Nos visionnages : vite fait (index P.1)
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Re: Nos visionnages : vite fait
Oué, je confirme, le sépia, on le voit à peine (sauf -- bien sûr -- sur les écrans où le réglage couleurs est poussé à donf ! ). Et il suffit d'un rien pour le faire disparaître.
Comme je le disais dans le topic HD Carlotta, pour ce titre, faut pas trop se fier aux captures. En live, c'est mieux.
Comme je le disais dans le topic HD Carlotta, pour ce titre, faut pas trop se fier aux captures. En live, c'est mieux.
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Re: Nos visionnages : vite fait
Et je le redis aussi ; rapport à la dernière édition DVD datant de 2007, c'est le jour et la nuit. Je n'ai pas remarqué de teinte sepia.Commissaire Juve a écrit :Oué, je confirme, le sépia, on le voit à peine (sauf -- bien sûr -- sur les écrans où le réglage couleurs est poussé à donf ! ). Et il suffit d'un rien pour le faire disparaître.
Comme je le disais dans le topic HD Carlotta, pour ce titre, faut pas trop se fier aux captures. En live, c'est mieux.
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Re: Nos visionnages : vite fait
OK bon bin j'vais l'dire à Carlotta ! T'aurais pas dû mettre de captures alors.tenia a écrit :Comment dire sans être méchant.
C'est toi ?
Blague à part, c'est flagrant sur les captures, bien moins en visionnage. J'ai moi même été surpris de constater à quel point les captures étaient "roses", surtout quand on les mets les unes à côté des autres.
A nouveau, pour moi, même sans faire l'impasse sur les limites de la nouvelle restauration, elle enterre largement le BR BFI. Et quand je dis largement, j'utilise le mot de manière choisie, surtout après avoir zappé le disque à nouveau pour faire le comparo. Il contient un nombre notable de défauts gros comme des éléphants qui sont largement corrigés sur l'édition 2013, à commencer par d'énormes instabilités, que ce soit le cadre, la densité ou les contrastes. Sans compter un nombre incalculable de rayures et autres quasi complètement éliminées.
C'est la 3e fois que j'achète le film, sans compter le double DVD Criterion que j'ai tipiaké, et c'est clairement la plus belle édition. Alors oui, y a le sepia, mais honnêtement, ce serait dommage de s'arrêter à cela.
Na
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Re: Nos visionnages : vite fait
The Big Parade (La grande parade) - King Vidor
Warner, 2013 (US)
BD-50, Zone Free
1.37, N&B
1080p, AVC, débit vidéo moyen : 25844 kbps
English / DTS-HD Master Audio / 2.0 / 48 kHz / 1568 kbps / 24-bit (DTS Core: 2.0 / 48 kHz / 1509 kbps / 24-bit)
STF, amovibles
Ce test est basé sur le disque US mais l'édition française devrait utiliser le même Blu Ray.
Après le travail effectué sur les 4 films du coffret Gangster Classics, dont notamment une superbe copie de White Heat, Warner va encore plus loin dans le temps et attaque son catalogue muet avec comme titre test La grande parade.
Issue d'une restauration 4K, force est de constater que le résultat est très enthousiasmant tant il est impressionnant. On peut lire que la restauration a été faite à partir du négatif original (OCN), mais la présence de 2 types de plans, qualitativement, laisse supposer qu'il y a probablement eu une 2e source, à moins que l'OCN ait utilisé 2 types de matériel franchement différent.
En effet, 90% du film possède un rendu très net, défini, pour ne pas dire pointu. L'image est particulièrement stable, tant au niveau du cadre (les intertitres sont tellement stables qu'on peut se demander s'ils n'ont pas été recréés lors de la restauration) que du rendu (densité et contraste). On pourra constater par contre une minute soudainement bouchée à la 109e minute. Autrement, ces 90% sont quasi immaculés tant les défauts sont réduits à un minimum plus que négligeables. Quasiment aucune poussière, tâches et autres ne sont visibles, et hormis une poignée de légères rayures, rien à signaler.
Les 10% restants, par contre, semblent sortis d'une copie de bien moins bonne qualité. S'agit-il là de matériel moins bon utilisé pour le tournage ? De l'utilisation d'une copie de 2nde ou 3e génération ? En tout cas, cela se traduit par une chute drastique de la résolution et de la finesse de l'image, d'autant plus flagrante qu'elle tranche violemment avec l'autrement excellente qualité du Blu Ray.
Vu la qualité générale de la copie, on ne saurait en tenir spécifiquement rigueur, mais c'est tout de même suffisant pour être noté.
Exemple de plan inférieur :
Exemple de la 109e minute bouchée :
Le film étant muet, il est accompagné ici d'une partition de Carl Davis, présentée en stéréo. La partition est très efficace, et soutient parfaitement le film par sa composition. La piste retranscrit tout cela avec efficacité (il est dommage que ce ne soit que du stéréo, car en 5.1, ça aurait certainement dépoté), avec une belle ouverture du champ, une clarté impeccable, et une bonne reprise dans les graves notamment pour les instruments à vent.
Enfin, une petite note sur les bonus du film, relativement courts mais passionnants.
Evacuons ce que la France n'aura pas : le digibook US contient un excellent livret écrit par Kevin Bronlow. Celui-ci est plus consistant que la plupart des digibooks Warner, qui se contentent souvent de longues biographies des acteurs et du réalisateur, ainsi que 2-3 pages sur le tournage et la réception du film. Ici, on a droit à une longue synthèse de la création de La grande parade, depuis son casting jusqu'à sa réception, ainsi que le retour positif des vétérans US de la guerre 14-18 sur le film, en particulier sa 2e moitié.
Sur le disque, un seul bonus vidéo hormis la bande annonce d'époque du film, mais quel bonus formidable : un tour des studios MGM de Culver City (abritant aujourd'hui Sony Pictures) en 1925. Le document muet de 32 min est évidemment dans un état déplorable, mais nous montre quasiment tous les départements du studios, avec à chaque fois une courte présentation des gens les composant. On pourra ainsi voir quelques instants les décorateurs, les scénaristes, les réalisateurs, les acteurs et actrices, et même l'infirmière titulaire du studio ainsi que les électriciens.
Même si tout cela est évidemment à la gloire des studios MGM, montrés ici comme une énorme usine à rêves, c'est un document fabuleux que nous propose Warner.
Enfin, le film possède un commentaire audio de Jeffrey Vance, utilisant régulièrement des extraits d'entretiens avec King Vidor. Malheureusement, comme toujours avec Warner, le commentaire n'est pas sous titré ni en français, ni même en anglais.
Image : 9/10
Son : 9/10
Film : 9/10
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Re: Nos visionnages : vite fait
D'une manière général, c'est dingue le nombre de muets qui resplendissent en HD... davantage que les films des décennies suivantes.
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Re: Nos visionnages : vite fait
The Wicker Man - Robin Hardy
Studio Canal, 2013 (UK)
2 x BD-50, Zone B
1.85, couleurs
Final Cut (93 min) (BD #1) :
1080p, AVC, débit vidéo moyen : 24999 kbps
English / LPCM Audio / 2.0 / 48 kHz / 2304 kbps / 24-bit
STA, amovibles
Theatrical Cut (88 min) (BD #2) :
1080p, AVC, débit vidéo moyen : 24999 kbps
English / LPCM Audio / 2.0 / 48 kHz / 2304 kbps / 24-bit
STA, amovibles
Director's Cut (100 min) (BD #2) :
576i, MPEG-2, débit vidéo moyen : 10052 kbps
English / LPCM Audio / 2.0 / 48 kHz / 2304 kbps / 24-bit
STA, amovibles
Vu uniquement le Final Cut.
The Wicker Man a eu une vie très compliquée. Maintes fois coupé, puis tout autant de fois remonté, de nombreux éléments du film ont disparu avant de ré-apparaître, parfois dans un bon état, parfois dans un bien moins bon.
Ici, pour le 40e anniversaire du film, Studio Canal et le réalisateur du film ont cherché un maximum d'éléments afin de proposer le film dans ce qui est aujourd'hui considéré comme le Final Cut, et qui se situe entre le montage cinéma anglais (tronqué à 88 min afin d'être couplé au Don't Look Now de Nicolas Roeg) et le Director's Cut (qui monte jusque 100 min).
Le Final Cut proposé ici correspond donc à un remontage effectué par Robin Hardy pour l'exploitation US du film, qui est majoritairement disponible en éléments originaux 35 mm. La bonne nouvelle, du coup, c'est que malgré les multiples remontages du film, ce Final Cut possède globalement 95% dans une excellente qualité, certains plans donnant l'impression d'avoir été tournés hier. La qualité de la restauration permet en effet de conserver une patine très naturelle, sans dégrainage sauvage ou autre, et surtout de faire ressortir les nombreuses couleurs très saturées du film. Voyez les vêtements des enfants, le vert de l'herbe ou des arbres, toutes les couleurs resplendissent, follement saturées. Le cadre a été stabilisé, tout comme le contraste et la saturation, et couplé à un nettoyage de fond efficace, la copie est du coup dans un excellent état.
Restent les 5% restants, tirés de matériel clairement faible, avec un rendu laiteux très pale accompagné d'un grain bien plus épais que le reste du film. 2 captures plus bas sont fournies à titre d'exemples pour ces instants.
Exemples des ajouts :
Le film est présenté avec une jolie piste stéréo, qui rend notamment justice aux très nombreuses chansons émaillant le film. La piste est très claire, et aussi très propre (pas de souffle ou de craquements à déplorer, même sur les ajouts), et possède une jolie dynamique, audible surtout en fin de film.
Image (Final Cut) : 9/10
Son : 8.5/10
Film : 10/10
- tenia
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Re: Nos visionnages : vite fait
Jubal - Delmer Daves
Criterion, 2013 (US)
BD-50, Zone A
2.55, couleurs
1080p, AVC, débit vidéo moyen : 24997 kbps
English / LPCM Audio / 2.0 / 48 kHz / 2304 kbps / 24-bit
STA, amovibles
Fourni par Sony, la restauration 4K de Jubal n'a pas à rougir par rapport aux autres oeuvres, plus connues, restaurées par Sony. Si le matériel semble être assez variable dans son rendu, la qualité globale de la qualité est très bonne, voire même excellente pour la plupart des séquences en extérieur jour. Les principales réserves se situent sur une gestion des contrastes qui laisse à penser que pas mal de noirs sont bouchés (notamment une séquence dans la grange où les noirs paraissent trop profonds), et dans la-dite variabilité du matériel, avec une poignée de scènes très pâlichonnes, ainsi que des intérieurs moins probants que le reste du film.
Pour le reste, de très nombreux plans sont magnifiques, et l'ensemble du film est très bien rendu, avec un haut niveau de détails et une grande propreté et stabilité de l'image.
Excellente piste stéréo, dotée d'une belle amplitude. Claire, propre, vierge de distorsion, elle permet à la fois aux dialogues un excellent rendu, mais aussi aux effets sonores et surtout à la musique de profiter d'une dynamique agréablement surprenante pour un film de cet âge.
Image : 9/10
Son : 9/10
Film : 8.5/10
- tenia
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Re: Nos visionnages : vite fait
Le fils unique - Yasujiro Ozu
Carlotta, 2013 (FR)
BD-25, Zone B
1.37, N&B
1080p, AVC, débit vidéo moyen : 28810 kbps
Japanese / DTS-HD Master Audio / 1.0 / 48 kHz / 814 kbps / 24-bit (DTS Core: 1.0 / 48 kHz / 768 kbps / 24-bit)
STF, amovibles
Vous voyez le travail formidable sur Voyage à Tokyo (à la discutable teinte sepia près) ? Eh bah, oubliez, rien de tout ça ici. Le fils unique est dans un état déplorable, et on ne peut que saluer l'effort de Carlotta de proposer la copie dans un beau transfert HD bien propre, malgré une copie plus qu'abîmée par le temps.
Quasiment tous les plans sont abîmés à des degrés divers. Certains sont "simplement" parsemés de fines rayures, mais la plupart possèdent des sautes d'image, de très nombreuses tâches et moisissures (le défaut le plus gênant, car le plus intense mais aussi très récurrent), sans compter la constante instabilité du cadre. Un bon point, c'est l'aspect HD de l'ensemble grâce à une compression invisible malgré l'utilisation d'un BD-25 seulement (1h22 en 1.37 en mono, en même temps, ça rentre facilement). Et puis, il y a aussi une échelle de gris assez stable. Mais hormis cela, la définition est plus que limitée, et très peu de plans sont vraiment fins.
En somme, bienvenue dans le monde des films mal conservés.
Et pour le son ? A peu près la même chose. Si la piste son de Voyage à Tokyo n'était pas aidée par un souffle persistant, à côté du Fils unique, ça sonne comme Avatar. Non seulement les dialogues sont assez à très étouffés (à la 14e minute, par exemple, ils sonnent extrêmement sourds), mais un souffle persistant se fait entendre avec un volume parfois élevé. Très sérieusement, j'ai cru lors d'une séquence qu'il s'agissait d'un train qui passait à l'extérieur. Non, pas du tout, c'est juste l'état de la piste son...
Image : 5/10
Son : 5/10
Film : 7.5/10
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Re: Nos visionnages : vite fait
Tu veux que je te fasse hurler ?
Sur captures, je préfère largement le rendu du Fils Unique
Même si je vois bien même sur captures, qu'en mouvement tous ces défauts doivent être un enfer.
Sur captures, je préfère largement le rendu du Fils Unique
Même si je vois bien même sur captures, qu'en mouvement tous ces défauts doivent être un enfer.
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Re: Nos visionnages : vite fait
Ah oui, non, effectivement.
C'est juste mais des lieues en dessous. A côté, Voyage à Tokyo, c'est La mélodie du bonheur en termes de rendu. C'est blindé de toutes les tâches du monde, ça saute, ça a un niveau de détails très faible et une finesse quasi absente. C'est d'ailleurs la 1ere fois que ça m'arrive : rapport à la limite de 30 images par post sur EcranLarge, je me limite à 28-29 captures finales. En général, à la fin de mon zapping sur le PC, je finis entre 50 et 80 captures, et j'élimine brutalement celles floues ou en doublon.
Eh bah là, à la fin du film j'étais juste... à 28 captures.
C'est juste mais des lieues en dessous. A côté, Voyage à Tokyo, c'est La mélodie du bonheur en termes de rendu. C'est blindé de toutes les tâches du monde, ça saute, ça a un niveau de détails très faible et une finesse quasi absente. C'est d'ailleurs la 1ere fois que ça m'arrive : rapport à la limite de 30 images par post sur EcranLarge, je me limite à 28-29 captures finales. En général, à la fin de mon zapping sur le PC, je finis entre 50 et 80 captures, et j'élimine brutalement celles floues ou en doublon.
Eh bah là, à la fin du film j'étais juste... à 28 captures.
- Commissaire Juve
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Re: Nos visionnages : vite fait
Je me dis : "Oooh, ça a l'air cool ! Un bon western en 2.35 comme je les aime !"tenia a écrit : Jubal - Delmer Daves
Et puis...
Et mer*** ! un Criterion !
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Re: Nos visionnages : vite fait
Ca sortira peut être chez Sony hors collection chez nous.
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Re: Nos visionnages : vite fait
The Presidio (Peter Hyams, 1988)
Reçu hier... Visionné presque complètement tout à l'heure (90% du film)... C'est un BLU américain compatible zone B. Blu-ray.com avait filé un 4,5 sur 5 à l'image... ça les vaut. Faut dire qu'on part d'un DVD non-anamorphique ; le BLU n'a pas de mal à s'imposer.
C'est du 1080p/24. Il y a parfois des petits effets de flou à la marge, mais c'est sans doute normal (on a ça sur certains films des années 70, genre "Close encounters"). Il y a des STF et même une VF d'époque. Côté suppléments, euh... une BA (je n'ai même pas regardé).
Le seul truc vraiment gonflant (à mes yeux) : le sous-titrage... Alors, de certaines personnes qui ont les dents du bonheur, on dit qu'il leur manque une dent. Ben, là, c'est du sous-titrage "du bonheur". L'interligne est tellement large qu'on a l'impression qu'il manque une ligne.
EDIT : argl ! c'est bien le montage R... les deux comédiens se roulent des pelles puis, on enchaîne sur un plan de feu de cheminée, l'acte a été consommé. Bon, en même temps, ce n'est pas plus mal. Ces moments torrides sont souvent embarrassants (les comédiens ont parfois l'air ridicule) et ça ralentit l'action.
Reçu hier... Visionné presque complètement tout à l'heure (90% du film)... C'est un BLU américain compatible zone B. Blu-ray.com avait filé un 4,5 sur 5 à l'image... ça les vaut. Faut dire qu'on part d'un DVD non-anamorphique ; le BLU n'a pas de mal à s'imposer.
C'est du 1080p/24. Il y a parfois des petits effets de flou à la marge, mais c'est sans doute normal (on a ça sur certains films des années 70, genre "Close encounters"). Il y a des STF et même une VF d'époque. Côté suppléments, euh... une BA (je n'ai même pas regardé).
Le seul truc vraiment gonflant (à mes yeux) : le sous-titrage... Alors, de certaines personnes qui ont les dents du bonheur, on dit qu'il leur manque une dent. Ben, là, c'est du sous-titrage "du bonheur". L'interligne est tellement large qu'on a l'impression qu'il manque une ligne.
Je n'avais pas vu ton message. Va falloir que je revoie la scène (tout à l'heure, je l'ai passée en accéléré... ça m'énervait... ça retardait l'action ). Cela dit, c'est une édition américaine, hein. Si la censure est britannique, ça devrait être OK. Je te dirai ça demain.Jerome a écrit :c'est le montage européen ou amazon Uk vend le disque Us avec le montage R ?Commissaire Juve a écrit :Amazon UK... 12 euros et demi tout compris...
Parce que je préfère cette jaquette à celle qui est annoncée pour l'édition française.
http://www.movie-censorship.com/report.php?ID=90003
EDIT : argl ! c'est bien le montage R... les deux comédiens se roulent des pelles puis, on enchaîne sur un plan de feu de cheminée, l'acte a été consommé. Bon, en même temps, ce n'est pas plus mal. Ces moments torrides sont souvent embarrassants (les comédiens ont parfois l'air ridicule) et ça ralentit l'action.
Dernière modification par Commissaire Juve le 26 oct. 13, 14:42, modifié 3 fois.
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Re: Nos visionnages : vite fait
ce n'est pas une censure anglaise. il y a un montage pour les USA cut, et un montage Uncut en Europe où la scène de sexe est plus longue, en France comme en Angleterre.Commissaire Juve a écrit :The Presidio (Peter Hyams, 1988)
Reçu hier...Je n'avais pas vu ton message. Va falloir que je revoie la scène (tout à l'heure, je l'ai passée en accéléré... ça m'énervait... ça retardait l'action ). Cela dit, c'est une édition américaine, hein. Si la censure est britannique, ça devrait être OK. Je te dirai ça demain.Jerome a écrit :
c'est le montage européen ou amazon Uk vend le disque Us avec le montage R ?
http://www.movie-censorship.com/report.php?ID=90003
Dernière modification par Jerome le 25 oct. 13, 19:46, modifié 1 fois.
"Sa place est dans un Blu-Ray"
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Re: Nos visionnages : vite fait
Commissaire Juve a écrit :Alors, de certaines personnes qui ont les dents du bonheur, on dit qu'il leur manque une dent. Ben, là, c'est du sous-titrage "du bonheur". L'interligne est tellement large qu'on a l'impression qu'il manque une ligne.
Sinon les flous à la marge, c'est un défaut optique (de l'objectif utilisé au moment du tournage). Cela fait partie de l'ADN du film, des limites techniques de son époque, et de son charme pour certains.
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)