Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019 [clos]
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Escape room - 3/10
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Un peu absent ces derniers temps, je ne mesure pas exactement la teneur de mes retards en matière de mention de séances, donc je compte sur l'indulgence de Karras si doublon il y a :
-Sunset de L Nemes m'apparait comme une réussite plus secrète et cryptée que Le fils de Saul mais elle n'en demeure pas moins impressionnante par ses stratégies immersives assez diversifiées. Ce n'est pas une maestria sans objet mais tout le contraire: comme pour Khroustaliov ma voiture de Guerman , le fait de ne pouvoir immédiatement comprendre les enjeux participe du tourbillon de l'Histoire qui ensuite débouche sur un ou plusieurs couperets assez saisissants.En dehors de Positif, j'ai l'impression que le film n'a pas été compris ou plutôt qu'il a été l'objet d'un règlement de compte après la consécration du fils de Saul ( cf la loghorrée des Cahiers dans le sillage de l'interdit rivettien).Pour ma part 10/10, le second en 2019 après celui de Un long voyage de Bi Gan.
-Dernier amour de B Jacquot est un très beau film qui impose avec évidence un épisode méconnu du trajet de Casanova. Je ne peux m'empêcher de comparer la subtilité du propos de Jacquot ( le coucher d'un astre , le crépuscule d'une époque, la fin d'un séducteur pris au piège de la séduction) avec les lourdeurs pachydermiques de Lanthimos pour La favorite.Lindon est sacrément fort pour suggérer une forme de lassitude contenue par un geste, un regard et S Martin confirme son talent éclatant encore une fois.Musique et photographie parfois deviennent sublimes. 9/10
-Le livre d'images de JLG très beau PS aux Histoire(s) du cinéma dont il reprend la facture et étend le propos vers une formule plus condensée. Une structure en chapitres savamment ordonnés.Des extraits triturés et comme réinventés ( une séquence géniale autour de Johnny Guitar , une autre avec des trains dans le cinéma). JLG n'a rien perdu de son inventivité de bricoleur. 9,5/10
-Meurs, monstre, meurs de A Fadel est un objet bizarroide dans la lignée du film d'Amat Escalante La région sauvage. Film qui cumule les trouvailles qui sont devenus "trucs" du nouveau cinéma d'Amérique latine ( plan séquence long, acteurs assez disgracieux dont devrait s'échapper une forme d'épiphanie cf films et discours de C Reygadas) et ceux du film de monstre dans ses acceptions les plus gores dans le côté crado et grotesque ( une séquence m'a fait penser à du Brian Yuzna) sans oublier une pincée de néopolar coréen ( Memories of murder, The strangers).Qui trop embrasse mal étreint: 3/10
-Sunset de L Nemes m'apparait comme une réussite plus secrète et cryptée que Le fils de Saul mais elle n'en demeure pas moins impressionnante par ses stratégies immersives assez diversifiées. Ce n'est pas une maestria sans objet mais tout le contraire: comme pour Khroustaliov ma voiture de Guerman , le fait de ne pouvoir immédiatement comprendre les enjeux participe du tourbillon de l'Histoire qui ensuite débouche sur un ou plusieurs couperets assez saisissants.En dehors de Positif, j'ai l'impression que le film n'a pas été compris ou plutôt qu'il a été l'objet d'un règlement de compte après la consécration du fils de Saul ( cf la loghorrée des Cahiers dans le sillage de l'interdit rivettien).Pour ma part 10/10, le second en 2019 après celui de Un long voyage de Bi Gan.
-Dernier amour de B Jacquot est un très beau film qui impose avec évidence un épisode méconnu du trajet de Casanova. Je ne peux m'empêcher de comparer la subtilité du propos de Jacquot ( le coucher d'un astre , le crépuscule d'une époque, la fin d'un séducteur pris au piège de la séduction) avec les lourdeurs pachydermiques de Lanthimos pour La favorite.Lindon est sacrément fort pour suggérer une forme de lassitude contenue par un geste, un regard et S Martin confirme son talent éclatant encore une fois.Musique et photographie parfois deviennent sublimes. 9/10
-Le livre d'images de JLG très beau PS aux Histoire(s) du cinéma dont il reprend la facture et étend le propos vers une formule plus condensée. Une structure en chapitres savamment ordonnés.Des extraits triturés et comme réinventés ( une séquence géniale autour de Johnny Guitar , une autre avec des trains dans le cinéma). JLG n'a rien perdu de son inventivité de bricoleur. 9,5/10
-Meurs, monstre, meurs de A Fadel est un objet bizarroide dans la lignée du film d'Amat Escalante La région sauvage. Film qui cumule les trouvailles qui sont devenus "trucs" du nouveau cinéma d'Amérique latine ( plan séquence long, acteurs assez disgracieux dont devrait s'échapper une forme d'épiphanie cf films et discours de C Reygadas) et ceux du film de monstre dans ses acceptions les plus gores dans le côté crado et grotesque ( une séquence m'a fait penser à du Brian Yuzna) sans oublier une pincée de néopolar coréen ( Memories of murder, The strangers).Qui trop embrasse mal étreint: 3/10
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Film que je regrette d'avoir raté (indépendamment de ta note, d'ailleurs).ballantrae a écrit :-Sunset de L Nemes m'apparait comme une réussite plus secrète et cryptée que Le fils de Saul mais elle n'en demeure pas moins impressionnante par ses stratégies immersives assez diversifiées. Ce n'est pas une maestria sans objet mais tout le contraire: comme pour Khroustaliov ma voiture de Guerman , le fait de ne pouvoir immédiatement comprendre les enjeux participe du tourbillon de l'Histoire qui ensuite débouche sur un ou plusieurs couperets assez saisissants.En dehors de Positif, j'ai l'impression que le film n'a pas été compris ou plutôt qu'il a été l'objet d'un règlement de compte après la consécration du fils de Saul ( cf la loghorrée des Cahiers dans le sillage de l'interdit rivettien).Pour ma part 10/10, le second en 2019 après celui de Un long voyage de Bi Gan.
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Tito et les oiseaux : 6,5/10
Tanguy, le retour : 4,5/10
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Les oiseaux des passage: 8/10
Synonymes: 5/10
Tel Aviv on fire: 7,5/10
Une intime conviction: 6,5/10
Celle que vous croyez: 5/10
Unicorn store: 5,5/10
Le garçon qui dompta le vent: 5,5/10
Le silence: 3/10
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Tel Aviv on fire: 7,5/10
Une intime conviction: 6,5/10
Celle que vous croyez: 5/10
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Le silence: 3/10
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
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The Highwaymen (Netflix) 4/10
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Terra Willy : 7/10
Nouvelle réussite pour le studio toulousain Tat, après Les as de la jungle hautement sympathique. C'est un film d'aventures pour les enfants, bien troussé, avec un univers inventif et une qualité visuelle qui n'ont rien à envier aux américains. Avec encore plus d'ambition dans l'écriture, je veux dire cibler toute la famille, et quelques audaces supplémentaires, on ne serait pas loin d'un Pixar à mon avis...
Nouvelle réussite pour le studio toulousain Tat, après Les as de la jungle hautement sympathique. C'est un film d'aventures pour les enfants, bien troussé, avec un univers inventif et une qualité visuelle qui n'ont rien à envier aux américains. Avec encore plus d'ambition dans l'écriture, je veux dire cibler toute la famille, et quelques audaces supplémentaires, on ne serait pas loin d'un Pixar à mon avis...
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Mirage (Netflix) : 4,5/10
Trop long, guère passionnant, mais ça m’a donné envie de revoir Fréquence interdite et L’Effet papillon.
Polar (Netflix) : 1/10
Ça fait longtemps que je n’avais pas vu un truc aussi nul.
Glass : 5/10
Mouais bof, ça ne raconte pas grand chose de plus que ce qu’on sait déjà, et ça s’étire laborieusement sur plus de deux heures.
Trop long, guère passionnant, mais ça m’a donné envie de revoir Fréquence interdite et L’Effet papillon.
Polar (Netflix) : 1/10
Ça fait longtemps que je n’avais pas vu un truc aussi nul.
Glass : 5/10
Mouais bof, ça ne raconte pas grand chose de plus que ce qu’on sait déjà, et ça s’étire laborieusement sur plus de deux heures.
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La Malédiction de la Dame Blanche : 3/10