Je pensais qu'il s'arrêtait net, étant donné que le film abandonne (temporairement donc) le couple de l'ouverture pour d'autres personnages.Supfiction a écrit :Le "segment" ne s'arrête pourtant pas au milieu du film, son épilogue n'arrive qu'à la fin. Il est tellement bien joué et dialogué qu'il est frustrant que le réalisateur ait pollué son film avec d'autres histoires sans liens et vaguement reliées. C'est une facilité d'écriture, en retravaillant le scénario il pouvait aboutir au film coup de poing que l'ouverture laissait espérer. La frustration d'être passé à côté de ce grand film n'empêche pas une impression générale très positive.AntonChigurh a écrit :*Rottiers .
Vu le segment Vincent Rottiers/Alice Isaaz dont tu parles et c'est vrai qu'il prend aux tripes.
La séquence de début de film dans la chambre de cet hôtel de luxe de la Côte d'Azur, avec ce jeune couple tout juste marié qui vient y célébrer sa nuit de noces est très efficace.
On ne s'attend franchement pas à ça.
J'ai abandonné le film un peu après ce segment, souvenir d'un ennui total .
Pas convaincu de ce procédé qui fait tomber la tension savamment installée complètement à plat, d'où l'abandon.
S'il repasse sur OCS je lui laisserai une seconde chance étant donné l'impression générale très positive que t'as laissé le film .