Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
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Je l'ai également préféré à Drive.
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
phylute a écrit :Tout de même estomaqué que l'on dise de ce Only God Forgives qu'il repose sur un scénario squelettique. Pour moi, c'est un film d'une grande richesse qui travaille brillamment sur plusieurs niveaux de récits qui s'entremêlent, sans que l'ensemble ne devienne totalement illisible et abscons. Un modèle de scénario pour ma part, donc...
L'ombre de Lynch plane bien sûr sur le film, comme elle le faisait sur déjà sur Inside Job. Mais Refn a toujours fonctionné à la manière d'un de Palma, en se coltinant sans se cacher à ses maîtres de cinéma, ça ne me gêne donc pas plus ici que dans ses autres films. J'éprouve même un énorme plaisir à retrouver ces sensations lynchiennes
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
Je ne vais rien t'apprendre, mais il faut quand même jauger au-delà du "plan gore" et voir qu'il y a une différence entre la violence de Predator et celle de OGF.Ratatouille a écrit :Personnellement, avant 12 ans, j'avais déjà découvert un paquet de films bien plus violents et dérangeants que ce OGF.
Je me souviens que, pour minimiser l'impact, tu parlais déjà avec aplomb de suggestion dans Drive et tu arrives à nouveau à le faire pour ce film-ci... mais au-delà du fait que ce soit faux - a fortiori pour ce dernier (Refn ne resiste jamais, même le temps d'une ou deux secondes, à un joli plan graphique de décapitation, d'éviscération, de tranchage de jugulaire et j'en passe...), le plus violent n'est pas forcément dans ce que l'on voit quand même in fine mais bien dans la façon de l'orchestrer lentement, de faire monter la tension, de l'étirer, de susciter l'attente (ou l’appréhension).
Il y a dans OGF une valse incessante avec la douleur et le putride qui, quoi qu'on en pense au final, est beaucoup plus perverse qu'une giclure à la Kill Bill vol.1 (qui, lui, était bien interdit aux moins de 16 ans si je ne dis pas de bêtise)
EDIT : A la reflexion, on est plus dans un schéma se rapprochant de la séquence de l'oreille dans Reservoir Dogs... mais étendu sur un film entier et avec des infra en lieu et place de Stealers Wheel.
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
Pour moi, il n'existe pas un seul plan dans OGF qui ne cherche pas la distanciation dans le voyeurisme de la violence, c'est-à-dire qu'il existe une réalité de mise en scène, qui d'une manière ou d'une autre, cherche à se décaler de la violence montrée. L'extrême brièveté d'un plan est déjà une manière de vouloir se décaler du voyeurisme. Mais il utilise encore beaucoup d'autres procédures de distanciation qu'il serait intéressant d'analyser en images.Gounou a écrit :Je ne vais rien t'apprendre, mais il faut quand même jauger au-delà du "plan gore" et voir qu'il y a une différence entre la violence de Predator et celle de OGF.Ratatouille a écrit :Personnellement, avant 12 ans, j'avais déjà découvert un paquet de films bien plus violents et dérangeants que ce OGF.
Je me souviens que tu parlais déjà avec aplomb de suggestion pour défendre Drive et tu arrives à nouveau à le faire pour ce film-ci... mais au-delà du fait que ce soit faux pour l'un comme pour l'autre (Refn ne resiste jamais, même le temps d'une ou deux secondes, à un joli plan graphique de décapitation, d'éviscération, de tranchage de jugulaire et j'en passe...), le plus violent n'est pas forcément dans ce que l'on voit quand même in fine mais bien dans la façon de l'orchestrer lentement, de faire monter la tension, de l'étirer, de susciter l'attente (ou l’appréhension). Il y a dans OGF une valse continuelle avec la douleur et le putride qui, quoi qu'on en pense au final, est beaucoup plus perverse qu'une giclure à la Kill Bill vol. 1 (qui, lui, était bien interdit aux moins de 16 ans si je ne dis pas de bêtise)
Par ailleurs, je l'avais indiqué plus haut, Refn propose un discours sur cette "violence montrée". Si Refn est un voyeur, alors tous les cinéastes du monde le sont. Chez Lynch et Kubrick, nous voyons également l'horreur, mais même volonté de distanciation. Pour finir, plusieurs niveaux de lecture proposés par le cinéaste, en ce sens que nous ne sommes pas dans la réalité mais dans le symbole. La narration indique précisément une rêverie, donc pas la réalité, donc en distance de la réalité, donc en distance du voyeurisme. Nous sommes en mode "expressionniste" et non pas réel ! Les rêves, les vrais, pas ceux du cinéma, montrent bien la violence. Il est intéressant de la voir dans le cinéma aussi, comme projection des rêves dans la réalité, mais de manière la plus suggestive qui soit. C'est ce que cherche à faire le cinéaste...
...maintenant, pour aller dans ton sens, Gounou, je trouve que le cinéaste peut encore s'améliorer dans ces propositions de distanciation de la violence, parfois à la limite, masquant mal sa fascination pour cette même violence. Pour l'âge des spectateurs, je trouve également que 12 ans, c'est trop jeune, car ils ne peuvent clairement comprendre tous les niveaux de lecture proposés par le cinéaste et s'idenfifier à la violence du premier degré de compréhension. Mais ça serait exactement la même chose pour "Blue Velvet" ou "Orange mécanique", deux films "ultra violents" et en parfaite distanciation du voyeurisme de la violence.
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
Il y a sans doute une intention de distanciation, d'un jeu discursif et hautement symbÔlique... mais en matière de voyeurisme, je pense qu'il y a à dire. Tout comme j'ai vu plus "bref" ou "suggéré" que les plans sur le cadavre de la prostituée (très exactement deux... séparés par d'autres plans... pourquoi deux ??), sur les paupières lacérées, sur un torse ouvert libérant une cage thoracique, etc.
Dans Lost Highway, Lynch jouait sur la stupeur, sur l'incongruité d'un homme empalé dans le coin une table high tech... il y avait quelque chose du surgissement, de l'imprévisibilité de l’événement et de ses réactions dans un univers onirique... mais sans la complaisance, la redondance et le détail morbide superflu. Dans le genre, je n'aime pas l'introduction plutôt réaliste en matière de violence de Wild at Heart (film que j'aime globalement moyennement, mais pour d'autres raisons)
Dans Lost Highway, Lynch jouait sur la stupeur, sur l'incongruité d'un homme empalé dans le coin une table high tech... il y avait quelque chose du surgissement, de l'imprévisibilité de l’événement et de ses réactions dans un univers onirique... mais sans la complaisance, la redondance et le détail morbide superflu. Dans le genre, je n'aime pas l'introduction plutôt réaliste en matière de violence de Wild at Heart (film que j'aime globalement moyennement, mais pour d'autres raisons)
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
Et bien donc je suis bien heureux que tu admets cette volonté et intention de distanciation et donc de suggestivité. Après il s'agit de dextérité des cinéastes en la matière, et comme je l'ai indiqué, Refn possède encore quelques lourdeurs. Et comme toi, j'estime Lynch beaucoup plus fort à ce jeu, même si lui aussi a dérapé (Wild at Heart). Je me souviens par exemple pour Boorman, autre grand cinéaste expressionniste, de ne pas avoir apprécié sa séquence du "cochon" dans "Délivrance", pour des raisons de voyeurisme de la violence. Par ailleurs, le film était sans cesse en distanciation et fameusement symbolique. Malgré leurs erreurs, je trouve ces cinéastes extraordinaires de vouloir travailler sur cette thématique du voyeurisme de la violence. Et je trouve que globalement, ils s'en sortent vraiment bien.Gounou a écrit :Il y a sans doute une intention de distanciation, d'un jeu discursif et hautement symbÔlique... mais en matière de voyeurisme, je pense qu'il y a à dire. Tout comme j'ai vu plus "bref" ou "suggéré" que les plans sur le cadavre de la prostituée (très exactement deux... séparés par d'autres plans... pourquoi deux ??), sur les paupières lacérées, sur un torse ouvert libérant une cage thoracique, etc.
Dans Lost Highway, Lynch jouait sur la stupeur, sur l'incongruité d'un homme empalé dans le coin une table high tech... il y avait quelque chose du surgissement, de l'imprévisibilité de l’événement et de ses réactions dans un univers onirique... mais sans la complaisance, la redondance et le détail morbide superflu. Dans le genre, je n'aime pas l'introduction plutôt réaliste en matière de violence de Wild at Heart (film que j'aime globalement moyennement, mais pour d'autres raisons)
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
J'avais un peu peur mais j'ai finalement passé un très bon moment. Il faut dire que j'adore cet esthétique ultra colorée de rouge et autres couleurs pétantes très giallesque et que j'ai donc pris un sacré pied visuel. L'intrigue, de son côté, ne m'a pas paru très intéressante mais j'ai quand même adhéré à cette vengeance bien brutale, seules les dix dernières minutes m'ont un peu fait décrocher
Les moments zarbis comme les scènes de chant étaient sympas et j'ai trouvé les dialogues souvent très drôles avec quelques répliques impayables dignes des 80's comme "Dis moi exactement combien de queues tu peux accueillir en même temps dans ta charmante boite à foutre" et le génial "C'est un peu plus compliqué que ça maman, il a violé et tué une fille de 16 ans. / Il devait avoir ses raisons".
Un bon trip référentiel visuellement excellent racoleur, vulgaire et violent que j'ai largement préféré à Amer qui adopte un peu les mêmes procédés d'hommage intello à un genre trivial.
7,5/10
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Les moments zarbis comme les scènes de chant étaient sympas et j'ai trouvé les dialogues souvent très drôles avec quelques répliques impayables dignes des 80's comme "Dis moi exactement combien de queues tu peux accueillir en même temps dans ta charmante boite à foutre" et le génial "C'est un peu plus compliqué que ça maman, il a violé et tué une fille de 16 ans. / Il devait avoir ses raisons".
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
"Only God Forgives" est un film finalement assez cohérent thématiquement et esthétiquement avec ce que Refn a fait jusqu'ici. Ce type a son univers à lui et ce ne sont pas les références ou les quelques idées qu'il pioche ça et là qui remettront en question son talent créatif. De plus il a montré qu'il était capable de se diversifier dans ses différents projets tout en prenant certains risques, et je trouve ça assez admirable.hellrick a écrit : Un bon trip référentiel visuellement excellent racoleur, vulgaire et violent que j'ai largement préféré à Amer qui adopte un peu les mêmes procédés d'hommage intello à un genre trivial.
"Amer" c'est le film de personnes qui à mon sens ont encore tout à prouver et qui devraient réfléchir à deux fois avant de se lancer dans un long métrage. Ils se sont peut être éclatés avec leur trip virtuose qui ne raconte rien, mais moi ça m'a franchement saoulé à la longue (et pourtant je suis pas le premier à cracher sur du cinéma formaliste d'habitude).
Mon top éditeurs : 1/Carlotta 2/Gaumont 3/Studiocanal 4/Le Chat 5/Potemkine 6/Pathé 7/L'Atelier 8/Esc 9/Elephant 10/Rimini 11/Coin De Mire 12/Spectrum 13/Wildside 14/La Rabbia-Jokers 15/Sidonis 16/Artus 17/BQHL 18/Bach
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
Amer m'a aussi saoulé, j'étais pressé que ça se termine, en plus j'étais à l'avant première avec les réalisateurs dans la (petite) salle qui répondaient aux questions et du coup j'ai pas su quoi leur demander. Leur court dans ABC Of death est dans le même style mais dure 4 minutes au lieu de 90, ça aide. Je suis quand même confiant pour leur prochain giallo.Blue a écrit :Ils se sont peut être éclatés avec leur trip virtuose qui ne raconte rien, mais moi ça m'a franchement saoulé à la longue.
Pour Refn j'ai juste vu Vahalla Rising que j'avais détesté, le sujet des Pusher et Bronson ne me tente pas donc je passe mon tour mais je tenterais peut être Drive. Et sans doute son prochain "thriller érotique" (hum!). Et puis j'ai même vu qu'il avait adapté Miss Marple en téléfilm ce qui m'intéresse aussi.
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
"Nemesis" est passé ce mois-ci sur TMC (et je l'ai loupé hmpf).hellrick a écrit :Et puis j'ai même vu qu'il avait adapté Miss Marple en téléfilm ce qui m'intéresse aussi.
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
Nemesis repasse demain sur TMC à 13h45.
Larry Smith à la photo, Refn à la réalisation. Matthew Newman au montage (il a monté tous les films de Refn depuis ce téléfilm). J'ai hâte de voir ça.
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
Only God Forgives, dernier machin auteurisant de Nicolas Refn, confirme tout le mal que je pense du Monsieur, cinéaste décidément très opportuniste quand il n'est pas grossier.
Après son "2001 du film de viking" ( sic! ) et son bréviaire consacré à Michael Mann/William Friedkin, Nicolas Refn continue avec Only God Forgives ( quel titre ridicule !) de régler ses comptes à ses idoles : cette fois-ci, c'est au tour de Kubrick et de Lynch de passer à la moulinette Refn. Comme pour Herzog et consoeurs, les deux ne s'en sortent pas mieux. Ils y laissent des plumes, tant le traitement de Refn schématise, caricature. Telle une passoire, le traitement ne retient que la matière lourde, les éléments les plus importants et facilement identifiables : seuls les gimmicks propres au style de chacun sont retenus. Comme tout tâcheron qui se respecte, le bougre pense que les ingrédients font la recette magique qui permet, une fois appliqués dans le bon ordre, de donner lieu à un chef-d'oeuvre instantané. Refn ne le sait pas mais il confond application et création, ingrédients et alchimie... Pour ce besogneux, il ne s'agit pas de jouer au DJ comme Tarantino. Mais, bel et bien d'appliquer mécaniquement et bêtement les trucs qu'il a identifié chez ses ainés : c'est-à-dire l'ensemble des procédés de mise en scène ( travellings fluides, plans longs, ambiance sonore anxiogène, couloirs sombres, clair-obscurs, pose statuaire et jeu anti-naturel) composant, aux yeux de Refn, l'essence du cinéma de David Lynch et S.Kubrick. Faire à la manière de Kubrick n'est autre que cette opération consistant à étirer une scène au-delà de 2 mn, de la munir d'une belle photo, de jouer sur la symétrie, diriger les acteurs comme des robots pour faire illusion... Idem pour Lynch : couloirs et musique atmosphérique en guise de. À l'instar de Herzog dans Vallala machin chose et Mann et Friedkin dans Drive, Only God forgives ne dépasse jamais le stade de la copie sans âme, ronronnante, manipulant les références comme autant de gages donnés au spectateur averti, coeur de cible de cette vaste et stérile opération de racolage.
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
Pas vu le film, mais ça fait de la peine de voir une critique comme ça (ceci dit bien argumentée...)...
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
Pourquoi "de la peine" ? (ou plutôt, pour qui ?)gnome a écrit :Pas vu le film, mais ça fait de la peine de voir une critique comme ça (ceci dit bien argumentée...)...
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Re: Only God Forgives (Nicolas Winding Refn - 2013)
Je me suis mal exprimé, je ne devrais pas parler de peine... Mais ça me désole un peu qu'on voie Winding Refn comme un simple tâcheron qui se contente de copier...Gounou a écrit :Pourquoi "de la peine" ? (ou plutôt, pour qui ?)gnome a écrit :Pas vu le film, mais ça fait de la peine de voir une critique comme ça (ceci dit bien argumentée...)...