Je m'en doute... (ça ressemble assez peu à la musique de ta très lointaine jeunesse ) Mais je t'avertis au cas où...Jeremy Fox a écrit :ps : je ne savais pas qui était Rodolphe Burger avant ce matinRequiem a écrit :
Je ne connais pas l'accompagnement que Burger a fait pour le muet, mais si c'est du niveau des plages sonores "composées" à prix d'or pour le tramway strasbourgeois, je préfère Xavier, ou n'importe quel CD d'ailleurs...
Le Cinéma muet
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Pour les curieux qui veulent se faire une idée sur ce que fait Rodolphe Burger, avec ou sans Kat Onoma, et pour qu'on arrête avec les clichés idiots véhiculés par le terme apporximatif "rock", voilà le lien direct sur la page de son label (Dernière Bande) avec extraits musicaux en mp3 :
http://www.dernierebande.com/shopping/d ... opping.php
http://www.dernierebande.com/shopping/d ... opping.php
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Je précise que je tiens les propos plus haut en amateur de Kat Onoma.B. a écrit :Pour les curieux qui veulent se faire une idée sur ce que fait Rodolphe Burger, avec ou sans Kat Onoma, et pour qu'on arrête avec les clichés idiots véhiculés par le terme apporximatif "rock", voilà le lien direct sur la page de son label (Dernière Bande) avec extraits musicaux en mp3 :
http://www.dernierebande.com/shopping/d ... opping.php
noar a écrit :ca fait 2
J'ai dégotté Nosferatu cet aprèm à la médiathèque.
Je l'avais jamais vu depuis maintenant trois mois que je la fréquente.
putain je suis content. je vais le voir ce week-end, avant même la version intégrale de le bon, la brute et le truand.
A propos, vous me conseillez de le regarder en 18 ou en 24 images secondes ?
mais c'est pas tout !!! j'ai aussi trouvé Le cuirassé Potemkine!!
je vais enfin découvrir cet immense classique !!!
et ils ont aussi récememnt acquis The General !!!
La médiathèque de Troyes a apparemment investi dans plusieurs films muets et...
c'est bien !!! dommage qu'on ne puisse emprunter qu'un seul DVd à la fois.
Mais ça va me permettre de combler quelques lacunes et surtout d'enfin découvrirle film le plus célèbre d'un de mes réalisateurs préférés !!
Ouf>
est-ce que le film dont tu parles était avec Lilian Gish ?
Le début de La lettre écarlate (comme le reste du film d'ailleurs ) se passe dans un village de la Nouvelle Angleterre au XVII ème siècle. c'est une communauté puritaine.
Le personnage interprété par Lilian Gish laisse chanter son oiseau le jour du Seigneur. Du coup, elle est punie par la communauté, vraiment très puritaine.
voilà pour le début du flm...
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"A propos, vous me conseillez de le regarder en 18 ou en 24 images secondes ? "
Je te conseille de regarder les deux copies qui sont trés différentes. Il n'y a pas que la vitesse qui change (à vrai dire c'est le changement qu'on remarque le moins) mais surtout il n'y a pas de teinture de l'image et les cartons respectent les noms du roman de Bram Stocker et différent par l'apparition d'un narrateur. Mais l'image n'as pas été restauré.
Un lien où tu pourras avoir plus de détails : http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=247
Je te conseille de regarder les deux copies qui sont trés différentes. Il n'y a pas que la vitesse qui change (à vrai dire c'est le changement qu'on remarque le moins) mais surtout il n'y a pas de teinture de l'image et les cartons respectent les noms du roman de Bram Stocker et différent par l'apparition d'un narrateur. Mais l'image n'as pas été restauré.
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Sans hésiter je le conseille en 18, d'une part à cause de la couleur, magnifique, mais aussi à cause de la vitesse, en 24 ça va beaucoup trop vite c'est ridicule, on perd l'esprit du film.Spongebob a écrit :"A propos, vous me conseillez de le regarder en 18 ou en 24 images secondes ? "
Je te conseille de regarder les deux copies qui sont trés différentes. Il n'y a pas que la vitesse qui change (à vrai dire c'est le changement qu'on remarque le moins) mais surtout il n'y a pas de teinture de l'image et les cartons respectent les noms du roman de Bram Stocker et différent par l'apparition d'un narrateur. Mais l'image n'as pas été restauré.
Un lien où tu pourras avoir plus de détails : http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=247
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C'est clair et net que la 18 est la version définitive mais celle en 24 reste intéressante en comparaison.Xavier a écrit :Sans hésiter je le conseille en 18, d'une part à cause de la couleur, magnifique, mais aussi à cause de la vitesse, en 24 ça va beaucoup trop vite c'est ridicule, on perd l'esprit du film.Spongebob a écrit :"A propos, vous me conseillez de le regarder en 18 ou en 24 images secondes ? "
Je te conseille de regarder les deux copies qui sont trés différentes. Il n'y a pas que la vitesse qui change (à vrai dire c'est le changement qu'on remarque le moins) mais surtout il n'y a pas de teinture de l'image et les cartons respectent les noms du roman de Bram Stocker et différent par l'apparition d'un narrateur. Mais l'image n'as pas été restauré.
Un lien où tu pourras avoir plus de détails : http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=247
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Pour ce film, la sentence assez vraie 'il n'y a rien de pire qu'une comédie qui ne fait pas rire' ne tient pas le coup. Le scénario est tellement bien écrit qu'on peut s'en délecter au premier degré en laissant de côté l'humour C'est d'une part de ça que provient le génie de KeatonTuck pendleton a écrit :c'est très vraiJeremy Fox a écrit :
Tu devrais te régaler car il s'agit, selon moi, du seul film burlesque que tu peux apprécier même s'il ne te fait pas rire : un exploit !
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Quoique ne pas rire ne serait-ce qu'une seule fois sur ce film me parait fort improbable, non ? (je suis sur qu'il y en a qui vont me dire que 'non, ils n'ont pas ri' )Jeremy Fox a écrit :Pour ce film, la sentence assez vraie 'il n'y a rien de pire qu'une comédie qui ne fait pas rire' ne tient pas le coup. Le scénario est tellement bien écrit qu'on peut s'en délecter au premier degré en laissant de côté l'humour C'est d'une part de ça que provient le génie de KeatonTuck pendleton a écrit :
c'est très vrai
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Fort improbable pour moi aussi. Mais la mécanique est tellement bien huilée et le scénario et la mise en scène sont si parfaites qu'on peut aussi voir ce film comme un bon western ou film d'aventure.Majordome a écrit :
Quoique ne pas rire ne serait-ce qu'une seule fois sur ce film me parait fort improbable, non ? (je suis sur qu'il y en a qui vont me dire que 'non, ils n'ont pas ri' )
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Pour en revenir au débat, plus haut, sur la musique d'accompagnement...
Il me semble toujours 'hérétique' (ne pas le prendre mal ) de considérer la diffusion des films muets sans musique comme étant la bonne manière de les regarder. C'est un choix personnel non critiquable bien sur, mais çà ne relève aucunement du respect de l'oeuvre !
A ma connaissance, et de ce que j'ai lu dans divers livres sur le sujet (la période du muet m'intéresse beaucoup), les films muets ont quasi toujours été diffusés avec accompagnement musical (voire avec des commentaires d'un animateur sur scène ! Chose qui se pratique encore dans certains pays, sur des films parlants, notamment quand ils n'ont pas les moyens de doubler les films) pendant toute la période du muet et ce, quelque soit le pays. il y a surement eu des exceptions bien sur, mais ce fut surement ultra-minoritaire.
A la période la plus productive du muet, il y avait même des conseils de programmes musicaux (souvent inspirés du répertoire classique) prodigués par les distributeurs et/ou les réalisateurs.
C'est avec l'arrivée de la télé et l'usage du télécinéma que l'on a diffusé les films sans accompagnement (parce que ce n'était pas facile techniquement), contribuant, au passage, à dégouter des générations de spectateurs.
Alors que l'on aime regarder un film muet dans le silence le plus total est un choix respectable, mais il ne représente vraiment pas l'idée du respect de l'oeuvre puisque ce n'était pas comme çà que les films étaient proposés au public.
Personnellement, je fais comme Jeremy, je mets un disque si c'est totalement muet car sinon je décroche, et çà n'est pas la même chose qu'un bon accompagnement au service du film fait par un professionnel.
J'ai assisté Samedi dernier à la projection de Visages d'Enfant, de Jacques Feyder, sur une partition écrite et dirigée en direct par Antonio Copolla, et c'était vraiment magnifique ! La musique apportait un contrepoint extraordinaire aux images de Feyder (il est possible qu'un DVD du film avec cette partition soit édité - indiscretion entendue dans les couloirs après la scéance).
Et puis c'est un bel avantage que cette musique 'improvisée' car on ne voit ainsi jamais le même film et le plaisir peut être renouvelé d'autant.
Il me semble toujours 'hérétique' (ne pas le prendre mal ) de considérer la diffusion des films muets sans musique comme étant la bonne manière de les regarder. C'est un choix personnel non critiquable bien sur, mais çà ne relève aucunement du respect de l'oeuvre !
A ma connaissance, et de ce que j'ai lu dans divers livres sur le sujet (la période du muet m'intéresse beaucoup), les films muets ont quasi toujours été diffusés avec accompagnement musical (voire avec des commentaires d'un animateur sur scène ! Chose qui se pratique encore dans certains pays, sur des films parlants, notamment quand ils n'ont pas les moyens de doubler les films) pendant toute la période du muet et ce, quelque soit le pays. il y a surement eu des exceptions bien sur, mais ce fut surement ultra-minoritaire.
A la période la plus productive du muet, il y avait même des conseils de programmes musicaux (souvent inspirés du répertoire classique) prodigués par les distributeurs et/ou les réalisateurs.
C'est avec l'arrivée de la télé et l'usage du télécinéma que l'on a diffusé les films sans accompagnement (parce que ce n'était pas facile techniquement), contribuant, au passage, à dégouter des générations de spectateurs.
Alors que l'on aime regarder un film muet dans le silence le plus total est un choix respectable, mais il ne représente vraiment pas l'idée du respect de l'oeuvre puisque ce n'était pas comme çà que les films étaient proposés au public.
Personnellement, je fais comme Jeremy, je mets un disque si c'est totalement muet car sinon je décroche, et çà n'est pas la même chose qu'un bon accompagnement au service du film fait par un professionnel.
J'ai assisté Samedi dernier à la projection de Visages d'Enfant, de Jacques Feyder, sur une partition écrite et dirigée en direct par Antonio Copolla, et c'était vraiment magnifique ! La musique apportait un contrepoint extraordinaire aux images de Feyder (il est possible qu'un DVD du film avec cette partition soit édité - indiscretion entendue dans les couloirs après la scéance).
Et puis c'est un bel avantage que cette musique 'improvisée' car on ne voit ainsi jamais le même film et le plaisir peut être renouvelé d'autant.
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J'accuse
Posté le: Jeu Avr 08, 2004 7:27 am Sujet du message:
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"Oui mais dans ce cas par exemple (il y'avait également un groupe gothique dont je ne me rappelle plus le nom qui faisait la même chose) on va peut être plus voir un concert de Rodolph Burger que le film L'inconnu. Ou du moins, on va assister à une sorte de fusion entre deux médias. En gros c'est un concert de Burger inspiré du film (enfin je m'avance un peu, je ne l'ai pas vu)".
Remarque adressée à l'intention de l'auteur de ces lignes :
Du 13 octobre au 5 novembre 2000 a eu lieu un événement que toutes et tous, amateurs de Tod Browning (et Lon Chaney) attendaient : une rétrospective intégrale de tous ses films. C'était donc l'occasion inespérée de suivre chronologiquement l'Œuvre, souvent méconnue, d'un très grand cinéaste.
Pour la première depuis.. jamais, on avait droit à une véritable rétrospective, comme Ford, Hawks, Walsh en ont eu. Enfin il était donné aux spectateurs de suivre ce metteur en scène pas à pas, de constater l'évolution d'une carrière très originale. Les films de Tod browning sont très rares (mis à part, Freaks, L'inconnu, he Road to Mandaley, The black bird, Dracula et Mark of the vampire).
Quelle joie alors d'apprécier dans sa globalité (car malheureusement, certains titres dont Londdon after midnight sont définitvement perdus) l'ensemble des films de cet homme qu'on appelle parfois le Edgar Poe du cinéma.
ALors, lorsqu'on me dit "que dans ce cas", on va plus voir un concert, il ne faut pas se foutre de la gueule du monde.
Non, c'était une rétrospective "Tod Browning" un point. C'est tout !
De quelle fusion parlez-vous ? Comment osez-vous dire que dans une rétrospective telle que celle-ci, qui est un événement cinématographique d'ordre mondial, on va plus voir un concert qu'un film.
Comment osez-vous mettre un retrait un un génial cinéaste à qui l'on rend hommage, par rapport à un quidam qui n'est là que pour accompagner un film ?
Comment pouvez-vous rabaisser Browning lors d'un tel événement par rapport à la musique de cet individu ?
Mesurez-vous le mépris avec lequel vous traitez Tod Brwoning ?
Connaissez-vous l'Œuvre de cet homme pour vous permettre de tels propos ?
Êtes-vous concerné par les films de TOD BRWNING ?
Comment osez-vous affirmer que dans ce cas on plus voir un concert, alors que justement, il était enfin permis de suivre pour la première fois en France, le parcours d'un réalisateur et de son comédien fétiche ?
Vous ne mesurez certainement pas l'importance de cette rétrospective, ORGANISÉE pour les AMOUREUX de TOD BROWNING et de LON CHANEY.
Que vient foutre ce fils de pute de Burger là-dedans ?
Comment Ose-t-on prendre le parti pour ce compositeur qu'on a parachuté à l'intérieur d'un magnifique hommage dédié à l'un des réalisateurs les plus importants du cinéma américain ?
Mais où va-t-on à la fin ?
Je reconnais y être allé trop fort avec Xavier, mais là, avec une affirmation comme celle-ci PAS DE QUARTIER !
UNE RÉTROSPECTIVE TOD BROWNING EST TROP IMPORTANTE POUR QU'ON Y PLACE LA MUSIQUE D'UNE PERSONNE PEU CONCERNÉE PAR CET ÉVÉNEMENT.
PLUS GRAVE, DÉFENDRE BURGER ALORS QU'ELLE DÉFIGURE UN FILM QUI EST PLACÉ DANS LA PREMIÈRE RÉTROSPECTIVE MONDIALE D'UN GÉNIE DU CINÉMA DE L'ÉTRANGE ME SEMBLE HAUTEMENT CONDAMNABLE.
CET ACT TEND À RABAISSER UN ARTISTE AU PROFIT D'UN AUTRE, LEQUEL S'EST INGÉNIÉ À RÉDUIRE LE FILM D'UN HOMME DE TRÈS GRAND TALENT À L'ÉTAT D'ILLUSTRATION VISUELLE.
J'ACCUSE ET ACCUSE ENCORE.
J'ESPÈRE QU'UN JOUR, À L'IMAGE DU FILM D'ABEL GANCE, LES MORTS (BRWNING et CHANEY) SE LÈVERONT DE LEURS TOMBES POUR ALLER PUNIR L'AUTEUR DE LA REMARQUE CITÉE EN RÉFÉRENCE.
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"Oui mais dans ce cas par exemple (il y'avait également un groupe gothique dont je ne me rappelle plus le nom qui faisait la même chose) on va peut être plus voir un concert de Rodolph Burger que le film L'inconnu. Ou du moins, on va assister à une sorte de fusion entre deux médias. En gros c'est un concert de Burger inspiré du film (enfin je m'avance un peu, je ne l'ai pas vu)".
Remarque adressée à l'intention de l'auteur de ces lignes :
Du 13 octobre au 5 novembre 2000 a eu lieu un événement que toutes et tous, amateurs de Tod Browning (et Lon Chaney) attendaient : une rétrospective intégrale de tous ses films. C'était donc l'occasion inespérée de suivre chronologiquement l'Œuvre, souvent méconnue, d'un très grand cinéaste.
Pour la première depuis.. jamais, on avait droit à une véritable rétrospective, comme Ford, Hawks, Walsh en ont eu. Enfin il était donné aux spectateurs de suivre ce metteur en scène pas à pas, de constater l'évolution d'une carrière très originale. Les films de Tod browning sont très rares (mis à part, Freaks, L'inconnu, he Road to Mandaley, The black bird, Dracula et Mark of the vampire).
Quelle joie alors d'apprécier dans sa globalité (car malheureusement, certains titres dont Londdon after midnight sont définitvement perdus) l'ensemble des films de cet homme qu'on appelle parfois le Edgar Poe du cinéma.
ALors, lorsqu'on me dit "que dans ce cas", on va plus voir un concert, il ne faut pas se foutre de la gueule du monde.
Non, c'était une rétrospective "Tod Browning" un point. C'est tout !
De quelle fusion parlez-vous ? Comment osez-vous dire que dans une rétrospective telle que celle-ci, qui est un événement cinématographique d'ordre mondial, on va plus voir un concert qu'un film.
Comment osez-vous mettre un retrait un un génial cinéaste à qui l'on rend hommage, par rapport à un quidam qui n'est là que pour accompagner un film ?
Comment pouvez-vous rabaisser Browning lors d'un tel événement par rapport à la musique de cet individu ?
Mesurez-vous le mépris avec lequel vous traitez Tod Brwoning ?
Connaissez-vous l'Œuvre de cet homme pour vous permettre de tels propos ?
Êtes-vous concerné par les films de TOD BRWNING ?
Comment osez-vous affirmer que dans ce cas on plus voir un concert, alors que justement, il était enfin permis de suivre pour la première fois en France, le parcours d'un réalisateur et de son comédien fétiche ?
Vous ne mesurez certainement pas l'importance de cette rétrospective, ORGANISÉE pour les AMOUREUX de TOD BROWNING et de LON CHANEY.
Que vient foutre ce fils de pute de Burger là-dedans ?
Comment Ose-t-on prendre le parti pour ce compositeur qu'on a parachuté à l'intérieur d'un magnifique hommage dédié à l'un des réalisateurs les plus importants du cinéma américain ?
Mais où va-t-on à la fin ?
Je reconnais y être allé trop fort avec Xavier, mais là, avec une affirmation comme celle-ci PAS DE QUARTIER !
UNE RÉTROSPECTIVE TOD BROWNING EST TROP IMPORTANTE POUR QU'ON Y PLACE LA MUSIQUE D'UNE PERSONNE PEU CONCERNÉE PAR CET ÉVÉNEMENT.
PLUS GRAVE, DÉFENDRE BURGER ALORS QU'ELLE DÉFIGURE UN FILM QUI EST PLACÉ DANS LA PREMIÈRE RÉTROSPECTIVE MONDIALE D'UN GÉNIE DU CINÉMA DE L'ÉTRANGE ME SEMBLE HAUTEMENT CONDAMNABLE.
CET ACT TEND À RABAISSER UN ARTISTE AU PROFIT D'UN AUTRE, LEQUEL S'EST INGÉNIÉ À RÉDUIRE LE FILM D'UN HOMME DE TRÈS GRAND TALENT À L'ÉTAT D'ILLUSTRATION VISUELLE.
J'ACCUSE ET ACCUSE ENCORE.
J'ESPÈRE QU'UN JOUR, À L'IMAGE DU FILM D'ABEL GANCE, LES MORTS (BRWNING et CHANEY) SE LÈVERONT DE LEURS TOMBES POUR ALLER PUNIR L'AUTEUR DE LA REMARQUE CITÉE EN RÉFÉRENCE.