hellrick a écrit :Je ne retrouverais pas la source mais ça me fait penser à un article lu voici quelques mois concernant les écrivains de SF avec le problème de la "scientifique sexy":
si l'écrivain de SF ne met pas de femme dans son bouquin il est sexiste et rétrograde
hellrick a écrit :
si l'écrivain de SF met une femme "scientifique sexy" dans son bouquin il est sexiste et rétrograde car il sous entend qu'elle a eu sa place avec son cul
hellrick a écrit :
si l'écrivain de SF met une femme "scientifique pas sexy" dans son bouquin (genre la Susan d'Asimov) il est sexiste et rétrograde car il sous entend qu'elle n'est pas une vraie femme et qu'elle ne peut être intelligente et sexy
hellrick a écrit :
C'était mieux développé et moins caricatural mais c'était l'idée...
Alors que je suis en plein dans la lecture du "Héros aux 1001 visages" de Campbell, c'est dur de ne pas voir dans ce film une illustration de la théorie du livre. X a un chagrin, X part à l'aventure, X rencontre des obstacles, X a l'aide de quelqu'un au moment T pour parvenir au lieu L où il va avoir sa révélation, et revenu de ce lieu, il se réinsère parmi les vivants/les siens. La beauté heureuse de ce "Contact" c'est l'espace, les étoiles, le visage de Jodie Foster, faussement froid, parfois trop orienté vers l'émotion du spectateur, mais tant pis, ça marche. La musique de Silvestri avec sa montée au piano me fait penser au passage lumineux de ... "In The Light" de Led Zeppelin. De la bonne émotion consolatrice à la Hollywood/Amblin 80s/90s.
Barry Egan a écrit : ↑6 mars 22, 21:23
Alors que je suis en plein dans la lecture du "Héros aux 1001 visages" de Campbell, c'est dur de ne pas voir dans ce film une illustration de la théorie du livre.
La théorie de Campbell a servi de blueprint a tellement de films plus ou moins récents que maintenant elle est infusée plus ou moins inconsciemment dans une grande partie des scénars qui s'écrivent.