Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Si tu fais un cycle 007, tu l'intègres quand même. Non mais.Jeremy Fox a écrit :C'est Jamais plus jamais que je ne peux pas blairer.
Pas question ; je l'ai revu l'année dernière ; ce fut un calvaire.Major Tom a écrit :Si tu fais un cycle 007, tu l'intègres quand même. Non mais.Jeremy Fox a écrit :C'est Jamais plus jamais que je ne peux pas blairer.
Impossible d'être objectif (et sévère) pour ma part avec celui-là, il est avec Goldfinger, Bons baisers de Russie, Les Diamants sont éternels et L'Espion qui m'aimait un de ceux que j'ai le plus regardé étant gosse.
[Mode Demi Lune] C'est mon Secret de la pyramide à moi.
Personnellement, je ne vois pas grand chose à sauver dans Quantum of solace : le prégénérique filmé et monté façon Jean-Marie Poiré est juste insupportable, le générique et sa chanson sont très moyens, l'histoire censée commencer là où s'arrêtait Casino Royale (quelle idée à la con dans une saga où chaque opus est indépendant) est un remix sans originalité d'épisodes antérieurs, les personnages sont insipides (Mathieu Amalric en méchant, dans un Pixar, ça peut passer mais dans un James Bond, next...). Je comprends que Spectre puisse décevoir après l'excellent Skyfall, mais Quantum of solace ne lui arrive pas à la cheville.Major Tom a écrit :Ah oui, clairement.Alexandre Angel a écrit : Pire que Quantum of Solace ?
Je ne suis pas fan de Quantum mais je pourrais éventuellement le revoir.
Spectre, c'est pas possible.
C'est clair. Par contre j'aime beaucoup la chanson d'Alicia Keys et la musique de David Arnold.Major Tom a écrit :Il y a de très bonnes choses dans Quantum. En fait le seul vrai problème du film est son montage désastreux. .
Je me sens capable de le revoir avec un certain plaisir en BR sans trop me prendre la tête mais il y a quand même beaucoup de vrai dans tout ce que tu dis. De toute manière, je fais partie de ceux qui n'ont pas super bien gobé le virage psy de la franchise. M'enfin, c'est comme ça..Roy Neary a écrit :Le problème de Spectre, c'est qu'on nous promet un développement majeur autour de l'organisation SPECTRE et que tout cela fait pschitt au beau milieu du film et que l'on découvre tristement que le personnage de Blofeld n'est en fait qu'une excroissance du trauma originel de Bond (qui était censé être résolu avec Skyfall). Ainsi on fait encore traîner laborieusement l'arc dramatique des trois premiers films alors qu'on commence à s'en battre les coui.... des atermoiements psychologiques de James. On nous ressert une scène sortie d'un Bond des sixties et des seventies avec la base scientifique isolée dans le désert alors qu'elle ne s'inscrit pas du tout dans la dramaturgie et qu'elle ne sert à rien (dans son introduction comme dans sa conclusion débile à laquelle on ne croit pas du tout - bon sang, cette évasion...). A côté de ça, Seydoux est une pouffe. Et le pire est que notre super agent secret de Sa Majesté se barre à la fin avec la pouffe pour vivre heureux et avoir beaucoup d'enfants. Au secours !
Sans oublier que Bond aurait pu se passer complètement d'elle dans son enquête si l'on réfléchit bien à la façon dont est écrit l'arc dramatique autour de son père et du secret dissimulé dans l'appart...
Pourtant le film commençait de très belle manière avec sa séquence introductive....
Pareil. Mais ce côté psy était bien plus poussé à mon avis dans Skyfall qui se prenait à mon avis bien trop au sérieux. Spectre, malgré ses innombrables défauts, retrouve un peu plus de légèreté. M'enfin, je vais voir en me refaisant l'intégrale comment ça aura évolué.Alexandre Angel a écrit :De toute manière, je fais partie de ceux qui n'ont pas super bien gobé le virage psy de la franchise.
Oui, mais Skyfall était un bel objet, de la haute couture dans son genre et Mendes n'a pas su retrouver cette qualité d'inspiration.Jeremy Fox a écrit :Pareil. Mais ce côté psy était bien plus poussé à mon avis dans Skyfall qui se prenait à mon avis bien trop au sérieux. Spectre, malgré ses innombrables défauts, retrouve un peu plus de légèreté. M'enfin, je vais voir en me refaisant l'intégrale comment ça aura évolué.
et j'ai vraiment lu toutes les chroniques. Je suis resté très Ken Adam et Maurice Binder.Globalement d'accord avec cela. J'ai un vrai problème avec cet opus.Roy Neary a écrit :Le problème de Spectre, c'est qu'on nous promet un développement majeur autour de l'organisation SPECTRE et que tout cela fait pschitt au beau milieu du film et que l'on découvre tristement que le personnage de Blofeld n'est en fait qu'une excroissance du trauma originel de Bond (qui était censé être résolu avec Skyfall). Ainsi on fait encore traîner laborieusement l'arc dramatique des trois premiers films alors qu'on commence à s'en battre les coui.... des atermoiements psychologiques de James. On nous ressert une scène sortie d'un Bond des sixties et des seventies avec la base scientifique isolée dans le désert alors qu'elle ne s'inscrit pas du tout dans la dramaturgie et qu'elle ne sert à rien (dans son introduction comme dans sa conclusion débile à laquelle on ne croit pas du tout - bon sang, cette évasion...). A côté de ça, Seydoux est une pouffe. Et le pire est que notre super agent secret de Sa Majesté se barre à la fin avec la pouffe pour vivre heureux et avoir beaucoup d'enfants. Au secours !
Sans oublier que Bond aurait pu se passer complètement d'elle dans son enquête si l'on réfléchit bien à la façon dont est écrit l'arc dramatique autour de son père et du secret dissimulé dans l'appart...
Pourtant le film commençait de très belle manière avec sa séquence introductive....
Tu ne continueras donc pas ta belle intégrale pour le site ?Julien Léonard a écrit : De fait, je n'ai pas franchement envie d'en dire quelque-chose.
Si si, c'est en cours (c'est simplement un gros problème de motivation pour avancer). Mais j'essaie de faire cela aussi bien que pour les autres, donc l'affaire est plus longue à réfléchir.Jeremy Fox a écrit :Tu ne continueras donc pas ta belle intégrale pour le site ?Julien Léonard a écrit : De fait, je n'ai pas franchement envie d'en dire quelque-chose.
Après avoir lu tout ce qu'on lui reprochait, je me demandais avec appréhension si la revoyure n'allait pas me conduire à le revoir à la baisse, mais rien à faire, ce fut le même plaisir. Pas parfait (quel Bond l'est ?), mon principal reproche concernerait une ou deux scènes d'action tirant un peu en longueur, mais pour le reste c'est juste un gros mix de tout ce que j'aime chez 007 ; si je devais garder un seul Craig ce serait peut-être même celui-ci. Tout en se prenant un peu moins au sérieux que Skyfall, l'intrigue me semble plus, je ne dirais pas ambitieuse, mais plus "complète". A l'image de toutes les références aux anciens épisodes que Mendes balançait déjà dans son premier film, on dirait qu'il a fait une liste de tous les éléments narratifs ou thématiques qu'il rêvait de mettre dans un Bond et qu'il s'est débrouillé pour que tout tienne ensemble. Chapeau. Et ce qui ne gâche rien, Léa Seydoux, que je vois appelée "pouffe" quelques messages plus hauts (quand même, les mecs ! 
), est définitivement une superbe Bond Girl à mes yeux ébahis. J'en suis pas toujours un fervent admirateur, mais là, vraiment, quelle élégance ! 
