Alexandre Angel a écrit :Sinon, j'aurais assez peur de revoir Jesus Christ Superstar.
Une bonne poilade. Le film a toujours un petit succès lors des soirées potes, biiiip et second degré.
C'est un film que j'avais vu en 1984, projeté en plein air sur une petite place vénitienne.
Ça ne s'invente pas..
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Que Dieu me pardonne mais il y a un petit quelque chose du final d' All That Jazz dans cette séquence.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Alexandre Angel a écrit :J'aime bien Rollerball mais le film, pour reprendre ta formulation sur In the heat of the night, a du mal à dépasser son brio spectaculaire. Il lui manque la hauteur de vue d'un Soleil vert, par exemple.
Et la conclusion est très décevante dans ses aboutissants : on veut nous faire penser que les magnats sont baisés par James Caan alors qu'il ne fait qu'entériner le show en régalant le public de ses exploits. C'est déshabiller Pierre pour habiller Paul.
Mais les séquences d'action sont ébouriffantes.
Je trouve que malgré tout en le replaçant dans son époque, la dénonciation du sport spectacle reste plus qu'anecdotique, et puis ça reste un des plus beaux films de sport
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Rockatansky a écrit :Je trouve que malgré tout en le replaçant dans son époque, la dénonciation du sport spectacle reste plus qu'anecdotique, et puis ça reste un des plus beaux films de sport
Je ne te ferais pas l'insulte de te dire que je préfère le remake de McTiernan (décidemment! ) : de toutes façons, tu ne me croirais pas.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Si tel est le cas tu es à deux doigts du bannissement
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Non cité sur ce forum : Larry le liquidateur ( Other people money 1991 ), film que je trouve tout à fait réjouissant avec un irrésistible Danny deVito , la très jolie Penelope Ann Miller , Gregory Peck....
Sympa d'avoir une chronique de ce film, en revanche je ne partage pas du tout l'avis. J'adore ce film et c'est même mon préféré de la trilogie Rock Hudson - Doris Day. Après j'ai conscience d'être plutôt à contre-courant sur ce coup, mais je ne me lasse pas du jeu de Rock Hudson dans cette comédie, où je trouve son personnage d'hypocondriaque encore plus drôle que celui du séducteur macho de Confidences sur l'oreiller et d'Un pyjama pour deux (j'aime également beaucoup ces films).
scottspeed a écrit : je ne me lasse pas du jeu de Rock Hudson dans cette comédie, où je trouve son personnage d'hypocondriaque encore plus drôle que celui du séducteur macho
Point sur lequel je suis d'accord : l'idée de ce personnage est déjà en soit extrêmement drôle.
Eclair de lune – Norman Jewison (1987) : 4/10
Entre chronique familiale et comédie romantique, un film assez mal rythmé, des personnages fades ou surréalistes (Cher et Nicolas Cage), dont on nous demande de croire – au forceps – à leur idylle, qui repose sur une première scène totalement ratée. Il n’est pas interdit de trouver du plaisir dans le cadre New Yorkais des années 80 pour passer le temps, mais c’est mince.
Au passage belle moisson d’Oscar pour ce film, 3 Oscars (Actrice, Actrice second rôle, Scénario )
sur 6 nominations.