Frissons d'enfance inattendus

[Flol]

Ne me demandez pas pourquoi par contre.

Encore et toujours ce souci avec le transformisme...

[Joshua Baskin]

Ne me demandez pas pourquoi par contre.

Encore et toujours ce souci avec le transformisme...

Ca doit être ça

[Federico]

Sinon King Kong l'original que j'avais en 8mm et que je projetais sur mon petite projo d'enfance bah après j'avais les choquottes de le voir monter ma tour de 10 étages jusqu'à ma chambre

Encore et toujours ce souci avec les grands singes...

[manuma]

En parcourant ce topic, je me suis rappelé que Sur un arbre perché, cité précédemment, était un De Funes qui ne m'avait absolument pas fait rire, lorsque je l'avais découvert vers 9 ou 10 ans. Cette histoire de voiture perchée dans le vide m'avait stressé au plus haut point. Le pire étant peut-être qu'il n'y avait même pas de happy end...

[Outerlimits]

La bestiole croisement entre un dodo, un pélican et je ne sais quoi d'autre dans "Tarzan l'homme-singe" avec Weissmuller (1932).
Ce volatile m'avait traumatisé enfant, et je ne m'attendais pas à ça en regardant "Tarzan".
Oserais-je dire qu'il m'a traumatisé pendant trés longtemps.

Si quelqu'un retrouve la photo.

[Federico]

En parcourant ce topic, je me suis rappelé que Sur un arbre perché, cité précédemment, était un De Funes qui ne m'avait absolument pas fait rire, lorsque je l'avais découvert vers 9 ou 10 ans. Cette histoire de voiture perchée dans le vide m'avait stressé au plus haut point. Le pire étant peut-être qu'il n'y avait même pas de happy end...

C'est vrai que cette situation de comédie vraiment extrême restait angoissante derrière la rigolade. D'autant plus qu'en dehors des plans rapprochés en studio, il n'y avait pas de trucage et qu'ils avaient réussi je ne sais comment à caser une bagnole à flanc de falaise.

La moumoute de Fufu était assez inquiétante elle aussi...

[Gounou]

Encore et toujours ce souci avec le transformisme...

Ca doit être ça

Je ne connaissais pas l'extrait... il faut dire que c'est un peu lynchien comme scène

[Federico]

Gros flip d'enfance avec cette très étrange mini-série TV de SF diffusée en 1972 : Mycènes, celui qui vient du futur.
En la revoyant, c'est surtout l'ennui qui l'a emporté mais j'en rêvais la nuit, fasciné autant par le look très étrange de l'acteur (le suisse Armand Abplanalp au nom qui déjà semblait venir d'une autre galaxie) que par la musique qui empruntait ni plus ni moins qu'à plusieurs albums des Pink Floyd (A saucerful of secrets, Ummagumma et Meedle) !

La série fit un tel flop qu'elle s'arrêta après seulement deux épisodes mais je suis sûr que ceux et celles qui comme moi l'ont découverte au même âge s'en souviennent encore.

épisode 1

épisode 2

Si j'y repense, c'est parce que je viens d'ailleurs de découvrir à l'instant ce court-métrage très impressionnant que l'ORTF diffusa en 1970. Eh ben, si j'étais tombé dessus à l'époque, j'en connais un qui se serait planqué rapidos sous son plumard.

C'est réalisé par l'écossais Adrian Maben, celui-là même qui tournera deux ans plus tard l'ébouriffant Live at Pompei des Pink Floyd (et bien plus récemment le remarquable documentaire Mao, une histoire chinoise).

[julien]

Si j'y repense, c'est parce que je viens d'ailleurs de découvrir à l'instant ce court-métrage très impressionnant que l'ORTF diffusa en 1970. Eh ben, si j'étais tombé dessus à l'époque, j'en connais un qui se serait planqué rapidos sous son plumard.

Superbe ambiance électronique. A l'ORTF, ils étaient voisins des studios de Pierre Schaeffer je crois. Ça s'entend ! J'aurais adoré voir ça à l'époque même si ça m'aurait probablement bien fait flipper aussi.

[Federico]

Si j'y repense, c'est parce que je viens d'ailleurs de découvrir à l'instant ce court-métrage très impressionnant que l'ORTF diffusa en 1970. Eh ben, si j'étais tombé dessus à l'époque, j'en connais un qui se serait planqué rapidos sous son plumard.

Superbe ambiance électronique. J'aurais adoré voir ça à l'époque même si ça m'aurait probablement bien fait flipper aussi.

Ouai, ça sent le Service de Recherche de l'ORTF ou je veux bien manger mon chapeau. Même dans de simples jeux-interludes, ils ne pouvaient pas s'empêcher des audaces électro-avant gardistes du meilleur effet...

[julien]

Ouais j'adore tout ces trucs. A cette époque là, Pierre Schaeffer dirigeait le centre de recherche de l'ortf, ce qui explique ces nombreuses intrusions de musiques expérimentales et électroniques au sein des fictions ou des émissions tv. D'ailleurs, si ça t'intéresse, il y a une émission ici sur la question : http://www.franceculture.fr/emission-l- ... 2012-09-27. Au sein du groupe de recherche, on trouve même Daniel Prevost, crédité en tant que chercheur !

[Federico]

Ouais j'adore tout ces trucs. A cette époque là, Pierre Schaeffer dirigeait le centre de recherche de l'ortf, ce qui explique ces nombreuses intrusions de musiques expérimentales et électroniques au sein des fictions ou des émissions tv. D'ailleurs, si ça t'intéresse, il y a une émission ici sur la question : http://www.franceculture.fr/emission-l- ... 2012-09-27. Au sein du groupe de recherche, on trouve même Daniel Prevost, crédité en tant que chercheur !

Je podcaste l'émission depuis quelques années.

[julien]

Oui c'est passionnant à écouter. Vers le début, je crois bien que l'on entend Prevost interviewé par Jean Yanne, qui "se plaint" que leurs locaux ne sont pas aussi spacieux que ceux de l'administration.

[Outerlimits]

"Le magnifique" avec Bébel fait en quelque sorte partie de mes traumas d'enfance. Découvert à la fin des 70s (largement multidiffusé pendant cette période), j'étais loin de m'attendre à de tels débordements gores dans un film pareil (comédie familiale, parodie des James Bond) : Jean Lefèbvre qui se fait trouer la peau par des rafales, décervellement...

[AtCloseRange]

"Le magnifique" avec Bébel fait en quelque sorte partie de mes traumas d'enfance. Découvert à la fin des 70s (largement multidiffusé pendant cette période), j'étais loin de m'attendre à de tels débordements gores dans un film pareil (comédie familiale, parodie des James Bond) : Jean Lefèbvre qui se fait trouer la peau par des rafales, décervellement...

J'en avais parlé en première page. Même sentiment.