On ne prête qu'aux riches, dit-on, pas étonnant donc que l'on prête à Spielberg, ici producteur, une influence prépondérante sur une série télé qu'il n'a peut-être pas.AtCloseRange a écrit :Pour rebondir sur ce débat, je lis justement la critique des premiers épisodes de Band of Brothers dans Télérama: "Les bons sentiments et les "instants pompiers" chers à Spielberg jalonnent les deux films...".
ça ne me semble pas si idiot...
Quant à la phrase de télérama, elle est intéressante : elle distingue bien "les bons sentiments" et "les instants pompiers", ces deux notions ne se recoupant pas. Autrement dit, il peut y avoir des bons sentiments sans instants pompiers, l'un ne découlant pas nécessairement de l'autre (tout va se jouer sur la façon dont sont utilisés et mis en scène ces bons sentiments). Allons plus loin : je dirais même qu'il peut y avoir des instants pompiers sans bons sentiments.