Dans les 400 coups, Antoine Doinel et son copain René piquent une photo d'exploitation de Monika (1953). Pour le plaisir de piquer ? Pour le plaisir de collectionner ? (voir aussi le petit garçon -- dans La nuit américaine -- qui pique les photos de Citizen Kane) Parce qu'on y voit une fille presque dépoitraillée ?
Je vote pour la 3e solution.
Perso, je viens de retrouver la date de mon émoi "érotique" de cinéma le plus vif... j'avais 10 ans et... rrroulez tambours : c'était Catherine Deneuve dans Mayerling (Terence Young, 1968) !
Désolé. Il était passé aux dossiers de l'écran et j'avais été fasciné au point de découper la petite photo de la comédienne dans le programme.
Un peu plus tard, à la devanture du ciné de quartier et du marchand d'appareils photo / pellicules / films super 8, il y a eu ces choses -- nettement moins éthérées -- qui m'ont laissé songeur (je devais avoir 12 ans) :
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