Votre Top 25 Decouvertes Naphtalinés 2010

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Jack Carter
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Votre Top 25 Decouvertes Naphtalinés 2010

Message par Jack Carter »

oui, c'est un peu tot pour lancer un tel topic, mais en attendant, il servira de work in progress pour la plupart d'ente nous, prenez donc votre temps, visionnez des films pendant les fetes et faites votre bilan fin decembre. Meme principe que l'an dernier, faites un classement (par ordre d'appreciation, alphabetique, chronologique, comme vous voulez) des 25 meilleurs films naphtas que vous ayez vu cette année, aussi bien en salles, en dvd, à la tv, etc....vous pouvez aller jusqu'à 1985 comme limite naphta.


1. L'heure supreme (Frank Borzage)
2. Mes chers amis (Mario Monicelli)
3. Ceux de la zone (Frank Borzage)
4. L'Adieu aux armes (Frank Borzage)
5. The Swimmer (Frank Perry)
6. Un Eté 42 (Robert Mulligan)
7. Le Grand Amour (Pierre Etaix)
8. Guerre et Paix (Serguei Bondartchouk)
9. Remember the night(Mitchell Leisen)
10. Le Soupirant (Pierre Etaix)
11. Lucky Star (Frank Borzage)
12. Bellissima (Luchino Visconti)
13. Les Nuits de Cabiria (Federico Fellini)
14. Le Verdict (Sidney Lumet)
15. Bonne chance (Sacha Guitry)
16. Georgia (Arthur Penn)
17. Les Duellistes (Ridley Scott)
18. L'Ange de la rue (Frank Borzage)
19. Seduite et abandonnée (Pietro Germi)
20. Liaisons secretes (Richard Quine)
21. La Fureur des hommes (Henry Hathaway)
22. Nuits blanches (Luchino Visconti)
23. Nightfall (Jacques Tourneur)
24. Rio Conchos (Gordon Douglas)
25. La Charge victorieuse (John Huston)
Dernière modification par Jack Carter le 25 déc. 10, 18:19, modifié 16 fois.
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Père Jules
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Re: Votre Top 25 Naphtalinés 2010

Message par Père Jules »

Une question: ce top ne prend-il en compte que les naphtas nouvellement visionnés au cours de cette année ?
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Jeremy Fox
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Re: Votre Top 25 Naphtalinés 2010

Message par Jeremy Fox »

Père Jules a écrit :Une question: ce top ne prend-il en compte que les naphtas nouvellement visionnés au cours de cette année ?

Oui, les découvertes ou redécouvertes mais pas les films déjà bien connus.
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Jeremy Fox
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Re: Votre Top 25 Naphtalinés 2010

Message par Jeremy Fox »

1- Le Mépris : Jean-Luc Godard 1963
2- La Meilleure Façon de Marcher : Claude Miller 1975
3- Pierrot le fou : Jean-Luc Godard 1965
4- Les Chaussons Rouges (The Red Shoes) : Michael Powell & Emeric Pressburger 1947
5- Alien : Ridley Scott 1979
6- Masculin, féminin : Jean-Luc Godard 1965
7- Citizen Kane : Orson Welles 1941 :
8- La Harpe de Birmanie (Biruma no tategoto) : Kon Ichikawa 1956
9- Le Plus sauvage d'entre tous (Hud) : Martin Ritt 1963
10- La Brigade du Texas (Posse) : Kirk Douglas 1975

Puis dans le désordre:

* Ceux de la Zone (Man's Castle) : Frank Borzage 1933
* L'argent de poche : François Truffaut 1976
* Alphaville : Jean-Luc Godard 1965
* Vivre sa vie : Jean-Luc Godard 1962
* Can-Can : Walter Lang 1960
* Cabaret : Bob Fosse 1973
* Bande à Part : Jean-Luc Godard 1964
* Pleure pas la Bouche Pleine : Pascal Thomas 1973
* Un été 42 (Summer of '42) : Robert Mulligan 1971
* Gallipoli : Peter Weir 1981
* Daguerréotypes : Agnès Varda 1975
* Adieu Philippine : Jacques Rozier 1963
* Une Femme mariée : Jean-Luc Godard 1964
* Deux ou trois choses que je sais d'elle : Jean-Luc Godard 1967
* Les 400 coups : François Truffaut 1959
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Jack Carter
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Re: Votre Top 25 Naphtalinés 2010

Message par Jack Carter »

Père Jules a écrit :Une question: ce top ne prend-il en compte que les naphtas nouvellement visionnés au cours de cette année ?
oui, desolé pour le manque de clarté, j'ai rajouté le mot "decouvertes" dans le titre pour que ce soit plus clair :wink:
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Re: Votre Top 25 Decouvertes Naphtalinés 2010

Message par cinephage »

1 Cria Cuervos, de Carlos Saura (1976) 10/10
Un film beau, cruel et triste, qui revient en tête à chaque fois que j’en entends la chanson phare. La restitution du monde de l’enfance, avec sa poésie et sa dureté, dans un film formellement très réussi. Indéniablement, cette année, le film naphta qui me reste le plus durablement.

2 Une femme disparait, de Alfred Hitchcock (1938) 9,5/10
Monument d’Hitchcock, ce film très classique ne m’a pas du tout déçu, bien au contraire. Bourré d’humour, doué d’un grand sens de l’observation et débordant de personnages secondaires marquants, ce chef d’œuvre condense tout ce que l’on aime chez Hitchcock, tant formellement qu’au niveau du récit.

3 Day of the Outlaw, d'Andre de Toth (1959) 9,5/10
Un western âpre, au héros sombre incarné par un Robert Ryan tourmenté comme un diable. Cet acteur m’apparait comme un des plus sous-estimés parmi les grands acteurs classique, tant je découvre de pépites dans sa filmographie, et restera comme mon comédien « fétiche 2010 ».

4 Une vie difficile, de Dino Risi (1961) 9,5/10
Retracer la vie d’un pays en suivant le trajet d’un homme, ou l’inverse. Le procédé n’est pas neuf, mais quand il permet d’étudier la vie politique de son pays, sans pour autant perdre en intensité dramatique, on peut aboutir à un grand film… De la seconde guerre mondiale à la fin de la monarchie italienne, en passant par l’émergence d’une nouvelle classe richissime, Une vie difficile nous parle de l’Italie, alors que nous n’avons d’yeux que pour l’émouvant personnage qu’incarne Alberto Sordi. Un film qui marque, émeut, et fait réfléchir tout à la fois.

5 La beauté du Diable, de René Clair (1950) 9/10
Michel Simon dans une forme de tous les diables, un conte qui alterne entre le jeu du chat et de la souris et le mélodrame, une image de toute beauté,et des dialogues qui tapent toujours juste. Du grand art, en somme, et un de mes grands plaisirs de cette année.

6 Quasimodo, de William Dieterle (1939) 9/10
Autre film qui fait la part belle aux décors et à l’imagerie gothique, Quasimodo est surtout un film qui laisse Charles Laughton émouvoir et surprendre, qui émerveille par d’étonnantes sequences (la « bataille » de Notre-Dame, la cour des miracles) aussi richement illustratives que merveilleusement contées. Dieterle est une de mes grandes révélations de l’année 2010, un réalisateur dont je vais approfondir la filmographie.

7 Male and Female, de Cecil B. DeMille (1919) 9/10
Ce n’est pas la première année qu’un DeMille Muet figure dans mon best-of de l’année. L’admirable Crichton est en effet bien admirable. Les situations sont aussi droles que surprenantes, l’interprétation est nickel, et le film inspire autant la reflexion qu’il divertit. Bref, j’ai plus que largement trouvé mon compte face à ce Lost avant l’heure…

8 The Black Swan, de Henry King (1942) 9/10
Archétypal du film d’aventure, avec sa truculence, son panache et ses superbes images, The Black Swan restera comme le meilleur film d’aventure que j’aurais pu voir cette année. Ce récit d’un monde en quête de repos et de l’instauration de la loi dans un monde chaotique est bourré d’excellentes séquences, d’humour, et de dialogues de premier plan.

9 D.O.A., de Rudolph Maté (1950) 9/10
J’ai bien vu que tout le monde à classik ne plaçait pas aussi haut que moi ce pur film de genre, au scénario outré et passablement irréaliste, mais d’une noirceur parfaite, d’une tension palpable et à la limite du soutenable. Récit mortifère de la course en avant d’un homme que l’on sait condamné, D.O.A. révèle la cruauté du monde contemporain, d’un enfer urbain où règnent l’argent roi et l’indifférence…

10 Lucky Star, de Frank Borzage (1929) 8,5/10
Une splendeur de film, aussi simple et touchant que joliment mis en image. La grace 24 fois par seconde, et tout le talent de Borzage éclatent dans ce très romantique film d’amour.

11 Entre le ciel et l'enfer, d'Akira Kurosawa (1963) 8,5/10
Un film noir par le maitre de l’humanisme, tendu et au sujet particulièrement prenant. On ne peut que se demander ce qu’on aurait fait dans la même situation… Puis suit une enquête minutieusement détaillée et là encore passionnante. On en redemande.

12 Papillon, de Franklin J. Schaffner (1973) 8,5/10
Je l’avais vu enfant, mais c’est pour moi une totale redécouverte. Beauté des cadrages, force d’une thématique poignante, qualité de l’interprétation, sont parmi les principaux atouts de ce film de prison pas tout à fait comme les autres.

13 Der blaue Engel, de Joseph von Sternberg (1930) 8,5/10
Un récit d’une grande force, une histoire de déchéance, de damnation. Mais dans un cadre moins formaté que les films hollywoodiens ultérieurs de Sternberg et Marlene, et, donc, où la chute est décrite avec plus de dureté. On en ressort frappé par la dureté du récit, et ému par le talent d’Emil Jannings.

14 Une femme est une femme, de Jean-Luc Godard (1961) 8,5/10
JLG m’aura offert ma plus belle scène de ménage vue au cinéma, dans son film d’une grande fraicheur, une petite bombe bourrée d’idée et un peu déstructurée, ce qui fait qu’on ne sait jamais quoi attendre. Sans parler du charme de la bien jolie Anna Karina.

15 Intentions of Murder, de Shohei Imamura (1964) 8,5/10
Deuxième film d’Imamura que je découvre, ce film me frappe comme la confirmation d’une immense sympathie que j’éprouve pour ce cinéaste que je connais pourtant fort mal. Entre son bestiaire ludique et son gout pour la sensualité, comment ne pas apprécier cet iconoclaste ?

16 La ballade de Narayama, de Keisuke Kinoshita (1958) 8,5/10
Avec quatre films dans mon top 25, le cinéma japonais des années 50-60 se sera révélé d’une qualité sans faille, et tout à fait à mon gout, ce qui me réjouit d’autant plus qu’il me reste de nombreux films réputés à découvrir. La ballade de Narayama est un film très travaillé formellement, distancié quoique très émouvant dans son dénouement. Une vraie réussite.

17 The Strawberry Blonde, de Raoul Walsh (1941) 8,5/10
Un role en or pour James Cagney en bagarreur impulsif, une reflexion profonde sur la valeur de la vie sous couvert d’un biopic divertissant, une mise en scène rythmée et entrainante, cette Strawberry Blonde est pour moi un Walsh qui n’a rien de mineur.

18 Jody et le faon, de Clarence Brown (1946) 8,5/10
Là encore, c’est l’image du film qui frappe l’esprit en premier : des plans d’une incroyable beauté, un récit du quotidien transfiguré par la beauté d’un paysage édénique. Une des plus belles illustrations de la philosophie à la Walden dans laquelle puise si souvent le cinéma classique américain.

19 Dr Ehrlich's Magic Bullet, de William Dieterle (1940) 8,5/10
Second titre de William Dieterle à se hisser dans mon palmarès, ce biopic est un véritable modèle du genre. Entre l’efficacité d’une interprétation touchante et l’envie de raconter la vie des grands hommes, on pardonne volontiers le coté didactique du film, pour se laisser entrainer par l’émotion des séquences les plus poignantes. Car Dieterle n’est pas qu’efficace formellement : il sait parfaitement constuire une scène tendue et émouvoir.

20 All I desire, de Douglas Sirk (1953) 8,5/10
Un mélodrame de Sirk, tout est dit. Ici encore, le cinéaste parvient à faire d’un « retour à la maison » l’occasion de raconter une vie en creux, un récit de fuite que n’arrête que la maturité, qui dicte les vrais enjeux, les vrais choix, qu’il faut affronter de face. Mention spéciale à Barbara Stanwyck, brillante comme toujours, dans un rôle de femme d’un certain age.

21 La prière du soldat, de Masaki Kobayashi (1961) 8,5/10
La trilogie de la Condition de l’homme faisait partie des monuments du cinéma que je voulais découvrir. C’est désormais chose faite, et l’œuvre du cinéaste japonais apparait comme grandiose, pour un film tourné 16 ans à peine après la défaite. Du coup, on ferme volontiers les yeux sur le ton parfois sentencieux de cette critique d’une période récente, et cette construction d’un individu par la guerre est globalement édifiante. Tatsuya Nakadai est effectivement une grande découverte pour moi.

22 Seven Sweethearts, de Frank Borzage (1942) 8,5/10
Quand Borzage nous tourne une petite comédie tendance americana, on se laisse volontiers entrainer dans un délicieux moment de comédie légère et tendre, dans laquelle les personages sont aussi attachant que l’endroit dans lequel ils vivent. Tiens, voila une chose qu’on retrouve souvent chez Borzage…

23 Ordinary People, de Robert Redford (1980) 8,5/10
Ce premier film de Robert Redford est une grande réussite. Sur un thème minimaliste, on suit le parcours d’un jeune garçon en deuil, deuil partagé par sa famille dont chaque membre gère la situation à sa façon. Quoique très simple, le film repose sur une impeccable direction d’acteur, et se révèle aussi émouvant que juste.

24 Confidences pour confidences, de Pascal Thomas (1979) 8,5/10
Quelle surprise que de croiser Pascal Thomas dans ce palmarès : je n’associais ce cinéaste qu’à des comédies mineures. Mais c’est que Confidences pour confidences est une chronique familiale de la France d’après guerre touchante, très réussie, un de ces fameux bijoux peu connus dont parlent parfois les cinéphiles éclairés. Bien content d’avoir découvert celui-ci…

25 Love with the proper Stranger, de Robert Mulligan (1963) 8/10
Quel scandale que cette magnifique comédie romantique (qu’on y songe : Nathalie Wood et Steve Mac Queen) n’existe pas en dvd. Quelle chance que la Cinémathèque m’aie permis de le découvrir et, en bon cœur d’artichaud, de m’attendrir devant cette belle histoire d’amour New-Yorkaise.

Donc, si on résume, quelques figures emergent de mon année cinéphilique 2010 : Robert Ryan, Tatsuya Nakadai, pour les acteurs, Marlene Dietrich pour les actrices, quelques « nouveaux réalisateurs » dans mon paysage, comme Dieterle ou Henry King, et la lente découverte du cinéma japonais des années 60, riche en très beaux films. Je dois faire mention de Robert Mulligan, à cheval entre naphta et années 90, et qui aurait sinon une plus grande part dans ce top. Enfin, consolidation d’auteurs que je connais assez bien et apprécie beaucoup par ailleurs, comme Hitchcock, Borzage ou Douglas Sirk, dont la présence dans mon top n’a rien d’une surprise.
Quelques outsiders, comme Carlos Saura, Pascal Thomas ou Rudolph Mate, semblent indiquer des œuvres susceptibles de me séduire, on verra…
J’envisage en tout cas un avenir serein, car La beauté du Diable comme Une vie difficile me révèlent qu’il ya encore beaucoup de pépites à allez chercher dans les cinématographies françaises et italiennes. Ca tombe bien, alors que Gaumont nous ouvre ses archives et que le cinéma italien n’a jamais été aussi disponible.
Par ailleurs, je note au passage que 2 titres proviennent des warner archives, collection minimaliste et sans sous-titre, dont on espère qu'elle deviendra un jour accessible au public français, sous une forme ou sous une autre.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Votre Top 25 Decouvertes Naphtalinés 2010

Message par feb »

Boudiou que c'est difficile de faire un top 25 pour cette année, j'ai l'impression qu'il me faudrait un top 50...

1 : L'heure suprême - Frank Borzage (1927) & L'aurore - Friedrich Wilhelm Murnau (1927)
2 : L'Homme qui tua Liberty Valance - John Ford (1961)
3 : La Prisonnière du désert - John Ford (1956)
4 : Le Narcisse noir - Michael Powell & Emeric Pressburger (1947)
5 : Madame De... - Max Ophuls (1953)
6 : Cette sacré vérité - Leo McCarey (1937)
7 : Vie facile - Mitchell Leisen (1937)
8 : Sérénade à trois - Ernst Lubitsch (1937)
9 : Notorious - Alfred Hitchcock (1946)
10 : Ange - Ernst Lubitsch (1937)

11 : Lettre d'une inconnue - Max Ophuls (1948)
12 : Règlement de compte - Fritz Lang (1953)
13 : Peter Ibbetson - Henry Hatthaway (1935)
14 : L'insoumise - William Wyler (1938)
15 : Breezy - Clint Eastwood (1977)
16 : Ninotchka - Ernst Lubitsch (1939)
17 : Péché mortel - John M. Stahl (1945)
18 : Shanghaï Express - Josef Von Sternberg (1932)
19 : Le roman de Marguerite Gautier - George Cukor (1936)
20 : French Cancan - Jean Renoir (1955)

21 : Comanche Station - Budd Boetticher (1962)
22 : Seuls sont les indomptés - David Miller (1962)
23 : Les Lumières de la ville - Charles Chaplin (1931)
24 : Network - Sidney Lumet (1976)

Hors classement
Queen Kelly - Erich Von Stroheim (1929)
Le cirque - Charles Chaplin (1927)
Tout ce que le ciel permet - Douglas Sirk (1955)
Le cercle rouge - Jean-Pierre Melville (1970)
Eve - Joseph L. Mankiewicz (1950)
Dernière modification par feb le 17 déc. 10, 15:54, modifié 7 fois.
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Re: Votre Top 25 Decouvertes Naphtalinés 2010

Message par Federico »

En trouver 25, là, comme ça... Mais ce qui est sûr, c'est que me viennent immédiatement deux claques monumentales :
Ceux de la zone de Borzage et Le convoi des braves de Ford....

...et dans un genre complètement différent (un grand-écart cinéphilique :wink: ), les sagas nippones des Baby Cart et de La femme scorpion.
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
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Jeremy Fox
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Re: Votre Top 25 Decouvertes Naphtalinés 2010

Message par Jeremy Fox »

feb a écrit :une chose est sure il y aura un Scott/Boetticher dedans :mrgreen:
Y a intérêt ! :twisted:
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Sybille
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Re: Votre Top 25 Decouvertes Naphtalinés 2010

Message par Sybille »

TOP DECOUVERTES 2010

1. La règle du jeu - Jean Renoir (1939)
2. L'Atalante - Jean Vigo (1934)
3. 3.10 pour Yuma - Delmer Daves (1956)
4. Le lys brisé - David Wark Griffith (1919)
5. L'homme à la caméra - Dziga Vertov (1929)
6. Chien enragé - Akira Kurosawa (1949)
7. Demain est un autre jour - Douglas Sirk (1956)
8. La dernière caravane - Delmer Daves (1956)
9. Midnight Mary - William Wellman (1933)
10. L'ange de la rue - Frank Borzage (1928)
11. Providence - Alain Resnais (1977)
12. Les disparus de Saint-Agil - Christian-Jaque (1938)
13. Vivre sa vie - Jean-Luc Godard (1963)
14. Monika - Ingmar Bergman (1953)
15. Les désemparés - Max Ophüls (1949)
16. Une femme dangereuse - Raoul Walsh (1940)
17. Le passage du canyon - Jacques Tourneur (1946)
18. Deux rouquines dans la bagarre - Allan Dwan (1956)
19. Le mariage est pour demain - Allan Dwan (1955)
20. L'ange blanc - William Wellman (1931)
Dernière modification par Sybille le 14 déc. 10, 00:43, modifié 3 fois.
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Re: Votre Top 25 Decouvertes Naphtalinés 2010

Message par someone1600 »

J'ai découverts peu de films dans l'année, surtout que j'ai fait un intégrale Hitchcock dont j'avais deja vu la plupart des films... mais je dois bien etre capable d'arriver a un top 15 au minimum.
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origan42
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Re: Votre Top 25 Decouvertes Naphtalinés 2010

Message par origan42 »

FAMILY LIFE - K.Loach
WANDA - B.Loden
L'ÉNIGME DE KASPAR HAUSER - W.Herzog
AFFREUX, SALES ET MÉCHANTS - E.Scola
L'INCOMPRIS - L.Comencini
ZELIG - W.Allen
ASSURANCE SUR LA MORT - B.Wilder
MIRAGE DE LA VIE - D.Sirk
LA DERNIÈRE SCÉANCE - P.Bogdanovich
L'ENFER EST À LUI - R.Walsh
SENSO - L.Visconti
VIVRE SA VIE - J.L. Godard
MIRACLE EN ALABAMA - A.Penn
PAPA EST EN VOYAGE D'AFFAIRES - E.Kusturica
UN CONDAMNÉ À MORT S'EST ÉCHAPPÉ - R.Bresson
LA TEMPÊTE QUI TUE (The mortal storm) - F.Borzage
DU CÔTÉ D'OROUET - J.Rozier
LA MÈRE - Naruse
VIVRE - A.Kurosawa
ÉCRIT SUR DU VENT - D.Sirk
FANNY ET ALEXANDRE - I.Bergman
LA NUIT DES MORTS VIVANTS - G.Romero
LA NUIT - M.Antonioni
L'IDOLE (Lucky star) - F.Borzage
JEUX D'ÉTÉ - I.Bergman
Les 13 premiers de cette liste ont de fortes chances d'être dans mon Top 120.
LéoL
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Re: Votre Top 25 Decouvertes Naphtalinés 2010

Message par LéoL »

Alors alors :
En tête, certains réalisateurs dont j'ai véritablement découvert ou approfondi la filmographie et qui sont désormais parmi mes préférés : John Ford, Joseph L. Mankiewicz, Henri-Georges Clouzot et Pierre Etaix, ainsi que la découverte de la comédie à l'italienne.


1- Qu'elle était verte ma vallée de John Ford
2- Le Chagrin et la pitié de Marcel Ophüls
3- L'homme qui tua Liberty Valance de John Ford
4- YoYo / Le Grand Amour / Tant qu'on a la santé / Le soupirant / Pays de Cocagne de Pierre Etaix
5- Le Corbeau de Henri-Georges Clouzot
6- Jeux dangereux d'Ernst Lubitsch
7- L'aventure de Mme Muir de Jospeh L. Mankiewicz
8- L'armée des ombres de Jean-Pierre Melville
9- La vie est belle de Frank Capra
10- Eve de Jospeh L. Mankiewicz
11- La poursuite Infernale de John Ford
12- Les raisins de la colère de John Ford
13- Ces messieurs dames de Pietro Germi
14- To kill a mockingbird de Robert Mulligan
15- Le Fanfaron de Dino Risi
16- Quai des Orfèvres de Henri-Georges Clouzot
17- La Comtesse aux pieds nus de Joseph L. Mankiewicz
18- Sur les quais d'Elia Kazan
19- Les Diaboliques de Henri-Georges Clouzot
20- Le Salaire de la peur de Henri-Georges Clouzot

Pour la suite on va attendre fin décembre. Pour le moment suivent :
Le genou de Claire de Eric Rohmer
Sept ans de Réflexion de Billy Wilder
Loulou de G.W. Pabst
Le grand sommeil de Howard Hawks
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Jeremy Fox
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Re: Votre Top 25 Decouvertes Naphtalinés 2010

Message par Jeremy Fox »

Et hop ! Déjà un nouvel arrivant :

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Cinématographiquement parlant, l'année 2010 aura été avant tout pour moi, en plus du début de mon parcours western, la redécouverte (émerveillé) de la Nouvelle Vague dans son ensemble et plus seulement de Rohmer. Ca avait commencé en décembre 2009 avec les coups de coeur consécutifs pour A bout de souffle et Le petit Soldat et ça s'est grandement confirmé cette année avec aussi Jacques Rozier.
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Re: Votre Top 25 Decouvertes Naphtalinés 2010

Message par homerwell »

Jeremy Fox a écrit :Et hop ! Déjà un nouvel arrivant :
Et tu ne le mets pas dans les 10 premiers ? :wink:
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