Tout pareil en fait ; c'était juste pour dire Même chez Minnelli ou Daves, j'ai trouvé des films qui ne me plaisaient pas du toutTancrède a écrit :non mais bien sûr.Jeremy Fox a écrit :
Je serais tenté de dire la même chose mais il ne faut pas se voiler la face : Borden Chase au scénario a lui aussi pondu de sacrés purges ; Alertes aux Marines ou Montana par exemple. Il fallait bien qu'il mette du beurre dans ses épinards mais ces travaux précis ne sont franchement pas glorieux.
Mais je juge un artiste à la grandeur de ses réussites plus qu'à son nombre de navets. Tous mes cinéastes préférés ont commis des navets. Cela ne m'empêche pas de les mettre au plus haut.
L'homme qui n'a pas d'étoiles (King Vidor - 1955)
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- Jeremy Fox
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Re: L'homme qui n'a pas d'étoiles (King Vidor - 1955)
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Re: L'homme qui n'a pas d'étoiles (King Vidor - 1955)
Revu récemment (DVD Sidonis) après des années (un des films préférés de mon enfance bien qu'à la première vision, j'attendais le shérif du titre qui ne venait pas).
Le film est bien tout ce qu'on en dit (fresque des conflits du capitalisme, individu vs collectivité, tension érotique, etc...) mais il semble manquer quelque chose (la fin me parait rapide notamment). Les bonus du DVD Sidonis qui expliquent les conditions de tournage (durée réduite, contexte économique de série B malgré des intervenants de série A ) me laissent penser que ce qu'il manquait c'était deux semaines de tournage (soit probablement 50% de budget en plus -Il me semble qu'il est dit quelque part que Vidor est parti avant le montage).
Le film est bien tout ce qu'on en dit (fresque des conflits du capitalisme, individu vs collectivité, tension érotique, etc...) mais il semble manquer quelque chose (la fin me parait rapide notamment). Les bonus du DVD Sidonis qui expliquent les conditions de tournage (durée réduite, contexte économique de série B malgré des intervenants de série A ) me laissent penser que ce qu'il manquait c'était deux semaines de tournage (soit probablement 50% de budget en plus -Il me semble qu'il est dit quelque part que Vidor est parti avant le montage).
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Re: L'homme qui n'a pas d'étoiles (King Vidor - 1955)
J'adore ce film, son technicolor brulant, ses interpètes magistral et son personnage principal magnifique, cet aventurier laconique très proche du personnage qu'interpetera une nouvelle fois Douglas dans le sublime Seul sont les indomptés.
C'est un chef d'oeuvre digne du grand Vidor, qui continu de remettre ses obsession sur le tapis, l'individu, la société, l'espace vital...
Et quel humour !
C'est un chef d'oeuvre digne du grand Vidor, qui continu de remettre ses obsession sur le tapis, l'individu, la société, l'espace vital...
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- Jeremy Fox
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Re: L'homme qui n'a pas d'étoiles (King Vidor - 1955)
La critique ainsi que le test du Sidonis