Je suis absolument d'accord. Ridicule et sans aucun intérêt.Colqhoun a écrit :The Texas Chainsaw Massacre: The Beginning || Jonathan Liebesmann
Tout pourri. C'est chiant, il ne se passe rien, c'est filmé avec les pieds, tous les acteurs sont nuls, on nous sors des vieux prétextes moisis pour expliquer le pourquoi du comment du film de Nispel et alors c'est la foire aux incohérences. De cette série du renouveau du film de genre 70's je-sais-pas-quoi qui essaie d'être hardcore et dérangeant, ce machin est assurémment au sommet des "oeuvres" les plus misérables qui soient.
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Les films d'horreur
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Hostel 2, de Eli Roth
Alors que je m'attendais à pas grand chose, plutôt à un défilé de tortures gore, pivilégiant les effets spéciaux. Au contraire, il y a un intéressant scénario dans ce film (j'ignore s'il rend honneur au premier, que je n'ai jamais vu), qui pose de vraies question politiques, et y glisse de façon bien manoeuvrées quelques interrogations sur l'argent et les rapports nord-sud.
Du coup, je ressors enchanté de ce film, certes gore et dur, mais pas vain, loin s'en faut.
Alors que je m'attendais à pas grand chose, plutôt à un défilé de tortures gore, pivilégiant les effets spéciaux. Au contraire, il y a un intéressant scénario dans ce film (j'ignore s'il rend honneur au premier, que je n'ai jamais vu), qui pose de vraies question politiques, et y glisse de façon bien manoeuvrées quelques interrogations sur l'argent et les rapports nord-sud.
Du coup, je ressors enchanté de ce film, certes gore et dur, mais pas vain, loin s'en faut.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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N'en déplaise à un certain nombre, il y avait déjà tout cela en germe dans le premier, ce qui faisait déjà bien sûr son principal intérêt.cinephage a écrit :Hostel 2, de Eli Roth
Alors que je m'attendais à pas grand chose, plutôt à un défilé de tortures gore, pivilégiant les effets spéciaux. Au contraire, il y a un intéressant scénario dans ce film (j'ignore s'il rend honneur au premier, que je n'ai jamais vu), qui pose de vraies question politiques, et y glisse de façon bien manoeuvrées quelques interrogations sur l'argent et les rapports nord-sud.
Du coup, je ressors enchanté de ce film, certes gore et dur, mais pas vain, loin s'en faut.

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Hé bien je vais vite m'en rendre compte par moi-même : la cinéphagette m'a offert ce film pour mon anniversaire !!Gounou a écrit :N'en déplaise à un certain nombre, il y avait déjà tout cela en germe dans le premier, ce qui faisait déjà bien sûr son principal intérêt.cinephage a écrit :Hostel 2, de Eli Roth
(...)pose de vraies question politiques, et y glisse de façon bien manoeuvrées quelques interrogations sur l'argent et les rapports nord-sud.

J'avoue qu'à présent, je suis bien curieux de voir ce premier opus.
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Je l'ai revu récemment, après découverte du second... il est intéressant d'y constater un point de vue complètement reserré et subjectif, jusque dans le visuel du film, à l'inverse du second qui adopte le parti inverse, à savoir l'observation "omnisciente" des rouages de l'entreprise.cinephage a écrit :Hé bien je vais vite m'en rendre compte par moi-même : la cinéphagette m'a offert ce film pour mon anniversaire !!Gounou a écrit : N'en déplaise à un certain nombre, il y avait déjà tout cela en germe dans le premier, ce qui faisait déjà bien sûr son principal intérêt.![]()
J'avoue qu'à présent, je suis bien curieux de voir ce premier opus.
Il est donc cohérent que la première partie joue à fond sur les clichés touristiques et sexistes puisque c'est, d'une part, ce que recherchent les protagonistes et d'autre part ce que manie sciemment l'organisation pour les appâter et les piéger.

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Bien loin de l'insupportable Hostel des six Saw, voilà un bon film d'horreur qui déménage !!!
Mais finalement, en voyant ce film, on pense plus à Bonnie & Clyde (surtout à la fin), qu'à autre chose, mais les séquences gores et dérangeantes valent leur pesants de cacahuètes.
Une belle réussite (et avec une sacrée BO)
Bien loin de l'insupportable Hostel des six Saw, voilà un bon film d'horreur qui déménage !!!

Mais finalement, en voyant ce film, on pense plus à Bonnie & Clyde (surtout à la fin), qu'à autre chose, mais les séquences gores et dérangeantes valent leur pesants de cacahuètes.
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Tu sais que tu me donnes très envie de le voir ?Colqhoun a écrit :The Texas Chainsaw Massacre: The Beginning || Jonathan Liebesmann
Tout pourri. C'est chiant, il ne se passe rien, c'est filmé avec les pieds, tous les acteurs sont nuls, on nous sors des vieux prétextes moisis pour expliquer le pourquoi du comment du film de Nispel et alors c'est la foire aux incohérences. De cette série du renouveau du film de genre 70's je-sais-pas-quoi qui essaie d'être hardcore et dérangeant, ce machin est assurémment au sommet des "oeuvres" les plus misérables qui soient.
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Dead Silence, de James Wan (2007)
Quelques mots pour signaler ce film du créateur de Saw aux amateurs du genre. Parce que je ne suis pas un fan de la franchise, je n'attendais pas grand chose de ce film. Et je suis sorti assez agréablement satisfait.
Avec un scénario bien ficelé, qui ne manque pas de références, mais est tellement éloigné du slasher de base qu'il en est rafraichissant, une mise en scène souvent efficace (et bien moins hystérique que dans Saw) et un score efficace donnent à ce film une ambiance effrayante efficace.
Moins gore qu'effrayant, Dead Silence brigue l'intéret en évitant l'écueil du gars qui ne crois pas au surnaturel. Ici, on y croit, le héros n'est pas spécialement bête, et on essaie avec lui de comprendre ce qui se passe. Wan a intégré la leçon des maîtres asiatiques de la frayeur, et, globalement, réussit ses séquences stressantes. Après Saw, Wan semble amateur de poupées effrayantes, mais ici, le traitement donne à la chose une place centrale. L'usage de la bande sonore évoque un peu Argento, ce qui m'a surpris de ce réalisateur.
Bref, à tous les amateurs curieux échaudés par Saw, ce film est très différent, et mérite le regard (enfin, uniquement des amateurs du genre, qu'il ne transcende en rien).
Quelques mots pour signaler ce film du créateur de Saw aux amateurs du genre. Parce que je ne suis pas un fan de la franchise, je n'attendais pas grand chose de ce film. Et je suis sorti assez agréablement satisfait.
Avec un scénario bien ficelé, qui ne manque pas de références, mais est tellement éloigné du slasher de base qu'il en est rafraichissant, une mise en scène souvent efficace (et bien moins hystérique que dans Saw) et un score efficace donnent à ce film une ambiance effrayante efficace.
Moins gore qu'effrayant, Dead Silence brigue l'intéret en évitant l'écueil du gars qui ne crois pas au surnaturel. Ici, on y croit, le héros n'est pas spécialement bête, et on essaie avec lui de comprendre ce qui se passe. Wan a intégré la leçon des maîtres asiatiques de la frayeur, et, globalement, réussit ses séquences stressantes. Après Saw, Wan semble amateur de poupées effrayantes, mais ici, le traitement donne à la chose une place centrale. L'usage de la bande sonore évoque un peu Argento, ce qui m'a surpris de ce réalisateur.
Bref, à tous les amateurs curieux échaudés par Saw, ce film est très différent, et mérite le regard (enfin, uniquement des amateurs du genre, qu'il ne transcende en rien).
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Je vous sollicite encore car je vais avoir besoin de vos lumières:
Voilà le portrait-robot de ce que je cherche: des films d'horreur/fantastique avec des morts-vivants, des fantômes, des maisons hantées (j'aime énormément ça), des murs poisseux...
Si l'ambiance est crédible c'est vraiment un avantage, mais plus important: le scénario et la réal doivent insister sur l'abandon et la solitude totale du personnage face à sa peur...
Donc si vous avez des titres à conseiller qui correspondent avec ça, n'hésitez pas je suis tout ouï.
Voilà le portrait-robot de ce que je cherche: des films d'horreur/fantastique avec des morts-vivants, des fantômes, des maisons hantées (j'aime énormément ça), des murs poisseux...
Si l'ambiance est crédible c'est vraiment un avantage, mais plus important: le scénario et la réal doivent insister sur l'abandon et la solitude totale du personnage face à sa peur...
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Est-Ouest plutôt non ?cinephage a écrit :Hostel 2, de Eli Roth
Alors que je m'attendais à pas grand chose, plutôt à un défilé de tortures gore, pivilégiant les effets spéciaux. Au contraire, il y a un intéressant scénario dans ce film (j'ignore s'il rend honneur au premier, que je n'ai jamais vu), qui pose de vraies question politiques, et y glisse de façon bien manoeuvrées quelques interrogations sur l'argent et les rapports nord-sud.
Sur les rapports Nord-Sud, voir Turistas.
The gospel was told, some souls it swallowed whole
Mentally they fold, and they eventually sold
Their life and times, deadly like the virus design
But too, minute to dilute, the scientist mind.
Wu.
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Wu.
- cinephage
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Le rapport est clairement celui qui distingue un pays du G8 d'un pays émergent, dans lequel l'argent "autorise tout". J'emploie le terme sud au sens économique, le plus large, même si, ici, il s'agit d'un pays de l'est.takezo a écrit :Est-Ouest plutôt non ?cinephage a écrit :Hostel 2, de Eli Roth
Alors que je m'attendais à pas grand chose, plutôt à un défilé de tortures gore, pivilégiant les effets spéciaux. Au contraire, il y a un intéressant scénario dans ce film (j'ignore s'il rend honneur au premier, que je n'ai jamais vu), qui pose de vraies question politiques, et y glisse de façon bien manoeuvrées quelques interrogations sur l'argent et les rapports nord-sud.
Sur les rapports Nord-Sud, voir Turistas.

I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
- cinephage
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Deux films "évidents" me sautent immédiatement en tête : les Autres, d'A.Amenabar, et Sixième sens, de Night Shyalaman.Truffaut Chocolat a écrit :Je vous sollicite encore car je vais avoir besoin de vos lumières:
Voilà le portrait-robot de ce que je cherche: des films d'horreur/fantastique avec des morts-vivants, des fantômes, des maisons hantées (j'aime énormément ça), des murs poisseux...
Si l'ambiance est crédible c'est vraiment un avantage, mais plus important: le scénario et la réal doivent insister sur l'abandon et la solitude totale du personnage face à sa peur...
Donc si vous avez des titres à conseiller qui correspondent avec ça, n'hésitez pas je suis tout ouï.
2 soeurs, de Kim Jae-Woon
Plus rigolo et moins terrifiant (on n'est plus seul face à sa peur), mais il réunit avec un certain succès tous les schémas des films de maison hantée : Rose Red (un film direct to video). The Haunting, de Robert Wise, est aussi un modèle dans le genre (même s'il ne m'a pas vraiment effrayé).
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell