Commentaires à propos de votre film du mois

[G.T.O]

Premier candidat avec le beau Asako I & II:

[El Dadal]

Stella Dallas en rit encore ou Ninotchka voit rouge

Je paye pour voir ça (et j'imagine quelqu'un comme Tarantino pour les réaliser en mode film dans le film genre Girls with Guns...)!

[G.T.O]

Traîné sur le bitume (Dragged across concrete, 2018) S. Craig Zahler

Un avis éclairé là-dessus Mr Beule ?

[-magik-]

Premier candidat très sérieux pour mon film du mois avec la version intégrale de Nymphomaniac de Lars Von Trier.

[Flol]

Traîné sur le bitume (Dragged across concrete, 2018) S. Craig Zahler

Bienvenue !

[Jeremy Fox]

Traîné sur le bitume (Dragged across concrete, 2018) S. Craig Zahler

Bienvenue !

Dommage : un des meilleurs polars de ces dernières années pour ma part.

[Beule]

Traîné sur le bitume (Dragged across concrete, 2018) S. Craig Zahler

Bienvenue !

Un avis éclairé là-dessus Mr Beule ?

Non mais quel tandem de charognards, ces deux-là !
Et ce n'est pas le smiley que j'aurais choisi mon cher G.T.O.

Incidemment ce n'est pas ainsi que se lit ma notation. C'est comme ça :

Spoiler (cliquez pour afficher)

Traîné sur le bitume (Dragged across concrete, 2018) S. Craig Zahler

Soit 2/10 et non 1/10, ça change tout...

Aucun avis éclairé, vraiment, j’en serais bien incapable. Le rejet est par trop épidermique. Zahler m’avait déjà passablement saoulé par les séquences de bivouac au cœur de Bone Tomahawk, qui trahissaient la vacuité de sa mise en scène lorsqu’elle devait s’affranchir du balisage des codes de l’action et du gore. Il récidive ici, et à la puissance dix. Le récit composite – je ne peux m’empêcher d’y voir une forme d’inspiration tarantinienne de bas étage - et sous perfusion de solennité existentielle assommante s’épuise à publiciser ses intentions réalistes et sociales dans de longs tunnels de dialogues dont la stérilité d’inspiration formelle comme thématique – basiquement ils ne tendent qu’à paraphraser l’action – rend caduque toute progression dramatique digne de ce nom. Jusqu'à l'enlisement. Comme livrés à eux-mêmes, les acteurs semblent s’en remettre aux expédients de la pose : la "palme" en ce sens à Don Johnson. Je sauve à la rigueur le final, convenu et encore arbitrairement écrit (l'otage ) et découpé, mais somme toute efficace. Pour autant les deux heures (?) qui précèdent furent pour moi simplement… chiantissimes . Après son western anthropophage (pas vu l'autre... et pas pressé de le découvrir désormais), je dois dire que les chances de Zahler de rejoindre très vite ma liste noire sont d'ores et déjà très élevées : 75 % au moins.

Jeremy, je dois dire que ta remarque m'interpelle. Car j'ai beau chercher, de grands polars, ces dernières années, je n'en identifie aucun (en tout cas anglo-saxon).

[Flol]

Merci Beule pour cet excellent compte-rendu.
Et encore, tu as oublié toute l'invraisemblable séquence avec Jennifer Carpenter, dont le sort est l'un des trucs les plus dégueulasses que j'ai vus récemment (le coup de la chaussette de bébé, non mais sérieux ).

[-magik-]

Merci Beule pour cet excellent compte-rendu.
Et encore, tu as oublié toute l'invraisemblable séquence avec Jennifer Carpenter, dont le sort est l'un des trucs les plus dégueulasses que j'ai vus récemment (le coup de la chaussette de bébé, non mais sérieux ).

D’ailleurs j’ai absolument pas compris l’intérêt de ce personnage (ou alors j’ai somnolé en route, ce qui est probable).

[Flol]

Je vois pas trop non plus, si ce n'est pour créer une espèce de fausse piste toute moisie avec conclusion volontairement choquante pour se la raconter.
Du cinéma qui se la raconte, quoi.

[Alexandre Angel]

Law and Order, de Edward L. Cahn (1932) : 2/10

[Rick Blaine]

J'ai trouvé le film ridicule, guignol au Far west. Je me trouve presque généreux.
La mise en scène est paresseuse, les personnages sans épaisseur et surtout ce pseudo ton rigolard qui imprègne tout le film le tire vers le ridicule. Je n'ai vu rien à sauver.

[Alexandre Angel]

Je le trouve formidable : fruste, brutal, comme si le cameraman était balancé au milieu d'une ville du Far West en 1881.
Et le bouquin de Burnett dont le film est tiré est jouissif.

[Beule]

Et encore, tu as oublié toute l'invraisemblable séquence avec Jennifer Carpenter, dont le sort est l'un des trucs les plus dégueulasses que j'ai vus récemment (le coup de la chaussette de bébé, non mais sérieux ).

D’ailleurs j’ai absolument pas compris l’intérêt de ce personnage (ou alors j’ai somnolé en route, ce qui est probable).

Je devais somnoler aussi à ce moment précis, car pour être honnête le coup de la chaussette ça ne m'évoque rien.

Sinon

Janvier 2020

Films découverts
The Exorcist III : Legion (William Peter Blatty) : 8/10

Films revus
The Exorcist III (William Peter Blatty) : 7.5/10 (=)

Gneuh...

Tu l'as découvert et revu dans la foulée, nonobstant le (=) ?
Ou alors ce sont deux montages alternatifs ?
Dans tous les cas j'aurais aimé pouvoir partager ton bel enthousiasme...

[Jeremy Fox]

J'ai trouvé le film ridicule, guignol au Far west. Je me trouve presque généreux.
La mise en scène est paresseuse, les personnages sans épaisseur et surtout ce pseudo ton rigolard qui imprègne tout le film le tire vers le ridicule. Je n'ai vu rien à sauver.

Me voici un peu rassuré. Je pensais être le seul à avoir été totalement hermétique au film.