Cependant, ce n'est pas pour autant que le cinéma ne m'a pas procuré de grosses frousses qui me faisait hurler ou planquer quelque part. Généralement, ces frousses arrivaient de façon inattendue dans des films très grand public.
Je me rappelle qu'à chaque fois que je regardais Banzai, j'appréhendais ce moment :
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Plus récemment, dans le mauvais Dinner For Schmuks, la marionnette m'a filé une grosse angoisse (à ma décharge, je somnolais un peu) :
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Et vous ?

Et cadeau bonus, deux traumatismes pub de mon enfance :
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