Un tit top "bon public " donnerait ça
J'aime bien:
- Kickboxer
- Réplicant
- Bloodsport
- JCVD
- Wake of Death
- Maximum Risk
- In Hell
- Double Team
- Chasse à mort
- Timecop
- Universal Soldier
Ca se laisse voir
- Le grand tournoi
- Double Impact
- Universal Soldier Régénération
- Cavale sans issue
- Mort subite
- Death Warrant
- Cyborg
- Double Team
Bof:
- Black Eagle
- Karate Tiger
- Coup pour Coup
- Piège à Hong Kong
nobody smith a écrit :A revoir
Risque maximum (pour être plus honnête : réussir à dépasser le premier quart d’heure)
il est bien pourtant celui là, Ringo Lam lui a emballé trois films solides à l'ami Jean Claude (en particulier Réplicant) et plus respectueux que ceux de Tsui Hark
Carrément, pour moi les meilleurs films avec Van damme sont ceux réalisés par Ringo Lam (Replicant, Risque Maximum et In Hell).
Dans les réussites, je rajoute Piège à Hong Kong de Tsui Hark et JCVD de Mabrouk El Mechri.
Pour le reste de sa filmo soit c'est dispensable, soit médiocre, soit nanardesque !
Pour Universal Soldier 3 je parie que c'est la critique de Mad qui te fait envie...pourtant Devildead est bien plus honnête: ça ressemble à un téléfilm d'action aux couleurs bleutés très "tendance" et c'est très cheap...Ca se laisse voir mais sans plus (en attandant le IV en 3D )
Jean-Claude tout le monde l’aime. Il est frais, il est sympa et si tu l’emmerde, y règle ça vite fait avec un kick dans ta gueule. Mais bon, Jean-Claude est surtout un athlète qui n’aura pas forcément le long de sa carrière rencontrer les bonnes personnes pour faire de lui un vrai acteur. Parce que bon, notre bon Roland Emmerich y s’en fout un peu que Jean-Claude y puise pas enchaîner plus de deux expressions faciales. Pas grave vu que dans universal soldier, il joue un super soldat déshumanisé qui veut juste rentrer à la maison. Le panel limité de Van Damme se prête bien donc au jeu de cette série B qui malheureusement tend surtout vers le Z. On salue souvent les mérites d’Emmerich pour rentabiliser ses budgets. Si cette capacité du bonhomme peut parfois faire des merveilles (tout particulièrement sur son meilleur film stargate), ça n’est pas vraiment le cas avec universal soldier. Dès la séquence d’ouverture avec son Vietnam reconstitué en studio, ça sent mauvais. Et effectivement, l’ensemble est malheureusement très cheap. Porté par un score minable, le film se fait parfois efficace mais reste globalement peu spectaculaire de par ses méthodes de tournage économiques. Une limitation de moyen qui n’aide pas à faire décoller cette histoire de robocop militarisée dont les situations souvent ridicules (“cherchez quelque chose de dur” ) me laissent toujours interrogateur sur le sens de l’humour d’Emmerich. Seule chose à sauver : l’ami Dolph Lundgren qui a une belle présence en bad guy et bouffe sans problème Van Damme malgré un temps de présence plus restreint.
"Les contes et les rêves sont les vérités fantômes qui dureront, quand les simples faits, poussière et cendre, seront oubliés" Neil Gaiman
J'avais découvert Universal Soldiers au cinéma à sa sortie, après le collège.
J'avais été impressionné. Je le reverrai un jour, c'est en tout cas un de ces films estampillés 90's qui rappelle des souvenirs.
J'ai également découvert Bloodsport en salle, laquelle fut quasi déserte durant toute la projection. De mémoire, c'était un samedi.
Kickboxer, production Cannon, je continue à beaucoup l'apprécier, c'est une des premières VHS que j'avais prise à la location, j'avais regardé le film en boucle.
Notamment le début avec Tong Pô, la scène de danse quand il est bourré, et le combat final, avec le fameux ralenti.
The Order ou comment Jean-Claude y veut faire du grand cinéma populaire mais il y arrive juste pas. La vision du film de Sheldon Lettich me laisse un peu la même impression que Legionnaire. Si ce dernier était son Lawrence D’Arabie à lui, The Order est son Indiana Jones. Dans les deux cas, c’est une catastrophe filmique pourtant assez fascinante puisqu'on y ressent toutes les envies de Van Damme. Le bonhomme s’implique dans l’écriture avec l’ambition de faire un bon gros film d’aventure en disant quelque chose au passage (attention les muscles de Bruxelles charge l’intégrisme religieux, ça va faire mal). En terme de spectacle, je me suis dit qu’on est parfois passé à pas grand d’un truc très sympa. Les courses-poursuites et les bastons prend soin à exploiter les possibilités offertes par l’architecture de Tel Aviv, le scénario s’applique sur le rythme et la progression de son histoire, la musique de Pino Donaggio est pas complètement dégueu (enfin par rapport à la norme des DTV). Mais bon, le problème reste que Jean-Claude reste entouré d’une belle bande d’incompétents. La photographie est moche, le montage vire au nonsensique, les dialogues sont affolants de nullité (« il se passe quelque chose de pas catholique ici ! » lâche Jean-Claude avant d’être expulser d’Israël). Jean-Claude est même un ennemi à lui-même tant il s’applique à jouer les gros kékés insupportables à longueur de bobines. Au final, c’est joyeusement naze mais assez attendrissant dans ses intentions et surtout souvent très drôle (Charlton Heston passant faire coucou pour montrer qu’il est encore dans le coup, c’est priceless).
"Les contes et les rêves sont les vérités fantômes qui dureront, quand les simples faits, poussière et cendre, seront oubliés" Neil Gaiman
Tiens, un top que je n'avais encore jamais vu et auquel je participerai bien, même si je ne peux hélas, contrairement à certains, prétendre être un amateur du plus célèbre karatéka Belge international
Aucun ordre dans ces sous-groupes à retenir:
Le meilleur de l'artiste:
Définitivement JCVD (2007) du jeune réalisateur Belge Mabrouk el Mechri et pour qui il joue le rôle de Jean-Claude Van Damme plus que de lui-même (mais je crois qu'il faudrait en discuter dans un topic approprié)
et dans ce doc, "Dans la peau de", de Carole Thomé et Frédéric Benudis (vu sur Canal) et qui lui y est consacré de bien belle manière
Mais aussi son apparition dans le clip "Kiss My Eyes" de Bob Sinclar,
sa participation aux pubs "World of Warcraft" (tout comme Alexandre Astier) dans laquelle il révèle y être un mage avec ses envolées lyriques et philosophiques,
et ce rôle qu'il connait par coeur (lui-même) dans un épisode de "Friends".
Sans oublier sa mémorable participation à l'un des primes du premier "Loft" de M6 (lors duquel il parlait "à un homme, un jeune homme, un petit garçon", lofteur Belge fan de lui que je me souvienne)
Ces petits rôles qui ne gâchent rien au plaisir de le voir (crédité ou non) au casting: Narco (2004) de Gilles Lellouche et Tristan Aurouet... où encore une fois dans son propre rôle je le trouve excellent Beur sur la ville (2001) de Djamel Bensalah
Expendables 2 : Unité spéciale (2012) de Simon West
Ensuite, on entre dans ces films qui s'ils ne sont pas ma tasse de thé ou mon demi au zinc ne sont pas sans me déplaire: Le Grand Tournoi (1996), premier film en tant que réalisateur de... Jean-Claude Van Damme himself (et que j'avoue avoir été voir au cinéma, oui) Légionnaire (1998) de Peter MacDonald, qui m'amuse bien avec cette fuite romancée d'un boxeur marseillais venu se réfugier au sein de la Légion (et on le voit chanter le passage consacré à ces tireurs au cul de Belges) Replicant (2001) de Ringo Lam -que je dois avouer avoir acheté pas cher en brocante par l'idée d'un film américain du réalisateur asiatique avec la star Belge et internationale (qui en plus se marave lui-même la gueule) TimecCop (1994) de Peter Hyams pour les voyages temporels que j'affectionne depuis "BTTF" et "C'ETAIT DEMAIN"
Après ça commence à se gâter proportionnellement à la distribution de mandales et aux punchlines débiles: Universal Soldier (1992) de Roland Emmerich (sans Dean Devlin ?) ou le début d'une saga des aventures du revenant cybernétique Luc Devereaux que j'ai de suite abandonnée Chasse à l'homme (1993) de John Woo qui m'aura fait regretter la venue aux Etats-Unis de ce réalisateur asiatique (chose confirmée avec son truc de pilotes terroristes avec Slater et Travolta) Mort subite (1995) de Peter Hyams, parce que finalement "TimeCop" des deux avait pas été si mal; mais là... Risque maximum (1996) de Ringo Lam, dans lequel Jean-Claude joue encore une fois deux rôles sous la caméra du même réalisateur: schizo', le Belge ?
Pendant longtemps j'aurai pu croire que la carrière du karatéka -au-delà des hop là grand écart facial qui t'offre un plan sur son cul (de rêve ?) avant d'enchainer sur un montage hypercut du même coup de poing répété plusieurs fois- allait être aussi débile: Street Fighter - L'ultime combat (1994) de Steven E. de Souza et Jean-Claude qui y joue le supra-héroïque Guile (aux cotés de la petite Kylie Minogue) mais qui aurait peut-être du resté de pixels Double Team (1997) de Tsui Hark ou comment ne pas rester sérieux plus de deux minutes dans cet actioner nanardesque shooté sous adrénaline en France avec Dennis Rodman, Mickey Rourke et Filip des 2B3 que je m'souvienne
Où comment foirer sa scolarité lorsque des camarades de classe imposent leurs VHS dans les magnétoscopes de cours mais surtout de salles de perm'... et se rendre compte que, non, vraiment, vous n'aurez pas le même bagage culturel dans l'avenir: Bloodsport (1988) de Newt Arnold
Cyborg (1989) du grand Albert Pyun Kickboxer (1989) de Mark DiSalle
Full Contact (1990) de Sheldon Lettich
Coups pour coups (1990) de Deran Sarafian
Double Impact (1991) de Sheldon Lettich dans lequel le Jean-Claude se dédouble et se castagne lui-même
Et, enfin, merci la TNT de me permettre de rattraper mon retard en Van Damme et étendre ma culture cinématographique, parce que sinon... non, je crois même pas être passé à coté de quoi que ce soit: Piège à Hong Kong (1998) de Tsui Hark
In Hell (2003) de Ringo Lam
Quant aux autres, je ne les ai jamais vus -même sur la TNT qui pourtant diffuse pas mal de Van Damme (mais moins que Seagal, l'a son top ce con là ?)
Dernière modification par Happy Charly le 14 déc. 12, 01:30, modifié 1 fois.
Piège à Hong-Kong est un chef d'oeuvre ! Un film délirant, auto-parodique filmé avec une maestria presque expérimentale (qui sert de laboratoire débridée à Time & tide)
"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
Un acteur que j'aime sincèrement, avec lequel j'ai grandi enfant et ado au début des 90's. Il a une présence incontestable et s'exprime par sa physicalité de façon impressionnante. Des films que je connais de lui, je dirais qu'ils sont au minimum sympathiques dans leur genre, et qu'on en a toujours pour son argent. Des trois blanc-becs qui ont connu leur heure de gloire en balançant des tartes, c'est clairement lui qui la filmo la plus respectable (même si Steven nous aura donné avec Out for Justice un monument quasiment insurpassable).
Il m'en reste encore 2 ou 3 en attente de visionnage, mais sinon ça donne:
Karate Tiger: Une daube infâme, sauf pour les scènes avec le belge. A la fin, on a envie de l'aider à claquer le héros à deux francs.
Bloodsport: Chef d'œuvre absolu du film de compétition "martiale" dont le protagoniste n'est pas asiatique d'origine. Je le regarde une fois par an minimum, un péché mignon. Je me dis qu'il aurait pu finir dans mon top 100 Kumite! Kumite!
Black Eagle - L'Arme absolue: Ultra chiant, sauf pour les scènes avec le belge qui éclate (à juste titre) le niakoué. Après ce qu'il lui met pendant le film, je ne peux pas croire à une fin pareille.
Cyborg: Ça fait longtemps, mais une violence sèche et un film assez premier degré dans mon souvenir en font une série B divertissante (et c'est mieux que tout ce que fera Pyun ensuite!).
Kickboxer: Par rapport à Bloodsport, une déception. Le film est assez mal foutu, l'intrigue, si j'ose dire, part dans tous les sens. Mais le combat final vaut le coup, et Jean Claude nous gratifie de sa célèbre danse:
Full Contact: LE film par lequel ma passion pour les high kicks est venue, tout ça grâce à cette VHS Delta Vidéo dont la backcover offrait un lot de combattants qui n'apparaissent pas dans le film. Je sais qu'il y a eu pas mal de scènes coupées sur ce film, et j'adorerai les voir un jour. En ce qui concerne le film lui-même, c'est un réjouissant défilé de sale gueules, ça balance bien, et ça garde ce côté street raw typique des 80's. Je le revois toujours avec plaisir, même si c'est objectivement d'une niaiserie sans fond.
Coups pour coups: Ça passe toujours très bien (sauf les scènes avec le geek, mais les geeks au ciné hein). Le Sandman de Robert Kilpatrick me donnait des cauchemars quand j'étais jeune. Aujourd'hui, j'aime toujours beaucoup le fait qu'ils se balancent dans la tronche des clés à molette grosses comme mes cuisses. Et puis j'aime les films de prison, donc. A noter un scénario bidon (mais rythmé) de David Goyer, mais j'ai envie de dire qu'on s'en fout pas mal.
Double Impact: Encore un voyage en Asie, preuve s'il en faut que JCVD et les cinéastes hongkongais étaient destinés à croiser leurs chemins. Prestation incroyable de Bolo Yeung, qui écrase Jean-Claude avec des tonneaux.
Universal Soldier: Le Meilleur Emmerich à mes yeux (pour ce que ça vaut), un spectacle d'une brutalité typique d'une époque révolue. Dolph est génial ("traître, viêt cong!"), je pense qu'il devait être drogué pendant l'intégralité du tournage, il n'y a pas d'autre explication. Van Damme en oiseau tombé du nid qui découvre la vie développe encore un peu plus sa palette de comédien. C'est dommage qu'ils n'aient pas gardé la fin originale.
Chasse à l'homme: J'ai pas vu ni Windtalkers ni Paycheck. Ces deux-là mis à part, il s'agit clairement du meilleur Woo américain, malgré des défauts rédhibitoires. Je rêve de voir la workprint un jour.
Timecop: Un peu léger, avec un tempo mal géré, et le holà sur les baffes. Je préfère quand Van Damme donne des baffes, définitivement. Mais Hyams chapeaute néanmoins une pure série B.
Street Fighter: Bon, c'est objectivement pourri, lent et ultra débile. En plus d'être l'épitaphe de Raul Julia. Mais ça reste rigolo pour les pervers.
Mort subite: Un peu chiant, d'ailleurs je ne me souviens pas de grand chose si ce n'est un ébouillantement à la friteuse.
Le grand tournoi: Van Damme pêche par volonté de trop plein. Il veut faire un film épique de 2h45, mais aussi retrouver la sécheresse de ses films des 80's, ainsi qu'y ajouter une touche humaniste. Ça donne un film plein de bonne volonté donc, mais mal monté (un comble pour les combats), souvent vide et très lassant. La photo est superbe par contre.
Risque maximum: Obligé de regarder les 30 premières minutes en VF puis de switcher. Sinon, Ringo Lam nous offre sous bien des aspects un vrai film de HK en occident. Le combat dans le sauna reste toujours aussi balèze.
Double Team: Désolé, j'adore. C'est débile, mais ça va vite, j'ai l'impression d'avoir 3 films en 1, Tsui Hark est fou.
Piège à Hong-Kong: Idem, en pire (ou en mieux, c'est selon). Ah, ce Buddha explosif!!
Légionnaire: "Je vous briserai, et je vous reconstruirai". Une de mes répliques cultes. Disons que nous avons là une version Van Damme du Grand Jeu de Jacques Feyder, avec des baffes en plus. Bon, ça reste quand même très mineur, même pour du Van Damme.
Inferno: Entre la revanche des papys, Danny Trejo et ses totems, et la sex party juste , la définition d'un véritable ovni. Un film finalement assez porté sur la comédie, avec beaucoup d'auto-dérision. Marrant et acceptable.
Replicant: Ringo's back. Le film n'a pas la patine de Risque Maximum, et a un look parfois téléfilmesque. Mais c'est suffisamment nerveux et déviant pour emporter mon adhésion.
In Hell: Osé. Souvent raté, mais osé. Le papillon, grand moment.
JCVD: La bouée de sauvetage de JCVD aux yeux de beaucoup. J'ai pas attendu ce très bon film pour exprimer mon admiration du bonhomme, mais c'est vrai que ça fait du bien d'avoir une caution Van Damme.
Universal Soldier: Regeneration: Un film bizarrement balancé, en staccato et aux ruptures de ton loufoques. Malgré les efforts de montage et de photo, ça ressemble quand même trop à un film de roumain.
The Expendables 2: Grosse déception pour ma part. Le ton du premier film a disparu, la patine chaude de l'Amérique équatoriale également. Encore un film de roumain tout gris. Je déteste souvent Chuck Norris, ce culte dont il fait l'objet, un peu a contrario de Van Damme il me semble, alors qu'il est un acteur objectivement beaucoup plus limité. Et le combat Sly/JCVD est frustrant car à la fois trop court, et trop vite en faveur de l'étalon italien.
Pas vu les autres, mais c'est déjà pas mal (et ça occupe en cas d'insomnies).
Si top il doit y avoir:
1 Bloodsport
2 Full Contact
3 Double Impact
4 Universal Soldier
5 JCVD
6 Risque Maximum
7 Coups pour coups
8 Double Team
9 Replicant
10 Chasse à l'homme
Je suis loin d'être fan de ma star de compatriote mais ayant trouvé le blu à un prix défiant toute concurrence, j'ai tenté l'expérience "Universal soldier : le jour du jugement" de John Hyams ...
Le film avait bénéficié de critiques très positives sous certaines plumes.
J'avoue avoir été séduit par le relatif extrémisme du bouzin : le réalisateur essaie, expérimente (au niveau des images et du scénario) et, si on est d'humeur, les scènes de combat sont plus que convaincantes : carrément barbares et bien mises en scène ...
Et puis, si on m'avait dit un jour que JCVD
Très bons:
- Expendables 2
- Double Team
- Bloodsport
Bons:
- Kickboxer
- Réplicant
- JCVD
- Wake of Death
- Maximum Risk
- Universal Soldier IV
Sympas:
- In Hell
- Chasse à mort
- Timecop
- Universal Soldier
Ca se laisse voir
- Le grand tournoi
- Double Impact
- Universal Soldier Régénération
- Cavale sans issue
- Mort subite
- Death Warrant
- Cyborg
- Traffic Mortel
Bof:
- Black Eagle
- Karate Tiger
- Piège à Hong Kong
On est en 1990 et comme le scande la bande annonce, la popularité des muscles de Bruxelles s’envole après Bloodsport et Kickboxer. L’attraction principale de Coups Pour Coups n’est pourtant pas Van Damme. Le bonhomme fait le minimum syndical niveau combat et ceux-ci sont assez plan-plan. Non la curiosité la chose tient plutôt au scénario d'un David S. Goyer faisant alors ses débuts dans le cinéma. J’avais d’ailleurs entendu des trucs bizarres à son sujet, vantant un spectacle à la limite du fantastique. Le film ne tombe pas dans le surnaturel avec une intrigue bateau de trafic d’organe dans une prison mais il est vrai que son ambiance est étonnamment surréaliste. Les personnages sont pratiquement tous over-the-top dans leurs caractérisations et leurs looks. Cela donne une certaine allure à un produit si basique. La plus fort reste bien sûr le Sandman incarné par Patrick Kilpatrick, serial-killer à la tronche flippante et semblant invulnérable. Le reste demeure donc standard même si pas forcément désagréable entre la photographie de Russell Carpenter (ce type a une carrière pour le moins bizarre qui s’étend de prestigieuses productions comme Titanic à des trucs façon Le Cobaye) et quelques énergiques mouvements de steadicam. Sympathique.
"Les contes et les rêves sont les vérités fantômes qui dureront, quand les simples faits, poussière et cendre, seront oubliés" Neil Gaiman
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, la définition d'un véritable ovni. Un film finalement assez porté sur la comédie, avec beaucoup d'auto-dérision. Marrant et acceptable.
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