Ce soir, j'avais prévu de voir le film Trash Humpers d'Harmony Korine (il y a un cycle Korine au cinéma les Galeries qui succède au cinéma Arenberg qui a fermé ses portes l'an dernier). Hélas, le film en VO anglaise n'était que sous-titré en néerlandais.
Ce n'était pas annoncé, mais comme je bénéficie d'un passe qui m'ouvre toutes les séances gratuitement pour un an (jusque fin janvier 2014) il était difficile de me plaindre.
Comme j'étais déjà dans le centre-ville, plutôt que de bêtement rentrer chez moi (pour faire quoi, voir un film peut-être ? un de ceux que je viens d'acheter à la FNAC ?) je me suis dit: voyons ce qu'il y a au programme. Il y avait le tout nouveau Au nom du fils... mais qui passait à 21h50 (pas envie de patienter par ce temps froid jusque là) et aussi Une histoire d'amour, le premier film d'Hélène Filières, sorti hier en Belgique.
J'étais dans la belle et grande salle des Galeries (enfin c'est relatif: 250 places environ). Nous étions quatre spectateurs en tout et pour tout (avec une place gratuite pour moi!).
Le film m'a un peu déçu par sa froideur et son découpage, en revanche, j'ai été bluffé par le jeu et le rôle de Benoît Poelvoorde !
En revanche, une mention sépciale pour le chat. Je me suis toujours demandé comment on arrivait à "diriger" les chats (par exemple dans Breakfast At Tiffany’s) !
J'ai vu Au nom du fils de Vincent Lannoo ce soir et je sors relativement déçu de la salle.
Le réalisateur (belge) dit s'être bien documenté sur le sujet (de la pédophilie dans le clergé catholique).
Je ne puis remettre cela en question mais le film n'arrive pas à faire le choix entre ce thème grave et un road movie à la "Bonnie and Clyde", entre l'humour noir et la gravité.
On a l'impression que le film concerne une situation française mais un des éléments du film à la fin montre que l'héroïne est basée en Belgique.
Mais quoiqu'il en soit le clergé français catholique est-il fondamentalement différent du belge ? Non, sauf en ce que ce dernier est rétribué par l'Etat et que l'on ne verrait pas chez nous un appel aux dons et à l'hébergement de prêtre aussi important que celui qui débute le film.
Et puis il y a certes de tout dans l'Eglise, des tradis et des progressistes mais même chez les premiers qui ont souvent le col romain rares sont ceux qui portent la soutane, même chez les évêques (en tout cas dans leurs bureaux !). Et donc le film est contemporain (il y a une TV à écran plat) mais, bizarrement les personnages datent (en tout cas pour moi qui suit du métier !). Le plateau sur lequel je travaille est le même justement que celui d'une radio chrétienne (probablement celle visée par le réalisateur). Il y a peut-être certains animateurs qui sont caricaturaux comme pourrait être perçue l'héroïne du film mais ce ne sont pas ceux que je vois).
Il fallait peut-être accentuer ce côté-là pour faire passer la sauce et le contraste du personnage principal (in/out)?
Donc, en résumé:
- à titre professionnel, je trouve les situations très caricaturales;
- comme humain, j'aurais préféré qu'il développe et amplifie cette question de la pédophilie dans l'Eglise et de la gestion de son silence;
- comme "cinéphile", j'attendais qu'il développe soit le thème précédent (de manière analogue à Joachim Lafosse dans son film qui se base sur le quintuple infanticide de Nivelles) soit qu'il se concentre sur un road movie à l'humour noir.
Ici, il me semble que la cause qu'il veut défendre n'est pas bien servie.
Enfin, une mention toute spéciale à Zacharie Chasseriaud qui joue le fils de l'héroïne et que j'avais découvert dans Les géants et dans Tango libre.
Hellrick, si tu vas voir le film vendredi au BIFF, il serait intéressant d'avoir ton retour.
wontolla a écrit :
Hellrick, si tu vas voir le film vendredi au BIFF, il serait intéressant d'avoir ton retour.
Malheureusement je ne peux pas, vendredi je vais juste à la conférence de Dario Argento (si ça t'intéresse c'est à 14h) puis je rentre car je vais au festival de metal Power Prog Metal Fest de Mons
wontolla a écrit :
Hellrick, si tu vas voir le film vendredi au BIFF, il serait intéressant d'avoir ton retour.
Malheureusement je ne peux pas, vendredi je vais juste à la conférence de Dario Argento (si ça t'intéresse c'est à 14h) puis je rentre car je vais au festival de metal Power Prog Metal Fest de Mons
Merci Hellrick. Je ne suis pas libre pour Argento (et je suppose que ce n'est pas en français ?) et je gage que le festival de metal Power Prog Metal Fest sera largement plus promouvant que le film de Vincent Lannoo.
Comme il n'y a rien qui m'intéresse mais que peut-être un(e) classikien(e) pourrait être intéressé(e)...
Il (elle) peut me contacter par MP si il (elle) trouve quelque chose qui l'intéresse dans l'offre.
Je communiquerai alors l'un des codes promotionnels par MP.
Des achats non prévus en cette fin d'avril.
Un de mes meilleurs amis, cinéphile également, a un cancer du foie qui se généralise.
Il a beaucoup travaillé au Congo mais un peu poète, il n'a pas assuré ses arrières financiers et, revenu en Belgique, dépend donc de l'aide sociale.
En septembre 2011, les médecins lui donnaient un an maximum. Son épargne d'alors devait lui permettre de tenir le coup vaille que vaille jusque la mi 2012.
Mais la mort n'était pas au rendez-vous (et il ne s'agissait pas du film de Curtis Bzernhardt !)...
Aussi, plusieurs amis tentent de l'aider alors même qu'il a beaucoup de pudeur à accepter de l'aide et ne veut pas entrer dans un jeu de don/contre don...
A plusieurs reprises, il m'avait dit: "n'achète pas ce DVD, je le possède" (sous-entendu, il est pour toi - ainsi que ceux que tu ne possèdes pas - après mon décès).
Je lui ai proposé de ne pas attendre d'héritage mais de lui racheter les DVD que je possède pas. Certains resteront chez lui, d'autres, il viendra les voir chez moi (comme il le fait déjà) sur grand écran. Ce me semblait une façon élégante de l'aider financièrement.
Ce n'est donc pas un bon plan, ni une brocante, ni même une bonne affaire, sinon combiner amitié, cinéphilie et plaisir du collectionner .
La liste est longue et je poste ici sous forme de spoiler pour ne pas allonger la liste.
Aldrich, Robert, 1955, Le grand couteau
Bergmann, Ingmar, 1944, Tourments
Bergmann, Ingmar, 1945, Crise
Bergmann, Ingmar, 1948, Ville portuaire
Bergmann, Ingmar, 1948, Eva ou la sensualité
Bergmann, Ingmar, 1949, La soif
Bergmann, Ingmar, 1953, La nuit des forains
Bergmann, Ingmar, 1955, Rêves de femmes
Bergmann, Ingmar, 1958, Le visage
Bergmann, Ingmar, 1961, A travers le miroir
Bergmann, Ingmar, 1962, Le silence
Bergmann, Ingmar, 1966, L’heure du loup
Bergmann, Ingmar, 1967, La honte
Bergmann, Ingmar, 1967, Le rite
Bergmann, Ingmar, 1968, Une passion
Bergmann, Ingmar, 1954/1955, Une leçon d’amour
Bergmann, Ingmar, 1959/1960, L’œil du diable
Bresson, Robert, 1966, Au hasard Balthazar
Brooks, Richard, 1967, De sang froid
Chabrol, Claude, 1966, La ligne de démarcation
Chabrol, Claude, 1969, Le boucher
Chabrol, Claude, 1969, Que la Bête meure
Chabrol, Claude, 1973, Noces rouges
Fellini, Federico, 1953, I Vitelloni
Fellini, Federico, 1968, Satyricon
Fellini, Federico, 1973, Amarcord
Ford, John, 1936, Je n’ai pas tué Lincoln
Ford, John, 1939, Sur la piste des Mohawks
François Truffaut, 1943, Les bourreaux meurent aussi
François Truffaut, 1948, Le secret derrière la porte
François Truffaut, 1969, L’enfant sauvage
Ivory, James, 1972, Savages
Kazan, Elia, 1945, Le lys de Brooklyn
Kramer, Wayne,, The cooler
Kurosawa, Akira, 1950, Rashomon
Kurosawa, Akira, 1952, Vivre
Kurosawa, Akira, 1957, Les bas fonds
Loach, Ken, 1969, Kes
Lubitsch, Ernst, 1941, Illusions perdues
Mankiewicz, 1946, Le château du Dragon
Mankiewicz, 1949, Chaînes conjugales
Mankiewicz, 1952, L’affaire Cicéron
Mankiewicz, 1953, Jules César (<Shakespeare)
Mizoguchi, Kenzi, 1951, Miss Oyu
Mizoguchi, Kenzi, 1952, La vie d’O-Haru, femme galante
Mizoguchi, Kenzi, 1953, Les musiciens de Gion
Mizoguchi, Kenzi, 1953, Les contes de la lune vague après la pluie
Mizoguchi, Kenzi, 1954, L’intendant Sancho
Mizoguchi, Kenzi, 1955, L’impératrice Yang Kwei Fei
Mizoguchi, Kenzi, 1955, Le Héros sacrilège
Pasolini, Pier Paolo, 1967, Œdipe roi
Pasolini, Pier Paolo, 1963/1965, Enquête sur la sexualité
Polanski, Roman, 1962, Le couteau dans l’eau
Polanski, Roman, 1965, Répulsion
Polanski, Roman, 1965, Cul-de-sac
Ray, Nicholas, 1951, La maison dans l’ombre
Ray, Satyajit, 1955, La complainte du sentier
Ray, Satyajit, 1956, L’invaincu
Ray, Satyajit, 1957, Le salon de musique
Ray, Satyajit, 1959, Le monde d’Apu
Ray, Satyajit, 1960, La déesse (Tagore)
Ray, Satyajit, 1963, La grande ville
Ray, Satyajit, 1964, Charulata
Ray, Satyajit, 1969, Des jours et des nuits dans la forêt
Ray, Satyajit, 1970, L’adversaire
Ray, Satyajit, 1973, Tonnerres lointains
Ray, Satyajit, 1977, Les joueurs d’échecs
Renoir, Jean, 1931, La chienne
Renoir, Jean, 1931, On purge bébé
Richardson, Tony, 1958, Look back in anger
Richardson, Tony, 1961, Un goût de miel
Richardson, Tony, 1962, La solitude du coureur de fond
Rossellini, Roberto, 1948, Allemagne année zéro
Rossellini, Roberto, 1950, Onze Fioretti de saint François d’Assise
Visconti, Luschino, 1960, Rocco et ses frères
Visconti, Luschino, 1969, Les damnés
von Sternberg, 1930, L’ange bleu
Wilder, Billy, 1942, Uniformes et jupons courts
Wilder, Billy, 1943, Les 5 secrets du désert
Wilder, Billy, 1950, Sunset Boulevard
Wise, Robert, 1959, Le coup de l’escalier
Wyler, William, 1949, L’héritière
Altman, Robert, 1983, Streamers
Altman, Robert, 1987, Beyond Therapy
Altman, Robert, 1992, The player
Boorman, John, 1981, Excalibur
Fellini, Federico, 1990, La voce de la luna
Field, Todd, 2006, Little children
Ivory, James, 1991, Retour à Howards end
Ivory, James, 1993, Vestiges d’un jour
Kiarostami, Abbas, 1982, Le chœur (court métrage)
Kiarostami, Abbas, 1991, A travers les oliviers
Kiarostami, Abbas, 1994, Et la vie continue
Kiarostami, Abbas, 1999, Le vent nous emportera
Kiarostami, Abbas, 2001, ABC Africa
Kieslowki, Krzysztof, Le décalogue
Malle, Louis, 1994, Vania, 42ème rue
Sanders-Brahms, Helma, 1993, Allemagne mère blafarde
Après avoir vu l'après-midi La complainte du sentier, premier volet de la trilogie d'Apu de S. Ray, j'avais envie d'un film de pure détente.
J'ai donc déposé mon cerveau au pied du fauteuil et j'ai regardé Battleship.
En rageant tout d'abord parce que pour arriver au départ du film, il m'a fallu sur le Panasonic BD 60, 13 minutes 30 pour arriver au début du film !
Il y avait certes la pub pour l'anniversaire du studio; sautée une première fois, cela a bloqué le BD. J'ai dû recommencer.
Donc, j'ai tout laisser en l'état et puis le BD semble chercher des choses sur le réseau (?), se contrôler (?), calculer, que sais-je.
Finalement, un film jubilatoire. Toujours un héros quasi solitaire comme dans Olympus Has Fallen vu la veille!
Une partie du film à la Space Cowboys !
Des effets spéciaux pas trop mal réussis malgré l'histoire un peu nase.
Un bande son et une BO mise à fond avec le caisson de grave.
Donc un plaisir totalement coupable et totalement assumé.
Une question toutefois: pourquoi les Aliens ne tuent-ils pas certains humains lorsqu'ils sont en face à face ?
J'avais vu le film en début 2011 (voir mon intervention ici).
C'était alors sur un écran 127 cm. J'hésitais longtemps à le revoir tellement le film m'avais marqué, touché.
Peur de perdre la magie et le charme.
Et pourtant, j'ai revu le film en début janvier (dans le cadre de mes "abbécédaires": chaque vendredi je visionne un film avec pour contrainte de chosiir un film dans l'ordre alphabétique du nom de réalisateur. arrivé à V... je choisi donc Van Sant et CE film, Gerry !).
Ce fut cette fois en vidéoprojection.
Le charme était toujours présent et l'émotion m'avait étreint dès les premières notes de Spiegel im Spiegel d'Arvo Part:
Hier, au cinéma Galeries à Bruxelles (l'ancien Aremberg) on projetait (un one shot) Gerry dans le cadre du projet "un artiste - un film". Ici, Anne Terasa De Keersmaeker, une danseuse et chorégraphe flamande, avait choisi ce film suivi d'un échange entre elle et les spectateurs.
Quelques déceptions hier soir (indépendantes du film en lui-même).
1. Le film en VO n'était sous-titré qu'en néerlandais (malgré la langue de l'artiste invitée, je croyais que le film serais sous-titré bilingue comme nous en avons l'habitude à Bruxelles)!
2. La copie du film était en (très) mauvais état: nombreuses griffures verticales, brûlures, tâches, etc.
Le point 1 était surmontable, malgré le fait que je ne comprenne ni l'anglais ni le néerlandais, parce que les dialogues sont peu nombreux et que je commence à connaître le film mieux qu'un autre vu dix fois !
Première vision en salle, sur grand écran. Un public essentiellement néerlandophone.
Toujours la même émotion: les images et Arvo Part !
Surprise, en revanche, en entendant de nombreux éclats de rire dans la salle pendant le premier tiers du film, jusqu'à l'épisode du rocher (ou Gerry-Affleck doit sauter sur un tas de poussière préparé par Gerry-Damon).
Ensuite, à partir du long plan séquence avec les visages de Gerry/Gerry en gros plan, il n'y a plus eu de rires dans la salle.
Je n'ai donc pas assisté à l'échange avec l'artiste mais sort une nouvelle fois bouleversé par ce film (mais je comprends que l'on ne puisse entrer dans la démarche et le film fut présenter en attirant l'attention des spectateurs sur la difficile entrée dans le film !).
Après avoir visionné, at home ces derniers jours quelques films sur le thème de la vengeance: Kill Bill et Kill Bill II, Un seul bras les tua tous, Le bras de la vengeance, je devais être mûr pour voir ce nouveau film avec Ryan Gosling.
Une avant-première dans une des plus belles et prestigieuses salles de la Capitale (salle Eldorado à l'UGC De Brouckère).
Plus aucune place disponible (j'avais pré-réservé en début de semaine) car l'essentiel avait été destiné aux gagnants d'un concours d'un magazine flamand (Humo).
Beaucoup étaient venus suite à un effet Drive; j'ai parlé à plusieurs spectateurs qui n'avaient pas vu d'autres films de Refn ni d'ailleurs avec Gosling.
Bon, Nicolas, qu'est-ce que tu as voulu faire ?
Un film esthétisant... mais finalement très maniéré.
Là où la BO de Drive était jubilatoire et en adéquation avec le film, ici, c'est presque du n'importe quoi.
Nicolas, le rouge te va si mal. Là où il était quasi nécessaire dans Cris et chuchotements , ici c'est too much !
Certes, il y a bien Kristin Scott Thomas, méconnaissable et Ryan Gosling qui fait du Gosling_je_me_la_joue_moi_dans_Drive sans faire beaucoup d'efforts !
On est loin de The Believer, Stay, Half Nelson,The Ide of March, The United States of Leland , Lars and the Real Girl ou Blue Valentine,... dans des genres bien différents, voire de Drive, dans le même genre (en principe !).
Par quelques côtés, Only God Forgives m'a fait songer à certaines scènes de la trilogie Pusher... en moins bien!
Trop d'ellipses, aucune compréhension de ces vengeances multiples (?) du pourquoi, des motivations.
Je n'ai eu aucune empathie pour les personnages, parce que même si Julian Hopkins comprend que son frère Billy se soit fait buter, il n'est pas non plus, lui Julian un ange.
La mère est un peu tapée et Chang (Vithaya Pansringarm) est parfois ridicule dans certaines gestuelles, attitudes,...
Il est peu probable que j'aille revoir ce film et que j'achète le Blu-Ray à moins que quelqu'un me donne les clés de lecture du film car je n'ai pu ouvrir la porte d'entrée !!!
Dernière modification par wontolla le 23 mai 13, 11:45, modifié 1 fois.
Merci, Gnome, pour le lien.
De fait cela apporte un éclairage, enfin un certain éclairage.
Je serai donc moins catégorique sur ma décision de ne pas revoir le film.
Aussi, un jour à tête reposée, je me referai probablement le film.
Depuis fin août 2012, je n'ai plus dressé la liste des films vus durant le mois ainsi que la cote que j'attribuais.
Et depuis plus longtemps encore, je n'assure plus de commentaire suivi.
Lire dans le topic sur Cannes:
Cinephage a écrit :Un simple examen des films vus par les forumeurs qui remplissent le topic du film du mois démontre à l'évidence qu'ils ne font pas que suivre l'actualité ou un pauvre consensus. Il y a, c'est observable, une vaste diversité dans les titres visionnés par les classikiens.
m'incite à publier dans 'mon' topic, la liste des films que j'ai vus ces 9 derniers mois...
Pour le fun, simplement...
Septembre 2012
31 films (sans les séries)
- 01: Querelle
- 02: La guerre selon Charlie
- 04: Oh my God (Hysteria)
- 05: Truman Capote
- 06: The Bourne Legacy
- 07: Le petit fugitif
- 11: The Swimmer
- 12: Being Flynn
- 13: Barbara; Ruby Sparks; The Bourne Legacy
- 14: The Artist
- 16: Nightfall ; La féline
- 17: La cible ; The Brown Bunny
- 18: Twentynine Palms; L'humanité; The Last Picture Show
- 19: Lawless
- 21: Chambre avec vue
- 22: Drei; Les aventuriers de l'arche perdue
- 23: Drei (revu avec un ami); La cité sans voiles; Essential Killing
- 24: Tous les chats sont gris; Buffalo 66
- 26: Mysterious Skin
- 28: Mission
- 29: Indina Jones et le temple maudit
- 30: Certains l'aiment chaud
Dernière modification par wontolla le 24 mai 13, 22:04, modifié 1 fois.
?) je me suis dit: voyons ce qu'il y a au programme. Il y avait le tout nouveau Au nom du fils... mais qui passait à 21h50 (pas envie de patienter par ce temps froid jusque là) et aussi Une histoire d'amour, le premier film d'Hélène Filières, sorti hier en Belgique.
