Employee's entrance (Roy Del Ruth) : 8 Justice est faite (Andre Cayatte) : 6.5 Pierre et Jean (Andre Cayatte) : 7 L'Assassin du Tsar (Karen Shaknazarov) : 4 Le Temps de vivre (Bernard Paul) : 7.5 Giboulées conjugales (Frank Borzage) : 6 Le Dossier Noir (Andre Cayatte) : 6.5 A Short love affair (Jang Sun-Woo) : 7 Zone Grise (Fredi Murer) : 3 Oeil pour oeil (Andre Cayatte) : 6.5 Pasqualino (Lina Wertmuller) : 5.5 Drole de drame (Marcel Carné) : 5.5 La Maison est noire (Forough Farrokhzad): 7 (court metrage) Les Collines de Marlick (Ebrahim Golestan) : 6 (court metrage) Leviathan (Leonard Keigel) : 5 Les Gens d'un bidonville (Bae Chang-Ho) : 6 Les Lys des champs (Elo Havetta) : 4 Le Vol de l'aigle (Jan Troell) : 8 Piege pour Cendrillon (Andre Cayatte) : 5 Le Papillon meurtri (Maurice Tourneur) : 5.5 Tucker (Francis Ford Coppola) : 9 Jewel Robbery (William Dieterle) : 7 Un Sac de billes (Jacques Doillon) : 7.5 Blonde crazy (Roy Del Ruth) : 6 The Mind reader (Roy Del Ruth) : 7
Dernière modification par Jack Carter le 21 oct. 19, 21:22, modifié 2 fois.
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
Bilan très mitigé pour moi. Entre les 2 raretés sud-coréennes complètement portnawak, le Tourneur ruiné par un acteur principal complètement nul, et d'autres joyeusetés du genre, pas grand chose surnage hormis Moonrise de Borzage (... seul film de mon programme que j'avais chez moi en BR) et les 2 Pre-Code que j'ai vu (L'ange blanc et Âmes libres, et bon, ce ne sont pas des chefs d'oeuvre non plus).
Assez déçu par Toni, notamment. Trop disjoint, trop variable dans ses interprétations.
Mais j'ai beaucoup ri avec la salle devant ses films souvent abrupts, ancrés dans leurs époques respectives, et pas toujours bien fichus ou bien joués.
Moi j'avais misé sur de l'inédit en supports vidéo ou pas encore vus pour 6 films en tout (la grève snscf aura eu raison de mon visionnage du "Papillon meurtri" de Tourneur)...
Très satisfait pour ma part : Trois films majeurs "Le Temps de vivre", "Les gens de la pluie" en version restaurée, "Cotton Club" dans sa nouvelle version director's cut de 2h15 (et confirmé par un article du Point : https://www.lepoint.fr/pop-culture/au-f ... 1_2920.php)
Un très bon Cayatte : "Le dernier sou". L'autre peut-être plus mineur mais très agréable et enlevé avec Danielle Darrieux : "La fausse maitresse".
Enfin un film très intéressant sur la forme et beaucoup moins scénaristiquement ainsi que dans le jeu d'acteurs (hormis Charles Vanel) : "Le diable souffle" d'Edmond T. Greville (dans la salle ça rigolait même sur certaines scènes et quasi aucun applaudissements à la fin contrairement aux autres films visionnés)...
Un festival réussi avec Copppola à la présentation en prime !
damdouss a écrit :
Très satisfait pour ma part : Trois films majeurs "Le Temps de vivre", "Les gens de la pluie" en version restaurée, "Cotton Club" dans sa nouvelle version director's cut de 2h15 (et confirmé par un article du Point : https://www.lepoint.fr/pop-culture/au-f ... 1_2920.php)
Je comprend pas à quel problème de droit l'article fait allusion. Une sortie BR n'était pas prévu pour cet hiver aux USA chez Lionsgate?
Script achevé, scènes de 2e équipe tournées en fait en 2001, projet toujours en recherche de financement, pour un budget gigantesque et un film d'une échelle clairement plus grande qu'AN. Pas de casting dévoilé pour le moment. L'histoire rappelle fortement Le Rebelle de King Vidor.
Jack Carter a écrit :
Pasqualino (Lina Wertmuller) : 5.5
C'est tout ? J'ai découvert le film cet été, et je le trouve incroyable d'audace et d'inventivité. Maintenant, je peux concevoir qu'en festival, ce soit un film un peu assommant...
Jack Carter a écrit :
Pasqualino (Lina Wertmuller) : 5.5
C'est tout ? J'ai découvert le film cet été, et je le trouve incroyable d'audace et d'inventivité. Maintenant, je peux concevoir qu'en festival, ce soit un film un peu assommant...
Assomant, oui. Mais j'ai des circonstances attenuantes :
Je l'ai vu le jour où j'etais le plus crevé (mal dormi la veille, levé tres tot le matin pour rdv medical), et en soirée (apres 21h), je luttais pas mal contre le sommeil, en pensant le plus souvent à mon lit , donc à revoir...(en effet, dans le cadre d'un festival, on n'apprehende pas les films de la meme façon en les voyant quasiment à la chaine)
La salle autour de moi riait beaucoup, ceci-dit
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)