on voit la réputation du monsieur, qui m'avait déjà gonflé avec son 5 venins mortels. J'avais beaucoup aimé Le justicier de Shanghai que j'avais acheté peu après sa sortie en dvd, même si une fois de plus la crédibilté n'est pas de mise (la hache dans le bide), mais là je suis un peu en froid avec le cinéaste.
*Shanghaï Blues de Tsui Hark - 1984
Chef-d'oeuvre ! Une sublimisime comédie romantique, avec son triangle amoureux si touchant... Une merveille ! C'est drôle, légèr, pétillant, lumineux et émouvant à la fois. Un film qui ressemble à un hommage au cinéma passé, visuellement magnifique, et aux musiques superbes (j'adore le thème Shanghai Blues ). Kenny Bee et Sylvia Chang sont excellent, mais alors Sally Yeh est si fabuleuse, si drôle, si attachante ! Gros coup de coeur ! Du cinéma comme on rêve parfois. En voyant le trailer d'HK video, j'étais impatient de voir le film, et je dois dire que j'ai largement été comblé. Tsui Hark est grand ! Trèès impatient de voir Peking opéra blues (et Green Snake, avec Maggie )
Ce film a été mon film du mois de Juillet, je le note avec du retard.
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*Crazy Family de Sogo Ichii - 1986
Attention : film de dingue !
Une comédie déjantée sur une famille en apparence ordinaire, mais qui se révèle être complètement crazy, comme l'indique le titre. Il faut même dire que cela vire à la comédie noire, quand la famille complète se met vraiment à péter un boulon. Certains passages m'ont presque fait froid dans le dos . Excellent !
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*Histoires de cannibales de Tsui Hark - 1980
Comme le premier film de Tsui Hark, l'étrange Butterfly murders m'avait un peu échappé, je m'attendais à pourvoir être une nouvelle fois dérouté par le second film de sa filmographie. Que néni ! Ce film est complètement jubilatoire !
C'est quoi ? Une "cannibale kung-fu comédie" ? Ca semble convenir ! Un excellent film, bien sanguinolant et drôle. Vive Tsui Hark !
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*5 maîtres de Shaolin de Chang Cheh - 1974
Mon troisième film de Chang Cheh. Et il faut dire que je me suis un peu ennuyé. L'histoire n'a rien de palpitante, d'autant plus, et surtout que les personnages qui sont assez inintéressants. Quand aux combats, désolé mais ce n'est pas très crédible. On retrouve la patte du chorégraphe Liu Chia Liang vers la fin, notemment lorsqu'un des protagonistes enchaine toute ses techniques de kung-fu dans un chouette combat, mais sinon ça reste franchement décevant. Reste que c'est bien filmé, mais il y a l'interprétion qui craint. Une chose qu'apparement on retrouve chez Chang Cheh, et que je deteste, c'est la façon que les personnages ont de mourrir : je prend un coup de sabre dans les côtelettes ; je fais 2-3 pas en me tordant et en poussant des gargouillements ; et au moment de mourrir je fais un saltaud sur le coté pour bien montré que j'ai bobo. C'est presque drôle.
Je suis peut-être un peu dur, mais quand j'enchaine les films de kung-fu de Liu Chia Liang, tels que La mante religieuse, Shaolin contre Ninja ou Martial Club, et qu'ensuite je vois ce 5 maîtres de Shaolin, ya de quoi être décu, surtout quand on voit la réputation du monsieur, qui m'avait déjà gonflé avec son 5 venins mortels. J'avais beaucoup aimé Le justicier de Shanghai que j'avais acheté peu après sa sortie en dvd, même si une fois de plus la crédibilté n'est pas de mise (la hache dans le bide), mais là je suis un peu en froid avec le cinéaste.
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Le commentaire audio de la trilogie est à ce titre édifiante: ce n'est qu'une longue litanie de "Et ça c'est mon tonton Guido, l'était plus tout frais le Guido, mais on l'a fait apparaître à l'image, ça fait des souvenirs.... Et voilà ma cousine Rosa...". Talia (diminutif de Italia) Shire est par ailleurs la sœur de Coppola, et leur oncle Anton apparaît dans Le Parrain III, où il est le chef d'orchestre conduisant l'opéra Cavalleria Rusticana à Palerme. Maintenant que tu es chaud-bouillant, AlexRow, j'espère d'ailleurs que tu vas te jeter sur ce dernier opus (mon préféré)Swan a écrit :La famille Coppola est omniprésente dans ses films - celle-ci est d'ailleurs directement évoquée lors d'une séquence du deuxième film ; de plus, Sofia est baptisée une 2ème fois sous l'oeil des caméras à la fin du premier opus.AlexRow a écrit :Par ailleurs, la présence de Carmine Coppola à la baguette démontre que Francis a su lui aussi conserver un certain esprit de famille .