Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Moi qui croyait naivement que les oscars et autres prix recompensaient les qualites cinematographiques d'un film (real, scenar, acteurs, photo...).Supfiction a écrit :Rick Deckard a écrit :Le péril jaune ?
Le truc, c’est que, pour Black Panther comme pour cette guimauve (à moins que ce soit meilleur que ca en a l’air), on a l’impression que la qualité des films est en option. Ce qui compte c’est l’origine ethnique des protagonistes.
Bof, quand Dans la chaleur de la nuit a gagné devant Devine qui vient diner c'était pas pareil? C'est quand même pas des incontournables non plus...harry a écrit :Moi qui croyait naivement que les oscars et autres prix recompensaient les qualites cinematographiques d'un film (real, scenar, acteurs, photo...).
Ou alors c'etait y'a longtemps...
Bien vu. Devant Bonnie and Clyde et Le Laureat surtout.hellrick a écrit :Bof, quand Dans la chaleur de la nuit a gagné devant Devine qui vient diner c'était pas pareil? C'est quand même pas des incontournables non plus...harry a écrit :Moi qui croyait naivement que les oscars et autres prix recompensaient les qualites cinematographiques d'un film (real, scenar, acteurs, photo...).
Ou alors c'etait y'a longtemps...
Dans la chaleur de la nuit est un bon film, c'est déjà ça, même si c'est Poitier (même pas nommé) qui aurait dû avoir l'oscar, pas Steiger. Le couronnement du film se fait par ailleurs dans un contexte "difficile" (MLK s'était fait descendre quelques jours avant la cérémonie) qui explique sa victoire. Ajoutons mine de rien que c'était le tout premier film policier à remporter le trophée en presque quarante ans d'existence, et il n'y en a pas eu beaucoup depuis. Les Oscars discriminent certes envers les minorités, mais encore plus contre les genres dits "mineurs".Supfiction a écrit :Bien vu. Devant Bonnie and Clyde et Le Laureat surtout.hellrick a écrit : Bof, quand Dans la chaleur de la nuit a gagné devant Devine qui vient diner c'était pas pareil? C'est quand même pas des incontournables non plus...
Warren Beatty et Dustin Hoffman à la trappe face à Rod Steiger par la même occasion, misère.
C'est surtout que pour la critique anglo-saxonne c'est l'intention qui compte et détermine le résultat. Film avec des minorités = Film "liberal" = Chef-d'oeuvre.Supfiction a écrit :Rick Deckard a écrit :Le péril jaune ?
Le truc, c’est que, pour Black Panther comme pour cette guimauve (à moins que ce soit meilleur que ca en a l’air), on a l’impression que la qualité des films est en option. Ce qui compte c’est l’origine ethnique des protagonistes.
J’aime bien Guess who’s coming to dinner, même si le coté gendre idéal du personnage joué par Poitier (médecin limite prix Nobel, dont on se demande pourquoi il n'est pas encore été canoniséShin Cyberlapinou a écrit :Ca m'avait un peu fait le même effet avec Philadelphia... Ce sont moins des films que des tracts, (des tracts d'autant plus ennuyeux que je suis le plus souvent d'accord avec le message de fond), l'éventuelle reconnaissance académique se fait au fond plus pour des raisons sociales/sociétales que strictement artistiques. Ca sert aussi à ça le cinéma...
...) est assez penible (et j’ai lu que cet aspect du scénario avait d’ailleurs été pointé du doigt à l’époque). 
On assiste en tous cas à un basculement qui a et aura forcément un impact sur la production hollywoodienne. Le marché chinois est désormais le premier au monde, les films ne sont plus dédiés en priorité au public américain ou occidental.Rick Deckard a écrit :Le péril jaune ?
Si c'est pour sauver des navets comme Rampage ou Terminator Genisys ... on n'est pas sorti de l'auberge!Supfiction a écrit :On assiste en tous cas à un basculement qui a et aura forcément un impact sur la production hollywoodienne. Le marché chinois est désormais le premier au monde, les films ne sont plus dédiés en priorité au public américain ou occidental.Rick Deckard a écrit :Le péril jaune ?
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